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Musique en ligne Octobre 2011

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Musique : après iTunes, le piège Facebook ? Steven Levy on Facebook, Spotify and the Future of Music | Magazine. A decade ago, Napster's attempt to set music free was crushed by the music labels. Now, Facebook and Spotify (not to mention Google, Amazon, and Apple) have resurrected the dream. Hallelujah. Sculpture: Ebon Heath; Photo: Max Merz Even if Facebook CEO Mark Zuckerberg hadn’t been introduced to Spotify two years ago, it was probably inevitable that the two companies would hook up. The European music service had already won millions of fans, thanks to a business model that allowed music nuts to stream any song, instantly, for free.

More important, it made it easy for people to share music with one another. “I’d never even heard of Spotify, but Sean mentioned it to me one day,” Zuckerberg says. This brief blessing from the Pope of Poke presaged a turning point for the entire music industry. Every one of these young music companies is scrambling to attract Facebook users as quickly as possible.

But that’s changing now. [Chiffres] Spotify passe le cap des 2 millions d’abonnés payants. Spotify compterait désormais plus de 2 millions d’abonnés payants (ayant souscrit à l’une des deux offres tarifées 5 ou 10 € par mois) à travers le monde. La plateforme aurait donc enregistré une augmentation de près de 500 000 abonnés depuis la fin du mois d’août. Outre-Atlantique, le site de musique en streaming compterait déjà près de 250 000 membres, trois mois seulement après son lancement sur le nouveau continent. Ces scores s’expliqueraient notamment grâce au partenariat noué avec Facebook, concrétisé le mois dernier lors du F8. En effet, depuis cette alliance, le réseau social fait la promotion du service de streaming auprès de 800M d’utilisateurs, à travers son fil d’actualité et ses fonctions de partage. L’offre gratuite et illimitée pendant 6 mois, disponible aux Etats-Unis, ne devrait quant à elle que booster la progression du nombre d’abonnés payants à plus long terme.

On Spotify, File-Sharing & Incomplete Statistics. This guest post by Steve Lawson first appeared on New Music Strategies. Lawson is a musician, teacher and writer. His music and writing can be found at stevelawson.net. Since Spotify finally launched in the US, the discussion has reignited about what the benefits of it are for musicians. One recent conversation has involved people quoting diametrically opposite statistics about the influence of Spotify on file-sharing in Sweden. Some people quoting a stat that says file-sharing has dropped as Spotify has rolled out, and others saying that there’s more file sharing with Spotify… The problem with both statistics is that there’s no binary relationship between Spotify and file-sharing, and none of the articles I’ve seen writing about it have made any attempt to differentiate between different media being torrented, or indeed whether what’s been measured is number of unique users, number of files or quantity of traffic.

Which means? Spotify From a Musician’s Perspective. Spotify : revenus en hausse...mais coûts de licence aussi. Le service de streaming musical Spotify fait figure de cas particulier dans le domaine des services freemium grâce à un taux de conversion ( des abonnés gratuits prenant un abonnement ) élevé ( 15% ) par rapport au reste de l'industrie ( quelques pourcents en général ). Avec son entrée aux Etats-Unis, marché attractif mais où sont déjà présents plusieurs concurrents directs, le service a su attirer 400 000 nouveaux abonnés payants, lui permettant d'atteindre une base de 2 millions d'abonnés assurant des revenus réguliers, ce qui pourra encore être amplifié par le rapprochement et les interactions permises au sein du réseau social Facebook ( à moins que cette trop grande proximité ne finisse par avoir un effet contraignant ).

Ces initiatives doivent permettre à Spotify de voir son chiffre d'affaires augmenter significativement, et de fait les revenus de 2010 ont atteint 99 millions de dollars, contre 17,7 millions de dollars en 2009. Avec Spotify, les murs Facebook ont des oreilles - Coopération. Spotify et Facebook se sont donc passés mutuellement la bague au doigt. Une union censée être pour le meilleur. Même si nombre d'internautes tentent de prouver que le pire n'est pas si loin. Car depuis que le site d'écoute en ligne et le plus grand réseau social du globe ont décidé de fonctionner en symbiose, l'auditeur est entré dans une nouvelle ère, celle de la transparence, véritable opération à oreilles ouvertes.

