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21/06 - 27/06 Musique en ligne

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Piratage : le relevé d’infraction est imminent. 01net le 23/06/10 à 17h46 L'industrie du disque est impatiente. Après des années de procédures législatives, elle est enfin en mesure de mettre en place une surveillance automatique des réseaux de peer to peer (P2P) afin de constater les infractions au droit d'auteur. La Cnil a donné son feu vert à quatre organisations d'ayants droit il y a une dizaine de jours. Le dispositif de surveillance, confié à la société TMG, va être testé dans les prochaines semaines par au moins deux sociétés d'ayants droit, probablement dès le mois de juillet. Après une période de rodage, les relevés d'adresses IP commenceront. La Hadopi bientôt techniquement opérationnelle Sera-t-elle en mesure de le faire, alors que l'on attend encore la publication de plusieurs décrets relatifs à la loi Hadopi ? En tout cas, la Hadopi sera techniquement opérationnelle dès la fin du mois de juin, comme elle l'annonçait en mai dernier.

L'administration Obama en guerre contre le piratage, "du vol pur. Joe Biden reste droit dans ses bottes en matière de piratage. À l'occasion d'une conférence organisée hier à la Maison Blanche, le vice-président des États-Unis a présenté le premier Joint Strategic Plan entièrement dédié à la lutte contre le vol de la propriété intellectuelle. Accompagné de Victoria Espinel, la coordinatrice chargée de veiller au respect de la propriété intellectuelle, le vice-président a annoncé une riposte conséquente du gouvernement face au piratage, qu'il a décrit comme étant non seulement un "vol "pur et simple", mais également comme un grave problème de sécurité nationale. "Le piratage fait des dégâts, il affecte notre économie" a lancé d'emblée le vice-président Joe Biden, lors de son discours. Pire encore, c'est une menace de première importance pour la vitalité des États-Unis sur la scène internationale.

Quelques mois plus tôt, la Cour des comptes (GAO - Government Accountability Office) tenait pourtant un tout autre discours sur ce sujet. La Sacem compte sur l'Hadopi pour se refaire une s. Plus de 762 millions d’euros. Ce sont les droits d’auteurs perçus par la Sacem en 2009. Si ce montant est stable depuis plusieurs années, la société chargée de collecter les droits d’auteurs auprès des diffuseurs et des exploitants de musique est inquiète. Les ventes de disques en France ont presque été divisées par deux en dix ans. De un milliard d’euros en 1999, elles sont passées à 590 millions d’euros en 2009. Les secteurs le plus rémunérateurs pour les auteurs compositeurs sont aujourd’hui l’audiovisuel et le spectacle vivant. A eux seuls, ils représentent plus de la moitié des droits touchés par la Sacem.

Mais le contexte économique pourrait bien affecter ces sources de revenus. "Nous ne pouvons pas uniquement miser sur l’audiovisuel et le spectacle vivant. Hadopi, une loi "pédagogique" Alors pour compenser les ventes de disques et anticiper l’évolution de l’audiovisuel et du spectacle, la Sacem espère faire d’Internet un nouveau relais de croissance. L'industrie du disque veut que Google retire les liens menant à. Ce n'est pas la première fois que Google se retrouve bien malgré lui au centre de la bataille qui oppose l'industrie du disque, et plus généralement l'ensemble des ayants droit, aux sites accusés de favoriser le piratage d'œuvres, comme les hébergeurs RapidShare ou MegaUpload ou des sites spécialisés dans les liens BitTorrent, comme The Pirate Bay. En sa qualité de moteur de recherche, qui est l'un des plus importants au monde, le géant de Mountain View se retrouve donc souvent dans une posture particulièrement délicate, entre son obligation légale de retirer un lien allant à l'encontre de l'US Digital Millennium Copyright Act (une loi américaine pour la protection des droits d'auteur) et sa volonté de ne pas interférer dans ses algorithmes de recherche.

Dernièrement, l'industrie de la musique a lancé une vaste opération visant à obtenir le retrait d'un certain nombre de sites web suspectés de violer les droits d'auteur. La BPI n'est pas la seule organisation à suivre cette tactique. Super Crapule : France 5 tente d'expliquer Hadopi aux plus jeune. Musique: où est-ce qu’on paie? » Article » owni.fr, digital jour. Le numérique a bouleversé le modèle économique de la musique. Quand on aime les artistes, que faire pour les rémunérer justement, en l'état actuel du marché?

La numérisation est un problème pour la musique depuis ses débuts, enfin depuis la seconde moitié années 1980 et l’apparition du disque compact audio. On nous disait que c’était le support miracle, qu’en écoutant Tannhäuser sur CD, on pourrait percevoir distinctement le son des feuilles des partitions et entendre les déglutissements d’Herbert Von Karajan. Un son si clair, si précis, que rien ne nous échapperait, le nirvāna des mélomanes les plus exigeants. Plus miraculeux encore, ce support était immortel. Je dis bien « était », car il ne l’est pas resté bien longtemps. J’ai pris mon temps avant de venir au CD, car c’était très cher. La politique de certaines majors (…) a été de faire du fond de catalogue pendant des années, rééditant des trucs mille fois entendus, le tout emballé dans de pauvres pochettes faites à la va-vite. Petit traité de bulshitting à l’usage des conférenciers » Articl. On entend beaucoup de choses lors des conférences sur le futur de l'industrie de la musique, dont pas mal de "bullshit".

