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Fin ?

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The Closing of the Village Voice, Downtown’s Magic Mirror. The last time I visited the Village Voice’s old, big newsroom, near Cooper Square, was three years ago, when I went seeking copies of columns that I had written between 1991 and 1998, during the third of my stints as the downtown weekly’s art critic. Like most of the paper’s archives, many of those pieces have survived only in bound volumes of dingy newsprint, never digitized and, in my case, long lost on a defunct laptop. Gaining entry to the locked premises was hard. The person who finally admitted me seemed surprised to see a visitor. A very few people, not appearing to be up to much, sat far apart at desks in a dimly lighted panorama of desuetude. Between trips to a photocopier with the massive, sad tomes, I scanned the contents of numerous issues: products of passionate reporters, clued-in critics, brilliant writers, deft designers, and crackerjack photographers and cartoonists—too many, in each case, even to start mentioning here.

Des modèles d’affaires transactionnels aux business models relationnels. L’idée centrale de cet article est d’explorer les modèles d’affaires (MA). Il s’agit notamment de montrer leur adaptation progressive à l’économie numérique basée sur la valeur-data. Il apparaît globalement que les MA orientés numériques reposent plutôt sur la valorisation des fruits d’une relation (y compris en monétisant les données collectées lors de la dite relation avec le client/usager/internaute) que sur celle des fruits d’une transaction. Production, transaction et relation En d’autres termes, face à un individualisme connecté et volatile, l’entreprise qui l’est tout autant, doit apprendre à ne plus proposer simplement sa production mais l’ensemble des services, des connexions et des opportunités qui s’y rattachent. Nous parlerons ici de modele d’affaire (MA) ou de business model (BM). Nous avons retenu une approche essentiellement descriptive qui adopte une démarche quasi linéaire.

Du modèle économique au modèle d’affaire : dix cas emblématiques. La Redoute, passée de ringarde à avant-gardiste. La mue de l’ex-géant de la vente à distance en e-commerçant fut parfois douloureuse. Il a fallu changer toute l’organisation, et faire un plan social de 1 178 personnes. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Cécile Prudhomme Donné pour mort il y a trois ans, le groupe historique de vente à distance La Redoute et ses dirigeants enchaînent aujourd’hui les récompenses. Prix de la stratégie de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance, trophée de l’innovation du magazine LSA pour son application mobile, personnalité e-commerce des dix dernières années ou encore meilleure relation client en ligne… C’est bien simple, le dessus des armoires du bureau parisien de Nathalie Balla et Eric Courteille, deux anciens cadres dirigeants – autrefois PDG de La Redoute et secrétaire général de sa maison mère Redcats – qui ont repris l’enseigne le 2 juin 2014, en est rempli.

Mais pas seulement. A l’équilibre en 2017. Emily Bell : « les réseaux sociaux sont plus puissants que les médias » LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Propos recueillis par Alexandre Piquard Lors d’une intervention à l’Université de Cambridge et dans une tribune parue début mars dans la Columbia Journalism Review intitulée « La fin du monde tel que nous le connaissons : comment Facebook a avalé le journalisme », Emily Bell, directrice du Tow Center for Digital Journalism, à New York, et ancienne patronne des activités numériques du quotidien britannique The Guardian, met en garde les médias. Elle dénonce l’essor des réseaux sociaux comme intermédiaires de distribution. L’écosystème des médias a-t-il vraiment davantage changé en cinq ans qu’en cinq cents ans ? L’avènement du Web social sur mobile est un bouleversement majeur quand on pense à la lenteur avec laquelle les médias se sont développés jusqu’ici, de l’invention des caractères d’imprimerie aux rotatives industrielles, etc.

Les systèmes passés associaient un émetteur à de nombreux lecteurs ou spectateurs.

La Presse

TNR. WhatsApp, canal émergent pour l'information sur mobile. Lors de la campagne électorale indienne d'avril-mai 2014, le futur premier ministre indien Narendra Modi a innové en utilisant la technologie de l'hologramme pour être simultanément « présent » dans des centaines de lieux à la fois. Sans aller jusque-là, la BBC a elle aussi utilisé un moyen de diffusion inédit : la chaîne britannique a eu recours en Inde au service de messagerie mobile WhatsApp pour informer ses lecteurs avec trois messages quotidiens en hindi et en anglais. Une utilisation originale de cette application d'abord destinée à offrir, via Internet, une alternative aux SMS. Et rachetée en février par Facebook pour 19 milliards de dollars (14 milliards d'euros). Lire WhatsApp : des chiffres qui donnent le vertige Pour la campagne en Inde, la BBC avait créé un numéro de téléphone spécial, que les utilisateurs pouvaient enregistrer dans leur téléphone pour recevoir les informations de la chaîne.