Voyons d'abord ce qui se passe du côté du site de Mark Zuckerberg. Plus inquiétant, le réglage par défaut de cette fonction pousse le membre à divulguer ces instants d'écoute intimes, autrement dit ni plus ni moins que des aspects de sa vie personnelle, en temps réel, une orientation qui révèle beaucoup des évolutions de la philosophie facebookienne, consistant à faire interagir en permanence les existences des individus et à en déboucher le plus possible les zones d'ombre. Toutefois, devant le mécontentement général palpable sur les forums, Spotify a dû réagir. Musique : Google négocierait avec les labels pour ouvrir un magasin en ligne. Après avoir lancé en mai dernier son service Google Music, qui permet aux utilisateurs de stocker et d’écouter leur musique personnelle, Google aurait l’intention d’ouvrir un véritable service de téléchargement et de streaming.

C’est ce que rapporte Bloomberg qui dit s’appuyer sur trois sources selon lesquelles des négociations sont en cours avec les maisons de disques. Des accords d'ici la fin octobre ? Des accords pourraient intervenir d’ici la fin du mois pour permettre à la firme de Mountain View d’ouvrir un magasin en ligne de vente de musique et d’écoute en streaming qui viendrait concurrencer iTunes. On ignore s’il s’agit d’une plateforme réservée aux terminaux Android (smartphones, tablettes) ou un projet plus vaste. Google Music n’est pour le moment disponible qu’aux États-Unis et sur invitation. Ce service a été lancé sans accord préalable avec les labels car les négociations n’avaient pu aboutir. Google Music ; le crash test | musique en ligne.

Google vendra bien de la musique et se différenciera d'iTunes. Outre des informations sur le nombre de tablettes tactiles Android écoulées, Andy Rubin a aussi répondu à une question lors de l’AsiaD sur les rapports entre Google et la musique. Or d’après le créateur d’Android, la vente de musique ne devrait pas tarder, cependant, il ne faut pas s’attendre à un clone de l’iTunes Store d'Apple en termes d’offres.

Le futur service de Google devrait logiquement compléter le Google Music actuel Pour le moment, le géant du web se contente d’offrir un service de stockage en ligne nommé Google Music. Nous savons néanmoins via diverses rumeurs que des négociations sont en cours avec diverses majors afin de proposer de la musique à la vente, à l’instar d’Apple et Amazon notamment. Mais pour Rubin, « il y aura un rebondissement… il ne s’agira pas seulement de vendre des chansons à 99 cents ». Une concurrence déjà très rude Reste que la remarque sur les titres à 99 cents risque de faire couler beaucoup d’encre d’ici la sortie officielle du service.

Nil Sanyas. Un concurrent d'iTunes ? Google "y est presque" Google est-il enfin prêt à lancer un concurrent d'iTunes ? On a d'abord cru que l'initiative avait échoué, quand le moteur a lancé Google Music Beta, un service limité au stockage de musique en ligne, lisible en flux sur tout type d'appareil. Puis, le lancement de la boutique musicale de YouTube, avec l'appui de partenaires, a pu faire taire les rumeurs qui avaient recommencer à poindre. Mais il semblerait bien que ces rumeurs ne soient pas infondées. Le patron de la division Android, Andy Rubin, a en effet déclaré, lors d'une conférence, "Je pense que nous y sommes presque". A quoi ressemblera ce service ? Il aura un petit truc en plus, d'après Andy Rubin. Google Music : un magasin dans 2 semaines, intégration à Google+ Fin septembre, Google a ouvert aux États-Unis son service Google Music. Actuellement en version beta, la plate-forme de streaming musical n'est à l'heure actuelle accessible que pour les internautes américains.

