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17/05 - 22/05

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Hadopi : Jamendo et Spotify demandent à être labellisés. Hadopi : une étude complète qui démontre une grande complexité. La semaine dernière, nous avions accueilli avec beaucoup de recul la publication parcellaire de l'étude qui permettait au Figaro d'affirmer que 50 % des internautes avertis auraient arrêté de télécharger . Il fallait en effet se garder de toute conclusion hâtive alors que le nombre d'internautes avertis parmi les sondés était extrêmement faible, trop pour en conclure quoi que ce soit. Surtout, l'Hadopi n'avait publié que 8 pages d'une étude d'une soixantaine de pages. Dans sa communication, appuyée par la visite expresse de Frédéric Mitterrand , la Haute Autorité avait en effet sélectionné quelques chiffres avec soin, sans que l'on puisse nuancer les conclusions par les autres questions qui restaient inconnues.

Or l'on voit bien dans l'étude complète (.pdf) à quel point les nuances et les mises en perspective sont importantes et permettent de beaucoup relativiser les conclusions faites la semaine dernière. Bravo. Vous avez dit "licite" ? Il faut aussi remarquer un certain paradoxe. Hadopi : Jamendo participe au label offre légale pour le bien de ses artistes. Remarques sur les remarques la contestation du droit d'auteur | site internet de patrice lazareff. Les labs hadopi ont publié le 8 mai 2011 un billet passionnant signé par Serge Champeau, professeur de philosophie, intitulé "Remarques sur la contestation du droit d'auteur".

S'il est heureux de constater que la réflexion avance doucement mais sûrement, quelques remarques méritent d'être formulées. En préambule, l'auteur souligne que le débat au sein du groupe de travail internet et sociétés doit prendre en compte l'état actuel du droit positif et s'inscrire vis à vis de ce dernier entre deux limites que sont «la révérence (qui revient à renoncer à toute critique des concepts juridiques) et l’arrogance (dont la forme la plus bénigne est l’ignorance, et la plus grave le rejet de tout le corpus juridique existant, qui ne peut que marginaliser la réflexion en la renvoyant du côté de l’utopie).»

À l'inverse de l'auteur, je place l'arrogance en second, car elle me semble moins dommageable tant dans son principe que ses conséquences. En guise de conclusion. Hadopi : TMG accusé de négligence caractérisée. « C’est tellement énorme que c’est à se demander si TMG n’est pas récemment devenu une filiale de Sony, ou si ce que vous allez découvrir n’est pas un honeypot » : l’introduction du billet de Reflets.info donne immédiatement le ton. Samedi, le site, où l’on retrouve notamment Olivier Laurelli (aka Bluetouff) révèle avoir déniché sur un serveur de TMG des traces possibles d’une négligence très caractérisée. TMG, pour mémoire, est la société chargée de flasher les internautes sur les réseaux P2P à la demande des ayants droit. Une fois ces constats validés par les agents assermentés de la SACEM, l’ALPA, la SPPF, la SCPP et la SDRM, tout le processus Hadopi peut démarrer.

Autant dire que le moindre couac en amont vicie tout le processus en aval où même le ministère de la Justice demande au Parquet de ne surtout pas procéder à des enquêtes supplémentaires. Bluetouff indique avoir accédé à ces informations « à portée de clic », donc a priori sans autre outil qu’un navigateur et une souris. La musique numérique représente 21,6 % du marché en France. Si la France est encore loin des pays comme les États-Unis, où une majorité des ventes de musique se passe de façon numérique via Internet ou par téléphone, les progrès sont néanmoins importants. En cause, comme toujours, la chute des ventes de CD cumulée à la hausse du marché numérique. Côté marché physique, les albums se vendent toujours en quantité importantes, avec 84,9 millions d’euros (-7,9 % en un an) récoltés lors du premier trimestre 2011 selon DisqueEnFrance.com, le site du SNEP (Syndicat national des éditeurs phonographiques). Les CD singles sont (quasi) officiellement morts A contrario, les singles continuent de s’écrouler, passant d’un chiffre d’affaires d’1,3 million d’euros début 2010 à seulement 700 000 euros début 2011 (-49 %).

