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Banksters

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Myret Zaki & Etienne Chouard, conférence à propos du hold up des banques.

Banques d'affaire

Five years after the greatest financial crash in history, the banks are still creating chaos. Banking institutions are more dangerous than standing armies,” wrote Thomas Jefferson in 1816.

Five years after the greatest financial crash in history, the banks are still creating chaos

The president of Cyprus, Nicos Anastasiades, has just joined the growing line of European politicians who have come to the same conclusion. Cyprus is the latest European country to be brought to its knees by its banks. It is time governments started thinking more seriously about why this is the case and what should be done about it. Cyprus’s is a story with more angles than Euclid’s Elements, from its unfinished civil war and its strategic naval bases to its status as Russia’s own private Channel Island and its prodigious untapped gas reserves. But the essence of the current crisis is all too simple. Now if you or I had owned Greek bonds, we would have owned them outright. What should be done when big banks go bust? This purist’s approach is, on the face of it, the only fair one. Other countries opted not to be purists, though, as we in Britain know only too well. Il faut abolir le privilège de création monétaire des banques. Après avoir fait la synthèse du fonctionnement des réserves fractionnaires (ou comment les banques créent de la monnaie), je voudrais à présent expliquer ce pourquoi ce système est intrinsèquement néfaste, et par conséquent, pourquoi il faut l’abolir (et construire autre chose).

Il faut abolir le privilège de création monétaire des banques

Nous verrons tout d’abord en quoi ce système instaure une monnaie illusoire, fondée sur de faux présupposés économiques, puis comment il entretient par nature une économie pyramidale à l’origine de bulles spéculatives et de crises financières. Enfin, j’évoquerai en fin d’article les pistes à explorer pour une refonte des règles de la création monétaire. Un mensonge qui protège les banques Parce que 92% de la masse monétaire est en fait constituée de reconnaissances de dettes, mais que l’on appelle quand même cela de l’« argent », on fait croire aux gens que leurs soldes bancaires correspondent effectivement à ce qu’ils possèdent. La Finlande appelle à ne plus sauver de banques avec l’argent public. La Finlande a appelé mardi à épargner les contribuables de la zone euro dans les plans de sauvetage des banques européennes à l’avenir, estimant que la facture devrait être imputée aux actionnaires et créanciers. « Partout en Europe nous devrions passer à une économie de marché normale, où les propriétaires et les investisseurs accusent des pertes en cas de débâcle de banque », a déclaré mardi le Premier ministre Jyrki Katainen lors d’un discours à Helsinki sur l’Europe.

La Finlande appelle à ne plus sauver de banques avec l’argent public

Il a souhaité que l’union bancaire européenne, en cours de création, en fasse un principe fondateur, sinon nous resterons dans la situation actuelle où le contribuable paie les crises bancaires et a dit vouloir que les décisions sur l’union bancaire soient prises dans l’année. Frédéric Lordon: « l'Union Européenne a laissé ses banques faire n'importe quoi » Where banks really make money on IPOs. Realities Behind Prosecuting Big Banks. YouTube. Les 7 péchés capitaux des banques / Accueil.

«L'État et les banques, les dessous d'un hold-up historique» par Myret Zaki et Etienne Chouard. Loi bancaire : les contribuables ne doivent pas payer pour la finance. Nous, économistes, pensons que le projet de loi de séparation bancaire présenté à l’Assemblée nationale ne fait pas ce qu’il prétend et ne protègera pas plus qu’avant les dépôts des ménages français.

Loi bancaire : les contribuables ne doivent pas payer pour la finance

En réalité, il laisse libre cours aux activités spéculatives des banques et sauvegarde leur pouvoir. L’objectif affiché du projet consiste à sécuriser les dépôts et, pour cela, à séparer les activités de marché dangereuses des activités de crédit-dépôt. L’intention est bonne, compte tenu de l’hypertrophie des banques françaises. Did cocaine use by bankers cause the global financial crisis? Cocaine: usage among bankers has been said to be commonplace in the City and Wall Street.

Did cocaine use by bankers cause the global financial crisis?

» La régulation bancaire au pistolet à bouchon, par Frédéric Lordon. Ce sera sans doute la perle de la crise.

» La régulation bancaire au pistolet à bouchon, par Frédéric Lordon

Karine Berger, députée socialiste, rapporteure du projet de loi dit de « séparation » et de « régulation » des activités bancaires, reprenant la parole en commission des finances après les exposés de MM. Chifflet, Oudéa et Bonnafé, respectivement président de la Fédération bancaire française, président de la Société Générale et directeur-général de BNP-Paribas : « Vos trois exposés laissent paraître que vous n’êtes pas réellement gênés par ce projet de loi ; j’en suis à la fois étonnée et ravie » [1]… Qu’elle en fût uniquement étonnée n’aurait trahi qu’une charmante simplicité d’esprit. Un projet de réforme bancaire insatisfaisant. Le projet de loi de séparation bancaire discuté à l'Assemblée nationale depuis le 12 février paraît technique à beaucoup.

Un projet de réforme bancaire insatisfaisant

C'est là sa principale faiblesse : entraîner le débat dans le labyrinthe de la technique bancaire. En réalité, les deux enjeux sous-jacents à la scission des activités de marché et des activités traditionnelles de crédit et de dépôt sont simples. Le premier est politique : sommes-nous d'accord pour que la garantie de l'Etat soit donnée à toutes les activités de marché des banques ? Si c'est non, alors il convient de définir les opérations auxquelles nous entendons l'accorder : les activités de crédit et de dépôt et celles qui servent à couvrir les risques de change et de taux associés, par des opérations simples. Le grand retournement. Ma critique du film de Gérard Mordillat Hier soir, je suis allé voir un film avec François Morel, Jacques Weber, Edouard Baer...

Le grand retournement

L'homme le plus détesté par la City. Le risque systémique a bon dos « PrototypeKblog. Démocratie… ou bancocratie ? Nous étions au Bourget le 22 janvier 2012.

Démocratie… ou bancocratie ?

Comme des millions d’autres ce soir-là - nous ne sommes ni malentendant ni mal comprenant -, nous avons entendu ceci : «Mon véritable adversaire n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti. Il ne présentera jamais sa candidature. Il ne sera donc pas élu et pourtant, il gouverne. Cet adversaire, c’est le monde de la finance.» Pour sécuriser le système financier… Pour une vraie séparation des banques d'affaires et des banques de dépôt - mon adversaire, c'est la finance !