Par ailleurs, elle se passe pour le moment de l'aval des majors de l'industrie du disque, dans la mesure où le moteur de recherche n'a signé aucun accord avec leurs représentants. Une boutique en ligne Si à l'heure actuelle, Google Music se limite à un espace de stockage à partir duquel les utilisateurs peuvent écouter en streaming sur n'importe quel appareil connecté les musiques qu'ils auront envoyées sur leur compte (jusqu'à 20 000), la firme de Mountain View s'est fixée de nouveaux objectifs à court terme dans le domaine de la musique, afin de concurrencer plus durement Apple et la nouvelle orientation de Facebook. Le Wall Street Journal rapporte que Google prévoit de lancer son propre magasin en ligne d'ici deux semaines.

Intégration à Google+ Des traces de Google Music Store dans l’Android Market. Musique - Article - Google fait monter les enchères sur le front de la musique. Avec 125 millions d’utilisateurs par mois et des milliards d’abonnés, YouTube, rachetée par Google en 2006 pour 1,76 milliard de dollar, accélère le pas vers la monétisation. En effet, la plateforme a annoncé le 16 octobre 2011, avoir signé des partenariats avec plusieurs acteurs – Topsin, Songkick - spécialisés dans les boutiques musicales en ligne (vente de billets de concert, merchansing). Par ailleurs, Amazon et iTunes figurent dans la liste de ces nouveaux partenaires malgré le fait qu’Apple représente toujours un concurrent de taille pour Google.

Depuis 2008, Google cherche à trouver des moyens de jongler entre son modèle initiale de plateforme ouverte, avec une « offre » gratuite de contenus, et la grogne des ayants droits qui cherchent à promouvoir et monétiser la présence de leurs contenus sur YouTube. Enfin, le Merch Store comprend un dispositif pour faire émerger de nouveaux talents, le « Online Indie Label Signups ». Deezer finalise des accords avec les majors pour son lancement à l'étranger. Champion français de la musique en streaming, Deezer a désormais les yeux tournés vers le marché étranger. Le PDG de la plate-forme musicale, Alex Dauchez, avait ainsi confié fin septembre son intention d'être "présent dans 130 pays" en concentrant les efforts du groupe "sur un lancement du service à une échelle globale partout ailleurs".

Depuis, les choses semblent avoir bien progressé. Interrogé par Reuters, le patron de Deezer a affirmé que les négociations avec les principales maisons de disques sont en bonne voie. Elles seraient d'ailleurs en cours de finalisation, à en croire Alex Dauchez. Ces accords doivent en effet permettre à Deezer d'obtenir des droits globaux que Deezer ne possède pas encore mais qui sont nécessaires pour se développer dans d'autres pays.

La stratégie internationale de Deezer comporte toutefois une particularité. Le groupe ne compte pas dans l'immédiat partir à l'assaut des États-Unis et du Japon. iTunes 10.5 disponible : en route pour iCloud. Apple’s Announcements: A Cheat Sheet for Music Fans. Apple iPhone 4S Apple’s big announcement wasn’t even over before Wall Street began hammering the company’s stock and rabid fan-people complained. Apparently, they wanted to see a cosmetically-different iPhone, rather than the internally-souped-up iPhone 4S — or maybe they would have just preferred if Apple called it the iPhone 5. Who cares about such trifling matters? Not us. We’re too busy thinking about what all of Apple’s news means for our favorite people: the ones who love music’s effect on their lives.

Here’s the deal. 20 Million Songs in iTunes Apple has the largest catalog of any music store, in the world, with over 20 million songs. iTunes Match: $25 Per Year Apple’s venture into the music cloud identifies the music on your computer and mirrors it from iTunes’ 20-million-song catalog with the iTunes Match feature, and unrecognized songs get uploaded, meaning that even your weird, rare, and live recordings can go there. No Mention of iPod Classic Faster Downloads with the iPhone 4S. Banques et marketing musical: quand le web s’en mêle. La crise bancaire n’est pas la crise de la musique A l’heure où les marchés financiers s’effondrent, les marchés musicaux tentent eux aussi de garder le cap.

