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Veille d'actu - du 11 au 17 mars

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Khomille: Euh, allô ? T'es Google et... A second spring of cleaning. Google Reader est mort, vive le RSS ! Que fut le plus choquant : le fond ou la forme de l'annonce ? Hier soir, à l'heure avancée où les internautes hexagonaux auraient dû éteindre leur PC depuis belle lurette, est tombé le billet de Google sur son blog officiel. «Nouvelle session du ménage de notre printemps» , annonçait le titre... Vu la teneur de la première session, qui a consisté fin 2011 à fermer quelques uns des services Google les plus anecdotiques (Sidewiki, Fast Flip...), on aurait très bien pu choisir de ne pas lire ce billet-là.

Pourtant, planquée au milieu d'une nouvelle vague d'annonces de décès qui n’émouvront personne, il y avait cette phrase : «le 1e juillet 2013, nous fermerons Google Reader» . Et le monde s'effondra. Bon, d'accord, on sur-dramatise un poil. Mais il y a du vrai dans ce constat catastrophiste : les premières émotions qui saisirent les millions de blogueurs, journalistes et autres maniaques de la veille d'actu furent l'incrédulité, puis la colère, et immédiatement après, la panique. Google Reader Still Drives Far More Traffic Than Google+ Hitler finds out Google Reader is shutting down. Abandoning the Unprofitable: Google Reader and the Cruel Logic of the It-Gets-Better Business.

Written by Michael Thomsen (@mike_thomsen) Progress is only exciting in the first stages, when a fanciful idea becoming an attainable thing is most delightful. But if progress exists, it must also be maintained over long periods of time, to ensure its benefits remain in place even for those who've forgotten they're there. This week Google announced it will be closing its Reader service on July 1 for "two simple reasons," a decline in users and a desire to focus on a smaller number of products in the future. For many in the West the news was a reminder the dusty old service still existed, having long been surpassed by a number of reader alternatives more flexible and responsive to the increasingly varied habits of, and devices for, internet reading.The closure is also a reminder that progress always has a point of view, identifying groups of people as an audience worth serving while implicitly identifying others as unworthy.

RSS: Google Reader est mort, et c'est tant mieux. Google vient d'annoncer la mise à mort de son service de flux RSS, Google Reader, d'ici l'été 2013. Laissez-moi d'abord présenter mes sincères condoléances aux millions de personnes qui utilisent Google Reader –dont certains qui ont appris la triste nouvelle le jour de leur anniversaire–, et ont été choquées par cette nouvelle brutale. Si vous faites partie de ces internautes, quelques conseils pratiques: Google explique comment exporter ses données, voici un Google doc listant toutes les alternatives au service de flux RSS (et les cinq préférés de Cnet), et voilà une pétition pour demander à Google de ne pas tuer Reader.

Par ailleurs, si vous aimez Google Reader, c'est que vous aimez les flux RSS. Et si vous aimez les flux RSS, la mort de Google Reader peut en fait être vue comme une excellente nouvelle. publicité Le créateur d'Instapaper Marco Arment rappelle ainsi que quand l'outil a été lancé en 2005, avant les iPhones, «il a détruit le marché pour les clients RSS d'ordinateurs. Google Reader joins graveyard of dead Google products. It’s hard to lose a loved one, especially if that loved one is a Google service. That’s why we’re opening the gates of the Google Graveyard, a virtual space for grieving. Buried in these hallowed grounds are some of Google’s ill-fated services.

Some, like Google Reader, lived long, prosperous lives, full of admiration and glory. Most, like Google Wave and Google Buzz, struggled to carve out a place in this harsh, unforgiving world where technologies continuously clash and innovation reigns king. But whether these services transformed our productivity or only polluted our inboxes, they all touched our world in some way. Click on a grave to leave a flower, and let the healing process begin. Full-time graveyard staff robots clear out withered flowers regularly; only the last 3,000 are shown. Update, June 30, 2014: A new grave was added to the graveyard after Google announced that its first foray into social networking, Orkut, has passed into the technological nether.