Diffuser des infos et en faire remonter Des précédents aux Philippines ou au Brésil.

Springer

Publicité : 9 leçons sur un marché qui se rétablit… lentement. Le marché publicitaire va un peu mieux, ou plutôt moins mal. C'est la conclusion des chiffres publiés, mardi 11 mars, par l'Institut de recherche et d'études publicitaires et France Pub : les recettes publicitaires des médias ont reculé de 3,6 % en 2013, à 13,282 milliards d'euros. Les dépenses de communication totales des annonceurs baissent de 3 % à 30 milliards (elles incluent la promotion sur les lieux de vente, l'événementiel...)

Dans le détail, ces chiffres cachent des évolutions très différentes selon les secteurs. Qui invitent les acteurs du secteur à un optimisme mesuré. 1. Avec une croissance du PIB médiocre en 2013 (+ 0,3 %), les recettes publicitaires des médias reculent davantage, à - 3,6 %. Le marché est à peu près au niveau de 2004, en valeur nette, il est stable sur 10 ans, note M. 2. Selon les prévisions de l'Irep, les recettes publicitaires des médias ne devraient reculer cette année "que" de 1,5 % (sur la base d'une hypothèse de croissance du PIB de 0,9 %). 3. 4. 5. Le Monde diplomatique.

Les régies et les rédactions doivent être à terme fusionnées. Le cofondateur de Reworld Media, Pascal Chevalier, était l'invité de l'émission "Les Décideurs du Net", et s'est exprimé sur les priorités de son groupe. Avec le rachat de Marie-France et celui de l'activité Presse Grand Public (PGP) d'Axel Springer France, Reworld Media s'est très rapidement positionné sur la carte des pure-players, fort de ses 40 millions de chiffre d'affaires, aux côtés d'un autre nouvel arrivant, Fimalac. Son co-fondateur, Pascal Chevalier, était l'invité de l'émission "Les Décideurs du Net", présentée par le JDN et Décideurs TV, en partenariat avec Offremedia, ce jeudi à 12h30.

"Je crois beaucoup non pas à une marque presse mais à une marque média. Une marque média doit aujourd'hui se décliner sur l'ensemble des supports : papier, Internet, mobile", annonce Pascal Chevalier pour expliquer le positionnement de son groupe. Pour lui, il est plus facile de rajeunir une marque existante que d'en lancer une. Autre sujet important, la data.

Casse

Buzzfeed is Building a Native-Advertising Network. The Rise Of The Ephemeralnet. In the aftermath of the dot-com crash, a new era for the web began to take hold – a turning point whose seismic shift was hyped under the moniker “Web 2.0.” The concept referred to the web becoming a platform, a home for services whose popularity grew through network effects, user-generated content and collaboration.

Blogging, social media sites, wikis, mashups, and more reflected a changing consciousness among the Internet’s denizens – one which Tim O’Reilly, whose Web 2.0 conferences helped solidify the term as a part of our everyday lexicon, once described as a “collective intelligence, turning the web into a kind of global brain.” Since that time, because of humans’ intrinsic need to apply a structure to amorphous things to give them a semblance of order – things like the web, for example – there have been many attempts to define what “Web 3.0″ might be.

At one point, the assumption was that Web 3.0 woud be the “semantic web.” So what will come next? A Rebellion But we did it anyway. Vers un web éphémère. La lecture de la semaine provient de Techcrunch, le magazine en ligne américain et geek, sous la plume de Sarah Perez. Et il s’intitule : « la croissance de l’Ephémérique ». Sarah Perez commence par expliquer que depuis l’avènement du Web 2.0, – en gros le Web que nous connaissons depuis le milieu des années 2 000 -, nous nous perdons en conjecture pour savoir ce que sera le Web 3.0. On a parlé de Web sémantique, rappelle-t-elle, celui où la machine pourrait lire les métadonnées, « ce qui permettra au web et aux services qui en vivent de comprendre les contenus et les liens entre les gens, les lieux et les choses dont les serveurs sont pleins ». D’autres prétendent que le Web 3.0 sera l’internet des objets, on en a déjà parlé plusieurs fois ici même.

D’autres encore prédisent un web tout à fait personnalisé. Mais conclut-elle, pour le moment, aucune des perspectives ne l’emporte sur les autres. Donc, que sera l’internet de demain ? Xavier de la Porte. Les nouveaux médias sociaux ne sont peut-être pas si nouveaux que ça. La lecture de la semaine, il s’agit d’un post du blog que Cynthia Haven, critique littéraire, tient sur le site de l’université de Stanford, en Californie. Le titre du post : “Les nouveaux médias sociaux ne sont peut-être pas si nouveaux que ça”. “Si vous vous sentez submergés par les médias sociaux”, commence Cynthia Haven, “sachez que vous n’êtes pas les premiers dans l’Histoire. Une avalanche de nouvelles formes de communication s’est abattue aussi sur les Européens des 17e et 18e siècles. “Le 17e siècle a vu la conversation exploser”, explique Anaïs Saint-Jude, directrice du programme BiblioTech de Stanford, “c’était la version moderne de la surcharge d’information”. Et le service public des postes a été pour nos ancêtres l’équivalent de ce que sont pour nous Facebook, Twitter, Google + et les smartphones.

