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Vaccin contre l'hépatite B (HB)

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Vaccination contre l'hépatite B : une autre controverse. Les controverses vaccinales ne sont pas les mêmes d’un pays à l’autre. En Grande-Bretagne, par exemple, le vaccin combiné rougeole-rubéole-oreillons (RRO) a été soupçonné de provoquer l’autisme chez certains enfants. Aux États-Unis, c’est le thimérosal, un additif contenant un dérivé du mercure, qui est accusé d’avoir entraîné une épidémie d’autisme. En France, c’est le vaccin contre l’hépatite B qui fait régulièrement la manchette depuis environ 15 ans. En 1994, une campagne nationale de vaccination contre l’hépatite B a été lancée par les autorités françaises de santé publique.

Le vaccin était fortement recommandé pour la population en général, et obligatoire pour les travailleurs de la santé. Les fabricants de vaccins ont mené une campagne de promotion très musclée et plus de 20 millions de personnes ont été immunisées, dont environ 7 millions d’adolescents de moins de 15 ans. Des inquiétudes dès le début Suspension de la vaccination chez les jeunes Encore des études... Références Notes. Vaccin contre l’hépatite B : une très sombre histoire. La relation entre le vaccin contre l’hépatite B et la Multiple Sclérose revient dans l’actualité française. Cette fois avec des chiffres incontestables… C’est la 14 novembre qu’est parue en anglais dans la revue scientifique Immunilogic Research, l’étude la plus récente sur l’éventualité d’une relation de cause à effet observée en France entre le vaccin contre l’hépatite B et la Sclérose en plaques ou Multiple Sclérose. Elle est signée du professeur Dominique Le Houézec (« Evolution of multiple sclerosis in France since the beginning of hepatitis B vaccination ») et comme c’est souvent le cas de la part des medias généralistes, n’a fait l’objet que d’une publicité éditoriale des plus modestes.

Bref, du point de vue la CNAM, le pays enregistrait jusqu’en 1993, environ 2 500 nouveaux cas de scléroses en plaques chaque année. C’est à partir de 1996 qu’on observe une augmentation progressive de cette pathologie qui va plafonner à 4 500 cas en 2003 pour demeurer stable depuis. Silence on pique. Vaccination hépatite B - Association REVAHB. Vaccin contre l'hépatite B - La douloureuse question du bénéfice/risque - VIH/sida et pathologies associées. Le vaccin contre l'hépatite B est au cœur d'un débat sur son bénéfice et ses risques depuis plus de 10 ans. Un débat qui va au-delà des frontières françaises puisque de multiples articles et études internationaux l'ont alimenté ces dernières années. Quels en sont l'histoire et le développement ? La campagne a été lancée en juillet 1994. A l'époque, le ministre de la santé, Philippe Douste Blazy affirmait: « L'hépatite B constitue l'un des risques infectieux majeurs de cette fin de siècle ».

Signal? « Certaines personnes sont allées se faire vacciner alors qu'elles n'en avaient absolument pas besoin », reconnaît Michelle Sizorn de SOS Hépatites. « Les spots de l'époque donnaient l'impression que le virus allait vous sauter dessus au moindre contact », se souvient Dominique Costagliola, épidémiologiste à l'Inserm. Bruit de fond Faire avec ? « Les données sont difficiles à interpréter », reconnaît Dominique Costagliola. Marianne Langlet (1) Hernán MA, Jick SS, Olek MJ, Jick H. Entretien. Le vaccin contre l'hépatite B... ... et tous les vaccins obtenus par génie génétique Les vaccins sont préparés par manipulations génétiques de cellules mises en culture en laboratoire. Dans le cas du vaccin Genhevac B (hépatite B), par exemple, il s'agit au départ de cultures de cellules d'ovaire de hamster rendues "immortelles", c'est à dire cancérisées artificiellement.

Elles sont ensuite manipulées au niveau intime de leurs gènes pour les obliger à fabriquer les protéines "vaccinantes" ! Les dangers : Ces vaccins vont pouvoir inoculer au plus profond de notre organisme : des substances cancérigènes, indécelables, sans doute en quantités énormes. L'accumulation de vaccins de toutes natures, "tous azimuts", sans le moindre intérêt thérapeutique curatif ou préventif, épuise et affole le système immunitaire.

Tout ceci pour éviter une maladie complètement hypothétique, qui a tendance à régresser spontanément dans nos pays, et qui guérit spontanément, sans traitement, 999 fois sur 1000 ! Sources Dr Alain SCOHY - Orange.