Les deux secteurs, à priori aux antipodes, se serrent les coudes dans un contexte de crise globalisée et collaborent de plus en plus. Pour échapper à l’asphyxie ? Les banques et la musique, c’est un amour au long court, les deux secteurs ayant l’habitude de se côtoyer depuis toujours (question de financements) sans vraiment apprendre à se connaître. Je t’aime moi non plus Depuis quelques années, toutes les grandes banques françaises ou presque se sont positionnées sur ce secteur universel et fédérateur. Des initiatives qui frôlent parfois la surenchère : le Crédit Mutuel, partenaire historique de la Fête de la Musique et des Francofolies, s’est ainsi doucement fait rattraper par la Société Générale et sa carte co-brandée Universal « So Music » en 2008 ou encore le Crédit Agricole et son rachat de Skyrock en avril dernier.

Le bide de la Carte Musique Jeune se confirme. Le rapport Riester-Selles rappelle les fondamentaux de la Carte Musique Jeunes ; cette carte « permet aux jeunes de 12 à 25 ans de bénéficier de réductions de 50 % sur des services de musique en ligne (téléchargement ou streaming), dans la limite de 25 € par an ». Les auteurs soulignent aussi les liaisons intimes entre cette carte et la labellisation version Hadopi, déjà mises en valeur dans nos colonnes.

En effet, « pour en bénéficier, il suffit de s'inscrire sur le site officiel, de choisir parmi les offres labellisées par la HADOPI, et de récupérer un code d'identification ». Plus intéressant. On apprend que seules 50 000 cartes musique jeunes ont été vendues, un "bilan provisoire" au mois d’août 2011 : « A la date de rédaction du présent rapport, le bilan provisoire de la « carte musique » n’était pas encore disponible. Le nombre de cartes vendues s’élèverait, fin août 2011, à environ 50 000 (soit un coût potentiel pour l’Etat de 1,25 M€ au maximum) » (25 * 50 000). La nouvelle carte musique jeune prévue pour fin 2011. Etude : la suppression des DRM pourrait faire baisser le piratage. La Carte Musique. Voici en exclusivité, la nouvelle campagne pour la Carte Musique avec ces abribus dotés de 4 prises casques afin d’écouter directement sur la structure une sélection de 99 titres d’un artiste (Oxmo Puccino, Ayo, Kitsuné etc).

Le tout associé a un court film réalisé par Thibaut de Longeville. Abribus disponible dans Paris à partir du 2 novembre. Agence : Euro RSCG C&O. La Carte Musique Jeune lancée en version physique le 14 novembre. Un tout nouveau widget pour le téléchargement et le streaming pour les sites d’actualités musicales. Gobbler, service de sauvegarde, transfert et partage des projets et fichiers audio. The Orchard et sa MarketPlace: 20 outils pour diffuser et promouvoir sa musique. K7, disquettes, herbe et crucifixion…les packaging fous de (certains) labels indé. “La musique arrivera bientôt à la maison comme l’électricité ou le gaz » Plink-de-la-musique-collaborative-en-ligne-en-temps-rel?utm_source=dlvr.

Mixlr, et si vous diffusiez vos sets en live? Les chiffres clés de la radio 2.0. Marché de la musique en ligne : Rhapsody rachète Napster. How Musicians make Money Online (Infographic) First Look At The New MySpace: It's All About Music. A Roundtable Of Top Digital Music Thinkers Discuss F8, Facebook Music & More [VIDEO] Facebook Music’s Biggest Loser: Last.fm. YouTube : téléchargements iTunes et Amazon. YouTube se lance dans la vente de places de concerts. High-Tech Tools Help Bands Market Directly to Fans. Instinct - The easiest way to learn a musicial instrument | music innovation. 10 More Things You Didn’t Know About Turntable.fm. RecordMP3 Is Probably the Easiest Way to Record and Distribute Sound. Location-Based Music Changes Based on Where You’re Standing.

Hadopi confirms 60 French consumers are on their third strike. Hadopi: bilan négatif pour les artistes-interprètes. Création musicale et diversité à l'heure du numérique.