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08/02 - 14/02 - Actu Musique en ligne

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Warner to quit free music streaming. Record label Warner Music has said it will stop licensing its songs to free music streaming services. Companies like Spotify, We7 and Last.fm give free, legal and instant access to millions of songs, funded by adverts. Warner, one of the four major labels, whose artists include REM and Michael Buble, said such services were "clearly not positive for the industry". That raises questions over the future of free streaming, which is popular with fans but not lucrative for labels. Spotify has seven million users in six European countries and is in negotiations to launch in the US. Ninety-five per cent of those fans use its free service, hearing adverts between songs, while 250,000 pay a monthly fee to get it on a mobile and with no ads.

Two-and-a-half million people use We7's free offering, while Last.fm is also free in the US and UK. Other popular audio services include Deezer, Pandora and Grooveshark. And they would be much more profitable than per-track downloads in the long term, he added. Le début de la fin du streaming? | slate. La nouvelle est un coup de tonnerre dans le milieu de la musique en ligne. Warner, une des 4 grandes majors qui contrôlent 70 % du marché de la musique dans le monde, a annoncé mercredi 10 février qu'elle ne croyait plus en l'avenir des sites de streaming gratuits, comme Spotify, Deezer ou Last.fm. Edgar Bronfman Jr, patron de Warner, estime que les «services de streaming gratuits ne sont clairement pas positif pour l'industrie [...] ce n'est pas l'approche que nous allons développer dans le futur», d'après des propos rapportés par le site de la BBC.

Un porte-parole de Warner, cité par le Guardian, explique que la major ne devrait pas dénoncer les contrats en cours et des artistes comme T.I., Feetwood Mac et R.E.M devraient donc rester disponibles sur Spotify ou Deezer. Les intentions de Warner ne sont pour l'instant pas claires sur les albums à sortir prochainement et qui auraient dû normalement se retrouver sur ces sites. [Lire l'article complet sur la BBC] publicité Devenez fan sur. Du mouvement dans le domaine de la musique en ligne. Le PDG de Warner Music ne croit plus au streaming gratuit. A l’occasion de la présentation des résultats trimestriels du groupe, Edgar Bronfman, PDG de Warner Music Group, a confié sa défiance à l’égard des services d’écoute de musique gratuits sur internet et sa confiance dans le modèle de l’abonnement.

Mais peut-il avoir l’un sans l’autre ? Warner Music Group vient d’annoncer une perte de 17 millions de dollars au premier trimestre de son exercice fiscal clos le 31 décembre 2009, bien que son chiffre d’affaire ait progressé de 3 % sur le trimestre (- 2 % à taux de change constant), à hauteur de 918 millions de dollars. Un résultat qui révèle surtout les contre-performances de la maison de disques sur le marché américain. Les ventes de la major ont en effet progressé de 12,7 % à l’international sur la période, et reculé de 9,5 % outre-Atlantique. Même constat dans le numérique, qui représente 20 % des revenus globaux de la compagnie (34,7 % aux Etats-Unis) et ne progresse que de 8 % sur un an. Pas de pitié pour le streaming. 918 millions de dollars. Deezer aussi pourrait perdre Warner qui ne fait plus confiance à.

Ca ressemble au début de la fin pour le mirage de la musique disponible à la fois gratuitement et légalement sur Internet. Sauf à imposer une licence globale ou à abandonner tout espoir de rentabilité, un tel dessein ressemble plus à une chimère destinée à rassurer temporairement les maisons de disques qu'à un modèle économique viable.

Dès l'accord en 2006 avec SpiralFrog aux Etats-Unis, le premier du genre, il nous semblait clair que la publicité ne parviendrait jamais à financer à la fois les maisons de disques et les éditeurs des plateformes. Les majors elles-mêmes n'y ont tellement pas cru qu'elles ont exigées de soit-disant minimums garantis dont les montants sont en fait tellement élevés qu'il s'agit plutôt pour elles de presser le citron tant que des investisseurs fantasment et remettent le couvert tour de table après tour de table. Jusqu'au jour où le citron ne rend plus de jus. Cependant n'est-ce pas trop tard ? Ce qu'avait d'ailleurs initié Warner... La fin du modèle gratuit?