À ce rythme, les spécialistes et la grande distribution ne vendront plus de simples d’ici peu de temps. Au total, les ventes physiques lors du premier trimestre ont donc généré 95,5 millions d’euros, soit une chute annuelle de 9,3 %. Nil Sanyas. Musique : la France se convertit petit à petit au "digital" - So_cult’ - ElectronLibre. Le marché de la musique en ligne progresse d’une année sur l’autre. Il représente désormais une part non négligeable, et le SNEP attend de l’état une aide à la production. 20% ! La France vient d’entrer dans la cour des grandes nations du digital musical.

Le SNEP a révélé ce matin une synthèse des chiffres du marché de la musique enregistrée pour le premier trimestre. Pour la première fois, les revenus tirés de la musique dématérialisée (Digital) représentent 20% du gâteau. David EL Sayegh, directeur général du SNEP a prévenu : "85% des gens pensent que l’offre légale est bonne, mais notre difficulté aujourd’hui c’est la monétisation", ajoutant : "Il ne s’agit pas de savoir si iTunes, Deezer ou Spotify sont rentables, mais s’ils nous permettent de produire". Prime Time De même, le SNEP voudrait que les producteurs soient consultés et informés pour un éventuel changement de format d’une radio musicale.

2012: Pour un ministère de la culture, de la communication et du numérique. A l’heure où la confusion règne, avec l’annonce de la dissolution du Conseil de la Création Artistique et celle, concomitante, de la création d’un Conseil National du Numérique, sans pour autant que les missions du ministère de la Culture et de la Communication soient clarifiées ni renforcées, il est temps de réfléchir à une refondation du rôle de ce ministère, pour qu’il soit en mesure de relever les défis culturels du XXIe siècle. Depuis 1997, les conditions d’accès à l’art et à la culture ont été profondément transformées du fait notamment de la révolution numérique et des progrès considérables de l’équipement des familles dans le domaine de l’informatique, de l’audiovisuel et de la communication. publicité Internet fait de plus en plus partie de nos vies Ces évolutions s’apparentent à une véritable révolution pour les pratiques culturelles.

Internet n'est pas une menace Le ministère des Affaires culturelles a été créé en 1959. Développer une offre adaptée à la révolution numérique. Médias & Publicité : «Les acteurs de l'Internet doivent financer la création»  INTERVIEW - Le ministre de la Culture et de la Communication Frédéric Mitterrand pose les conditions d'un dialogue avec les géants américains de l'Internet réunis à Paris pour le e-G8 Forum la semaine prochaine. En France, le ministre se réjouit de la mission que François Fillon vient de confier à Michel Boyon, président du CSA, sur l'évolution de la TNT et les chaînes compensatoires. LE FIGARO.- Quel message défendrez-vous devant Google et Amazon lors du e-G8 ? Frédéric MITTERRAND. - Il ne peut pas y avoir de développement numérique équilibré sans régulation des pouvoirs publics.

Par exemple, quand je suis arrivé au ministère, nous étions en pleine polémique à la suite des discussions conduites entre Google et la BNF. Nous y avons donné un coup d'arrêt, car il s'agissait de fixer certains principes. La difficulté, c'est que Google est persuadé de son bon droit et avance comme un rouleau compresseur, fort de sa formidable capacité d'innovation. Son ergonomie était trop compliquée. iTunes dans le nuage : un brevet de synchronisation sélective.

Un nouveau brevet déposé par Apple dévoile une piste sur le fonctionnement possible d'un futur service de musique en ligne. L'idée est de stocker sur l'iPhone (ou autre appareil mobile) de très courts extraits de chacun des fichiers audio stockés en ligne. Cela aurait un double avantage. D'abord celui de la place occupée puisque les morceaux n'y figureraient que partiellement. Ensuite, leur lecture pourrait démarrer immédiatement, tandis que le reste aurait le temps d'être récupéré depuis le nuage.

Même chose si l'on change brusquement de morceau sans que l'application ait eu l'occasion de stocker le nouveau titre en cache, sa lecture démarrerait aussitôt plutôt qu'après un délai de connexion et de téléchargement. Le brevet est illustré d'un schéma d'iTunes pourvu d'une nouvelle option "Sync Partial Music" pour activer ou non ce mode opératoire. Apple peaufinerait un "Cloud" musical. L’avenir de la musique numérique passe par le Cloud. Après Amazon et Google, Apple préparerait le lancement prochain de son propre service de musique « in the Cloud », évidemment lié à iTunes… Selon Greg Sandoval de CNET, Apple aurait récemment signé des accords avec EMI et Warner, et serait sur le point d’en faire autant dans les prochains jours avec Sony et Universal.