Virginie Berger, qui revient d'une de ces importantes rencontres, nous en livre ici la teneur. Virginie Berger était l’envoyée spéciale d’OWNI aux rencontres de l’Adisq (Association québécoise de l’industrie du disque). En direct live from Montréal, elle revient sur l’impression que lui a laissé les conférences, les thématiques traitées et la manière de les aborder. Impression pour le moins désabusée. Petit traité de bullshitting international à l’usage de ceux qui vont en conférence ou comment faire croire qu’on a plein de solutions pour « sauver » l’industrie musicale Lorsque l’Adisq m’a conviée à participer à ses conférences à Montréal, j’étais vraiment honorée mais également très excitée à l’idée de confronter mes points de vue au marché québécois.

Et puis en fait, non. Où sont les artistes ? Où sont les artistes, les consommateurs ? And then I talk about them. Airbuzz, le choix du mobile. Attention ! Voici la première plate forme mobile de musique « équitable ».Airbuzz se propose de créer un lien entre les artistes sans distinction ( Autoprods, indés, signés) et le public avec au programme, une plate forme accessible par téléphone portable , du streaming , du téléchargement et de nouvelles façons de faire sa promotion (Sms …etc ).

Le blog d’un artiste au travail dans un monde en vacances s’est penché sur l’équité selon Airbuzz … Les mobinautes sont invités à accéder au service mobile Airbuzz par l’adresse et s’inscrire gratuitement. Ils pourront découvrir, écouter ( de façon illimitée ) voir acheter les œuvres des artistes présents de la plate forme. Cet abonnement gratuit permet également la création d’un espace personnel avec des fonctions de playlist, de partage mais aussi d’obtenir via mobile les dernières news de son groupe ou artiste préféré. ( les forfaitaire 0.07€ de la Sacem sont à déduire des sommes ici présentées )

Pas de Carte Musique Jeune en ce 21 juin - Numerama. Elle devait être lancée en ce jour de Fête de la Musique, le 21 juin. Mais finalement, elle est bien repoussée à la rentrée de septembre. Déjà détestée chez les jeunes, la Carte Musique Jeune qu'a souhaité Nicolas Sarkozy pour subventionner l'industrie musicale ne verra pas le jour cet été. Pour inciter les internautes à payer leur musique en ligne, l'Etat financera la moitié du montant des cartes avec l'argent du contribuable, avec un budget de 75 millions d'euros sur 3 ans.

Les tickets d'achat ou de location de musique pourront être utilisés auprès des plate-formes partenaires, dont le nombre est encore inconnu. Le jour-même où elle donnait son autorisation de collecter les adresses IP sur les réseaux P2P pour mettre en œuvre l'Hadopi, la CNIL a étudié un projet d'arrêté sur la carte musique, pour probablement valider la création d'un fichier central des consommateurs. Mais ni son avis ni l'arrêté n'ont encore été publiés au Journal Officiel. La « carte musique jeunes » sera lancée après l'été - MUSIQUE IN. Google Music Downloads Coming, Subscription Next. Musique : Google à l'assaut de iTunes ? Après la téléphonie et la publicité, Google se préparerait à ouvrir un nouveau front contre Apple en s'attaquant au marché de la musique en ligne. Selon le Wall Street Journal, qui cite des sources proches du dossier, le moteur mène actuellement des négociations avec les maisons de disque.

Ce n'est pas la première fois que l'on prête à Google ce type d'ambitions. En 2009, le site TechCrunch affirmait que Google s'apprêtait à lancer un service d'écoute de musique en streaming directement depuis son moteur de recherche, en partenariat avec les services iLike et Lala. Mais l'information ne s'est pas vérifiée. iTunes : entre 70 et 90% du marché de la musique numérique Reste que le nouveau service évoqué par le quotidien américain ne devrait pas être lancé avant plusieurs mois même si les "discussions avec les Majors s'intensifient". Mais rien ne serait encore signé. Il combinerait téléchargement, abonnement avec le moteur comme porte d'entrée principale du service. Why You Should Pay For Music.

Let’s get one thing straight: I love free music. If a musician decides to give away an album, I’m the first to download it. I am against the RIAA lawsuits that sue people for sharing music. Rather than scaring people into buying music, I advocate a culture in which people actually want to spend money on music, because they understand the positive repercussions it has on the medium of recorded music, and the lives of the artists that produce it. What I hope to do in the following paragraphs is persuade you that not only does paying for music benefit that artist you claim to support, but also benefits you, the listener.

I’m not going to make a legal argument. I used to illegally download in high school. After high school, I went to NYU, hoping to become a recording engineer. During this time I also started to look for work in recording studios. As I saw this going on around me, I stopped to think. Perhaps people don’t really care about how artists make their living. Don’t believe me? 6 Analytics Tools for Musicians | Music Industry Blog. Audiotool.com.