Nombreuses sont, ces jours-ci les annonces de fin du modèle gratuit. Edgar Bronfman Jr (patron de Warner Musique) vient d'en dire autant de mal qu'il pouvait tandis que Spotify, qui cherche désespérément à entrer aux USA depuis cinq mois, bute d'après un négociateur proche du dossier, principalement sur ce point. Les Majors en ont assez du gratuit, et même du Frimium, combinant un produit d'appel gratuit, avec une offre plus qualitative, elle payante. Quel est la raison de ce revirement? Plusieurs études semblent avoir montré que beaucoup de consommateurs se satisfont plutôt bien des offres gratuites telles qu'elles existent. Ces études mettent en avant un point plus ennuyeux pour les maisons de disques ; le gratuit renforcerait auprès des consommateurs l'idée que la musique ne se paye plus.

Jusqu'à présent, les majors l'acceptaient à peu près. Ma petite entreprise ne connait pas la crise. Ca n'a frappé personne? Vous n'avez pas remarqué que lorsque l'on rentre dans un centre commercial, il est difficile de ne pas y trouver un magasin d'instruments de musique? Tandis que le monde de la musique enregistrée ne cesse de compter les années de crise, celui des fabricants et marchands d'instrument semble en plein développement. Interrogé, un marchand de la rue Blanche à Paris qui fait ce métier depuis 30 ans nous déclare "il y a vingt ans, on vendait quelques instruments, beaucoup plus chers, maintenant on vends beaucoup beaucoup plus, mais un peu moins cher [] et c'est vrai qu'on a jamais vendu autant que ces derniers temps". Une des façons de voir ça consiste à se dire que finalement on n'a jamais autant écouté de musique et on n'en a jamais autant partagé, grace ou à cause de l'internet et des payers mp3. Par mal non?

Zimbalam.fr semble être l'un des rares à essayer de proposer des outils pour les artistes en développement. Avis aux amateurs et longue vie à eux, donc... Revue de presse, revue de blogs. Gerd Leonhard | Media Futurist | Le fond et la forme | B comme B. Gerd Leonhard est un mediafuturist. D’ailleurs le site mediafuturist lui appartient c’est dire.

En gros c’est le nostradamus ou la madame irma des medias : “demain on sera mobile”, “jeudi en 8, la musique sera de la flotte”, “2009 ou the rise of twitter” écrit une heure après la création de Twitter, “pourquoi spotify va mourir alors que tout le monde annonce son essor”. Bref c’est un gourou. Gerd Leonhard est un gourou sur à peu prêt tout ce qui touche de prêt ou de loin aux contenus et à ce que l’on appelle communément le web2.0. Il passe d’ailleurs sa vie à donner des présentations et à parler du fait qu’il donne des présentations ici ou là. Le mec est un gourou visionnaire, tu te dis que ses présentations doivent être top moumoute et à la pointe de ce qui se fait sur le web. Les jurés de l’académie des biens belles et biens bonnes présentations feraient arrêt cardiaque sur arrête cardiaque s’ils voyaient la gueule des présentations du Media Futurist.

Tout ça pour quoi ? Droit de réponse à Allplugged.com. Allplugged.com n’a pas laissé les internautes indifférents ! Un véritable débat s’est installé dans les colonnes numériques de Bidibule.fr depuis la publication de cet article. Rubens Mamane co-fondateur du service m’a depuis contacté pour éclairer son côté de la route. C’est donc tout à fait logiquement que j’ai accepté de lui laisser un droit de réponse sous la forme d’une interview. En avant la musique... Bonjour Rubens. Après de nombreux mois de réflexions, d’efforts et de développement, le site est finalement sorti en version béta privée fin novembre 2009. Vous m’avez contacté suite aux nombreux commentaires des internautes sur l’article présentant votre service.