L’entreprise avait, il y a quelques jours, signé un accord avec DuPont Fabros Technology pour la construction d’un second Data Center gigantesque à Santa Clara (Clafornie). Ces deux éléments réunis confortent l’hypothèse d’une disponibilité prochaine d’un service musical in the Cloud à même de concurrencer le service lancé en Mars par Amazon et celui annoncé la semaine dernière par Google. Quelle différence entre ce futur service et celui d’iTunes ? En mars dernier, Amazon a lancé aux US son service « Cloud Player » associé à son système de stockage en ligne « Cloud Drive ». MobileMe 2.0 / iCloud : Apple aurait signé un accord avec Sony. L’information n’a pas encore été vérifiée mais elle n’en reste pas moins intéressante. D’après Bloomberg, Apple serait en effet parvenu à signer un accord avec un autre major : Sony.

Plutôt une bonne chose quand on sait que la firme devrait bientôt lever le voile sur un service de musique dématérialisée jouant à la fois sur le terrain du stockage en ligne et de l’écoute en streaming. Après EMI, Apple peut donc ajouter une seconde maison de disque à sa liste et autant dire que cet accord devrait lui permettre de convaincre sans problème Universal de se joindre à sa cause.

MobileMe 2.0, iCloud, iTunes Connect, ou quel que soit le nom du prochain service de la firme, se rapproche de plus en plus de nous, c’est un fait. En toute logique et comme nous l’avons évoqué dans un article précédent, ce nouvel outil pourrait même être présenté le 6 juin prochain, à l’occasion de la WWDC. Après EMI et la Warner, c’est donc Sony BMG Music qui aurait cédé aux avances de la Pomme Croquée.

iTunes dans le nuage : second volet des négociations. Apple a beau avoir signé avec Warner Music, Sony Music et EMI et probablement bientôt avec Universal Music, son chemin de croix pour lancer un service de musique en ligne n'est pas terminé explique Peter Kafka chez All Things Digital. Après les majors, un second volet de négociations vient d'être ouvert, avec cette fois les sociétés de gestion des droits d'auteurs. Tout comme les majors, elles ont leur mot à dire sur l'utilisation faite des morceaux de musique.

Les majors détiennent les droits sur les enregistrements, les autres s'occupent - entre autres - de vérifier l'usage qui est fait de ces morceaux et de collecter et reverser les royalties aux artistes. Ces sociétés dépendent dans certains cas des majors, mais un accord avec une partie n'est pas forcément valable avec la seconde. Les contacts de Kafka expliquent qu'Apple a seulement commencé à discuter avec ces éditeurs, les majors ayant été gérées en premier. Sur le même sujet : - iTunes US : les extraits vont passer à 90 secondes. Musique en streaming : Apple en passe de signer avec les maisons de disque. Ballade sur le nuage. Les erreurs de ZéroThune : la musique - Vialet's blog. La minute Geek – Offrir un MP3 en échange d’un Tweet. Comme vous êtes des lecteurs assidus de “Don’t Believe The Hype“, vous savez maintenant que Twitter est un outil incontournable pour votre promotion musicale.

Cette fois ci, nous allons voir comment inciter un twitternaute (?) À parler de votre groupe en échange d’un petit cadeau. Dans notre exemple, ce sera en échange d’un MP3 gratuit, mais on pourrait, par exemple, offrir un accès à une zone privée avec du contenu exclusif. Le principe : Nous voulons créer un widget sur notre site web qui offrira la possibilité à un visiteur de poster un message sur son compte Twitter en échange d’un MP3.

La méthode : 1/ Créer une application @Anywhere : Twitter a développé une librairie javascript, appelé @Anywhere, qui permet de mettre en place une application Twitter sur votre site web simplement. Cette application vous permettra d’accéder aux informations d’un utilisateur, de lire ses tweets et de poster de nouveaux tweets. 2/ Installer un Widget : Votre page devrait ressembler à : Les sources : 6 Standout Apps From SF Music Hack Day. A Picture Is Worth A Thousand Words: Abandon Text, Go Visual To Drive Traffic. Professionnels ou guitaristes en herbes, cette application est faite pour vous! Musique en ligne. Les Bopler Games : une nouvelle forme de diffusion musicale - ZikNation | musique en ligne.