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ARBRE

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La_symbolique_des_arbres. Echanger ses savoirs autour de l'Arbre. L'essentiel est d'offrir et de donner. Ce principe de réciprocité est le moteur de l'association », précise Annie Vinet, vice-présidente de l'association saintaise, l'Arbre des savoirs (1). Créée en 1998, sur l'idée d'un employé municipal saintais qui voulait développer ce système au sein de son service, elle regroupe aujourd'hui, près de 120 membres qui ont un savoir à partager. Tout le monde y est le bienvenu. En entrant dans le local de l'association, pas de doute sur la destination, l'Arbre des savoirs, c'est bien ici.

Parmi les membres, Rose-Line, retraitée, vient assister au cours d'anglais, dispensé par Kate, une Britannique originaire de Bristol. « En ce moment, je '' reçois'' de l'anglais, indique la Saintaise, membre de l'association depuis plus de trois ans. En échange, Rose-Line « donne » une initiation à l'espagnol. Un vrai lien social (1) L'Arbre des savoirs, 9 rue Eugène Fromentin, 17 100 Saintes. Écorces. Tronc. Racines. Arbre, classement des connaissances, l’arborescence du savoir. L’idée de classer le savoir sur un arbre, comme on classe les membres d’une famille, se développe au XIIIè siècle, période-clé pour le classement du savoir : c’est à cette date, par exemple, que s’impose le classement alphabétique. Ce sont d’abord les connaissances théologiques (la science de Dieu) qui prennent cette forme nouvelle, et destinée à perdurer, de l’arborescence du savoir.

Speculum virginum (1200) : base de l’arbre : allégorie de l’Orgueil tenant le calice d’or de Babylone ; six rameaux avec sept feuilles de part et d’autre du tronc, un rameau de douze feuilles au sommet, tous dirigés vers le bas ; à la base de chaque rameau, nom d’un vice : quatre rameaux du bas avec vices de l’esprit (tristesse, colère, envie, orgueil), trois rameaux du haut avec vices du plaisir matériel (dissipation, gourmandise, avarice) ; dans les feuilles, vices subsidiaires ; au sommet de l’arbre, Adam cachant sa nudité ; deux hybrides zoomorphes autour du tronc, deux mordant le rameau supérieur.

La structure de l'Arbre de Vie. Le mot Sephirah (pluriel Sephiroth) désigne en hébreu une "émanation numérique". Qu'est-ce donc ? C'est l'idée de quelquechose engendré par autre chose, et dans un certain ordre. Ainsi, comme on vient de le voir, la Création de l'Univers a consisté en l'émanation successive de dix Sephiroth, depuis Kether, l'étincelle de vie divine, pour arriver à Malkut, le monde matériel. Les Sephiroth sont donc, dans l'ordre d'involution : Kether, Hokmah, Binah, Chesed, Geburah, Tipheret, Netzah, Hod, Yesod et Malkut.

Cet ordre est dit "d'involution" car il est celui dans lequel l'univers a été créé. L'ordre inverse, ou ordre d'évolution, est celui que le kabbaliste devra emprunter pour pouvoir renouer avec la puissance originelle, l'étincelle de vie divine qui sommeille en chacun de nous et qui mène à l'Agartha. Venons-en maintenant à une ébauche de structure de l'Arbre de Vie. Olam Ha'Atziluth, le monde de l'émanation, regroupe Kether, Hokmah et Binah. Sohar, le Monde Parfait.

Feuille. Nature_regard1. Arborescence. Arbre fractal. ARBRE FRACTALFractal tree, Baum-Fraktal Un arbre est fractal en ce sens que ses branches maîtresses, issues du tronc, sont chacune des arbres en réduction. Pour simplifier, si le tronc est le segment [AB], nous allons considérer p similitudes fi transformant le segment [AB] en des segments plus courts [CiDi], attachés aux troncs (c'est-à dire que Ci appartient à [AB]). Remarquons qu'il y a exactement deux similitudes possibles pour chaque [CiDi], l'une directe, l'autre indirecte.Partant de K0 = [AB], on définit la suite des compacts , qui converge vers l'attracteur des fi , lequel peut être considéré comme le "feuillage" de l'arbre : L'arbre est, lui, la réunion des Kn ; son feuillage est donc l'ensemble des extrémités de ses branches.

Voici la construction animée des 10 premières étapes, avec des Ci égaux à B, et deux similitudes directes de rapport 0,7 et d'angles p/9 et -2p/9. Remarquons que l'arbre est formé de spirales logarithmiques approchées : et Ca, c'est un vrai ! Courbe de Peano. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Giuseppe Peano Une courbe de Peano est une courbe plane paramétrée par une fonction continue sur l'intervalle unité [0, 1], surjective dans le carré [0, 1]×[0, 1], c'est-à-dire que la courbe passe par chaque point du carré : elle « remplit l'espace ».

Toutes ces courbes sont des fractales : bien que formées d'une simple ligne, elles sont de dimension 2. Ce type de courbes est nommé en l'honneur de Giuseppe Peano, qui fut le premier à en décrire une. Historique[modifier | modifier le code] Dans un article de 1890[1] Giuseppe Peano décrit une courbe auto-intersectante qui passe par tous les points de la surface du carré unité.

Son objectif est de construire une application de l'intervalle unité défini sur vers le carré unité défini sur . La clé passe par l'élaboration d'une courbe nulle part différentiable. Peano utilise l'existence d'un développement en base trois pour tout nombre réel. Et le couple de suites de la manière suivante : ↑ G.

Fractale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce terme était au départ un adjectif : les objets fractals (selon un pluriel formé sur l'exemple de "chantiers navals"). Les fractales sont définies de manière paradoxale, en référence aux structures gigognes dont ils constituent des cas particuliers : « Les objets fractals peuvent être envisagés comme des structures gigognes en tout point – et pas seulement en un certain nombre de points, les attracteurs de la structure gigogne classique. Cette conception hologigogne (gigogne en tout point) des fractales implique cette définition tautologique : un objet fractal est un objet dont chaque élément est aussi un objet fractal »[2].

Caractéristiques[modifier | modifier le code] Un objet fractal possède au moins l'une des caractéristiques suivantes : sa dimension de Hausdorff est strictement supérieure à sa dimension topologique. Domaines de validité[modifier | modifier le code] Les systèmes de fonctions itérées. (pour homothétie). Quelques exemples : Arbre de vie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Arbre de vie entouré de deux panthères tenant une corne d'abondance (haut-relief sculpté sur le portique sud de la Maria Saal, District de Klagenfurt, Carintie, Autriche) Les arbres de vie gravés, peints, brodés, imprimés ou sculptés existent depuis le début de l'Histoire. Ils semblent symboliser la force de la vie et ses origines, l'importance des racines et le développement de la Vie.

Ils sont parfois associés à des personnages et/ou à des animaux (oiseaux, mammifères). Dans la Bible[modifier | modifier le code] À partir du Ve siècle, avec Augustin d'Hippone, les chrétiens ont développé en fonction de ces passages de la Genèse et d'épîtres de saint Paul diverses théologies dites du « péché originel ». Cet arbre est aussi mentionné plusieurs fois dans l'Apocalypse (Ap 2, 7[4] ; Ap 22, 14 ; Ap 22, 19[5]). Dans la Kabbale[modifier | modifier le code] Dans le livre de Mormon[modifier | modifier le code] Galerie[modifier | modifier le code]