La première chose à laquelle j’aimerais répondre, est le fait que certains commentaires aient comparés All Plugged à une boite à Spam, ou à invitations.Ceci est très étonnant, puisque cela n’est pas du tout la philosophie d’All Plugged. Comment vous est venu l’idée de créer un tel service ? 30% ? Marketing rock 2.0 : quoi de neuf depuis la dernière la fois? (A. Dans le cadre "marketing rock 2.0", voici quelques nouvelles des programmes que je suis depuis quelques mois, et dont j'ai déjà parlé ici : les nouvelles sorties des Smashing Pumpkins, Ash, Bromheads ainsi qu'une description d'un service déjà connu mais potentiellement intéressant, Modlife. 1) Billy Corgan Voici quelques mois, Corgan annonçait sa louable intention de sortir le nouveau Smashing Pumpkins gratuitement, un morceau à la fois. Seuls deux morceaux sont actuellement disponibles (les très moyens Song for a Son et Widow Made My Mind) et Corgan sortira un EP après que le quatrième morceau soit disponible.

Mais à ce rythme-là, Teargarden by Kaleidyscope ne sera pas terminé avant quelques années. De plus, Corgan est fort peu disponible, et offre peu de mises à jour sur son projet, se contentant de tweets pseudo-ésotériques. C'est mal parti, tout ça. 2) Bromheads 3) Ash Ash continue son petit bonhomme de chemin, continuant à sortir un nouveau morceau toutes les deux semaines. 10 bonnes raisons d’acheter des compacts disques par J.G.S.B.

Apple contre Amazon « Désélection Naturelle. Apple et Amazon.com sont dans une lutte pour être les distributeurs du contenu numérique du futur. La lutte n’est pas nouvelle entre le constructeur californien et le libraire en ligne de Seattle. Depuis longtemps, les deux compagnies ont leur service de vente et de location de films et séries télévisées en ligne, même si aucun n’a réussi à percer. Par contre, fort du succès de son iPod, Apple a imposé iTunes Store comme le magasin d’achat de musique numérique en ligne. La firme de Jeff Bezos, elle, propose un service concurrent (Amazon MP3) qui est le numéro deux du marché – même s’il reste loin derrière iTunes Store. Les hostilités sont montées d’un cran lorsqu’Apple a annoncé l’iPad, positionnant ce dernier en concurrence directe avec le Kindle, le livre électronique d’Amazon.com.

Mais Apple arrive avant qu’Amazon.com n’ait verrouillé le marché, qui plus est avec un iPad qui représente une concurrence redoutable au Kindle. Deux logiques opposées Pour Apple c’est l’inverse. Like this: L'iTunes Store s'approche des 10 milliards de téléchargement - N. Il y a un peu moins de quatre ans, l'iTunes Store dépassait le milliard de chansons vendues.

À l'époque, bien loin des promesses de Renaud Donnedieu de Vabres sur l'interopérabilité, la boutique en ligne continuait de proposer un catalogue verrouillé par les DRM, condamnant les consommateurs à utiliser du matériel Apple pour profiter de leurs achats. Les titres, vendus à un prix fixe de 0,99 euro, étaient encodés au format AAC et encapsulés dans FairPlay, la mesure technique de protection conçue par la firme de Cupertino. Il aura fallu attendre trois ans pour qu'Apple se décide enfin à abandonner les DRM sur iTunes. Mais à quel prix : pour persuader les quatre grandes maisons de disque de mettre à disposition leur catalogue sans le moindre DRM, il a fallu qu'Apple abandonne l'une de ses spécificités : la tarification unique. À la place, la plate-forme légale a mis en œuvre une nouvelle politique tarifaire, avec des morceaux vendus entre 0,69 et 1,29 euro. Loppsi : début des débats vers 16h30 à l'Assemblée Nationale - N. C'est aujourd'hui mardi 9 février que les députés doivent entamer à l'Assemblée Nationale la discussion du projet de loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, dit "Loppsi".

La discussion générale devrait s'ouvrir autour de 16H30, après les questions au gouvernement et les explications de vote sur le projet de loi finances rectificative. Si le calendrier est respecté, les débats devraient se poursuivre jusqu'au jeudi 11 février. Le vote aura lieu dès le mardi 16 février. Très vaste, avec un texte modifié par la commission des lois qui s'étale sur 115 pages, le projet de loi Loppsi nous intéresse à plusieurs titres, qui touchent directement à Internet.

