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Economie

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Oubliez Tinder : faites des rencontres “utiles” sur ZeWaow! « Un déjeuner pour m’aider à améliorer mon Français, et apprendre quelques mots en chinois, ça vous dit ? J’arrive de Shanghai « , » Je rêve d’apprendre à faire du pain, quelqu’un peut m’apprendre ? » , » Je souhaite me remettre au sport après 6 mois de coupure : envie de venir courir avec moi dans un beau parc ?

» Voici un avant goût des propositions que vous trouverez sur l’application ZeWaow. Plus besoin de vous présenter les sites de rencontres classiques, utilisés par des milliers de personnes à travers le monde. Un Tinder des activités Mais alors, comment ça fonctionne exactement ? Si vous n’avez pas d’idée à proposer, vous pouvez simplement feuilleter les opportunités qui se présentent et dire “Yes !” ZeWaow! Forte croissance En quelques semaines, 8 000 personnes ont déjà tenté l’aventure et, parmi elles, 2 590 ont déjà “matché”. Comprendre les usages en buvant des cafés Pourquoi chez Starbuck ? Alors, convaincu ? A propos de Pauline Trequesser. Pétition: Non à l'austérité, Oui à la démocratie ! - Alter Summit. La consommation collaborative, kézako ? L'économie collaborative a pénétré les mœurs consuméristes du citoyen connecté, elle sème les graines d'une révolution économique, culturelle et donc forcément marketing. « La notion de propriété est en train de changer.

Les consommateurs, particulièrement les plus jeunes, sont plus intéressés par l'expérience que la possession.C'est ce qui a mené à l'explosion de l'économie de partage, soit des nouveaux modèles économiques qui permettent aux gens de partager leurs possessions, leurs biens, leurs qualités et leur savoir », décrit la spécialiste en communication digitale de l'agence Spring Studios dans une récente tribune sur Fast Company. Dans un rapport intitulé « Le partage est le nouvel achat », Crowd Companies et Vision Critical ne se contentent pas de dresser en chiffres le poids de l'économie collaborative, estimée par Forbes à plus de 3 milliards d'euros en 2013 après une croissance annuelle de 25%. >>> Pour plus d'info sur l'évènement, écoutez les pastilles audio des participants. Les limites de la croissance. Crise systémique : vers la fin d'un monde... La crise que nous vivons depuis 1973, date du premier choc pétrolier, prend depuis vendredi 5 août un tour nouveau, avec la fin d’un tabou.

On peut penser ce qu’on veut des agences de notation (et j’en pense beaucoup de mal…), Standard & Poors vient enfin de prendre acte d’une réalité jusqu’ici niée par l’ensemble des gouvernants, agences de notation, financiers, traders, investisseurs institutionnels, économistes et autres soit-disant experts de tous poils, à savoir que les Etats-Unis d’Amérique seront incapables de rembourser la totalité de leur colossale dette. C’est le sens de la décision annoncée, à savoir dégradation de la note des USA, qui passe de AAA à AA+ (selon le système de notation baroque en vigueur…), avec perspective négative, à savoir que la prochaine fois qu’ils modifieront cette note, ce sera probablement pour l’abaisser à nouveau.

Le masque des Etats-Unis est tombé, eux qui appliquaient à merveille le précepte de Plaute : On aurait tort d’en rire. Et/ou Et maintenant ?

Le rapport au Club de Rome

Story of Stuff. The Story of Stuff, originally released in December 2007, is a 20-minute, fast-paced, fact-filled look at the underside of our production and consumption patterns. The Story of Stuff exposes the connections between a huge number of environmental and social issues, and calls us together to create a more sustainable and just world. It’ll teach you something, it’ll make you laugh, and it just may change the way you look at all the Stuff in your life forever. Download the Fact Sheet Credits The Story of Stuff was written by Annie Leonard, Louis Fox, and Jonah Sachs, directed by Louis Fox and produced by Free Range Studios. Executive Producers included Tides Foundation and the Funders Workgroup for Sustainable Production and Consumption. It was released in December 2007.

Show full list of credits. « La croissance n’est pas la solution, c’est le problème » Jean Gadrey est économiste et membre en 2008-2009 de la « Commission Stiglitz ». On nous dit que, sans croissance, c’est la régression sociale, on ne peut pas réduire les dettes, ni le chômage, ni la pauvreté, et l’on n’aura pas les moyens d’engager la transition écologique. Pourtant, je propose de dire « Adieu à la croissance », qui est le titre de mon livre (voir les bonnes feuilles sur le site d’Alternatives économiques).

Il serait temps que les économistes, s’ils veulent être « responsables », prennent en compte les risques écologiques et qu’ils se posent les questions suivantes : et si ce culte de la croissance relevait d’un aveuglement des élites économiques et politiques ? Et si la quête de la croissance, fondée sur des gains de productivité sans fin, était l’un des facteurs de crises, voire la plus grave des menaces à terme pour l’humanité ? Ces hypothèses sont de plus en plus crédibles. Les causes du plongeon Bien des raisons expliquent cette baisse spectaculaire.

Système à la con

"On arrête tout. On réfléchit. Et c'est pas triste." "Ne doutez jamais qu'un petit groupe de gens…" Alternatives.