Outre l'article 4 qui concentre l'essentiel des attentions et des critiques puisqu'il propose le filtrage des sites pédopornographiques, a priori finalement encadré par un juge, plusieurs articles sont à suivre. Internet : Le téléchargement sous la loupe | Économie | Radio-Ca. Photo : PC/AP/Jacques Brinon Les internautes québécois téléchargent en majorité des produits québécois, selon une étude dévoilée mardi. Les Québécois téléchargent entre 150 et 300 produits culturels par an sur les réseaux d'échanges de fichiers, montre une étude.

Fruit d'une collaboration entre l'Observatoire de la culture et des communications du Québec (OCCQ), l'Institut de la statistique du Québec et l'Institut national de la recherche scientifique, le document s'est penché sur les pratiques de quelque 300 000 internautes connectés à un site de poste-à-poste (peer-to-peer ou P2P), dont plus de 60 000 Québécois. Résultat, les internautes téléchargent entre 150 et 300 produits culturels sur ce réseau. De ce nombre, la musique québécoise représente 51 % des téléchargements des usagers québécois, alors qu'elle représente 21 % du contenu offert sur le site. . « L'idée que les Québécois vont sur Internet pour des produits américains serait fausse. » — Martin Tétu, auteur de l'étude. Hadopi, Loppsi, Acta... Qui veut tuer l'Internet? | slate. Loin de l'image habituelle d'un impitoyable far west, le web est en réalité un espace surréglementé et l'arsenal législatif le concernant ne cesse de s'accroître.

Hadopi, Loppsi, Acta... En règle générale, il est de bon ton de faire comme si tout le monde en comprenait les tenants et les aboutissants. Mais au final, on peut parier sans trop de risque que l'écrasante majorité des 37,4 millions d'internautes français âgés de plus de 11ans n'y entravent rien, et que tous ces acronymes leur évoquent autant de choses que le classement des particules subatomiques.

Voici donc une tentative d'éclaircissement à l'usage des non-spécialistes. publicité La jungle des acronymes Hadopi: en réalité, ce n'est pas une loi mais un organisme créé par une loi. Loppsi: «Loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure». Acta: «Anti-Counterfeiting Trade Agreement». Loppsi, quels dangers? Comme Hadopi, Loppsi a ses détracteurs. A priori, ça semble de bon sens. Et l'Acta alors? TMG, le bon indic pour Hadopi.

Mitterrand prône une Hadopi européenne lors d'un déplacement à M. Musique en ligne : le service Rhapsody va voler de ses propres a. Lancé en décembre 2001, Rhapsody fut certainement l'une des toutes premières boutiques de musique en ligne, bien avant l'arrivée du rouleau compresseur Apple et son fameux iTunes Store. Uniquement disponible aux États-Unis, la co-entreprise était gérée par RealNetworks et Viacom, à travers sa filiale MTV Networks. Cependant, après huit ans de bons et loyaux services, les deux actionnaires du service ont annoncé hier leur intention de transformer Rhapsody en société indépendante en réduisant leur participation.

Toutefois, le site ne part pas sans le sou puisque les deux sociétés vont chacune verser une somme importante, afin d'éviter de voir Rhapsody s'effondrer dans les prochaines semaines. RealNetworks va verser 18 millions de dollars tandis que Viacom va débourser 33 millions de dollars. Il n'en fallait pas moins pour un service qui s'engage dans un secteur très concurrentiel et dominé par l'iTunes Store. Topspin Shares Impressive Music Marketing Study. Topspin Media » Marketing with Data. Être un artiste en 2010... A Concept for Reinventing MySpace. 1D-PACA.com : première plateforme régionale de vente en ligne dé. Australian Music Industry Experiences First Sales Growth Since 2. Microsoft grillé par l’iTunes Store. MySpace CEO Van Natta Is Out After Just 10 Months. MySpace, R.I.P – GigaOM. Alain Brunet. Les lieux de musiques actuelles en milieu rural. Weezer's Rivers Cuomo will write a song with you | MusicRadar.co.

Les White Stripes font plier l’armée - CURIOSITÉS - Actualités - Musique : Musique : les start-up qui profitent du nu. De l'intangibilité de la musique numérique. Musique partout, désir nulle part ? : LesInrocks.com. Musique plus chère, ventes en baisse. Interview : la crise du disque selon Emmanuel Torregano. Interview du Journaliste Emmanuel Torregano : Sawndterview.

L'édition reproduit les schémas de la musique (Piver) - ActuaLit.