Image : La cartographie des la République des Lettres qui permet de suivre la correspondance des grands penseurs du siècle des Lumières. Que ces gens se racontaient-ils ?

Lire ?

Fleur Pellerin : "Nous avons une vision encore trop idéologique de l'entreprise" L'étude Mobile Marketing Attitude 2013 consacre "l'avènement de la tablette" Le SNCD souligne l'omniprésence du smartphone et la forte montée en maturité de la tablette dans la relation commerciale entre les marques et les consommateurs.

Les résultats de la 2ème édition de l'étude MMA - Mobile Marketing Attitude consacrent "le véritable avènement de la tablette". 39% des possesseurs de smartphone et de tablette emportent cette dernière partout, et 42% ont remplacé leur ordinateur par leur tablette. 24% interagissent avec des programmes TV via leur tablette. 46% préfèrent leur tablette à leur smartphone pour consulter des offres et préparer un achat. Selon le SNCD, ces résultats "confirment l'omniprésence du smartphone et la forte montée en maturité de la tablette dans la relation commerciale entre les marques et les consommateurs". L'échantillon interrogé comprend 1 118 répondants âgés de 18 à 65 ans, possesseurs de smartphone ou de tablette, se connectant à Internet via leur appareil.

L'enquête a été réalisée en ligne du 18 juillet au 30 août 2013. SEO : les trois quarts des requêtes "not provided" en France. D'après une analyse d'AT Internet portant sur des milliers de sites français, la part moyenne de requêtes indéterminées a triplé en un an. La hausse la plus sensible a été relevée cet été. Depuis que Google chiffre ses pages de résultats via SSL/HTTPS, les outils de Web Analyse ne peuvent plus savoir quelles sont les requêtes qui génèrent du trafic organique en provenance du moteur sur les pages web. Acteur français du Web Analytics, AT Internet a cherché à savoir quelle était la proportion aujourd'hui de requêtes "indéterminées" à cause de ce chiffrement - c'est-à-dire celles qui apparaissent comme "not provided" dans Google Analytics.

D'après cette étude d'AT Internet, la part de ces requêtes indéterminées a "explosé" en septembre, après que Google a décidé de chiffrer toutes les requêtes traitées par son moteur. Cette part atteint ainsi 73% en moyenne pour un site en France. AT Internet rappelle qu'un an auparavant, cette part était de 26,8% en France. A lire aussi sur le sujet : Moonies, Messiahs and Media: Who Really Owns Newsweek? On Saturday, news broke that IBT Media, a company that runs the online business (at least, in theory) newspaper International Business Times, had purchased Newsweek from IAC. So IBT Media now owns Newsweek. But exactly who controls IBT Media? IBT Media’s corporate leadership site lists two cofounders: Etienne Uzac, the company’s CEO, and Johnathan Davis, its chief content officer. But some say that the company is actually controlled by—or at least has very close undisclosed ties to—someone whose name appears nowhere on the site: David Jang, a controversial Korean Christian preacher who has been accused of calling himself “Second Coming Christ.”

A story in The Tennessean about Olivet University, a university founded by Mr. Jang, lists IBT as one of Mr. IBT’s two cofounders seem to have ties to Mr. Before founding IBT, Mr. Mr. Mr. Mr. After the Newsweek sale was announced, Mr. But if Mr. Mr. #LastPrintIssue. "Brand content" : quand les médias jouent aux agences de pub. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Alexandre Piquard Il y a deux raisons pour lesquelles Buzzfeed fait sensation dans le monde des médias. D'abord, ce site américain spécialiste de l'humour viral a su passer à une couverture plus généraliste de l'information, allant jusqu'à recruter début juin l'ancienne directrice du bureau du Guardian à Moscou pour diriger sa future section internationale. Mais aussi parce qu'il se targue de bousculer le monde de la publicité. "C'est un retour à l'époque de "Mad Men", quand on voyait la publicité comme une façon de raconter une histoire", répète son médiatique fondateur, Jonah Peretti, piochant sa référence dans une série télé sur un âge d'or de la pub dans les années 1960.

"Sur Buzzfeed, il n'y a aucune bannière de publicité", explique le directeur opérationnel Jon Steinberg. Comment un site gratuit peut-il se passer du format d'annonce le plus répandu ? "Le brand content sera bientôt la seule forme de publicité. Buzzfeed n'est pas seul sur ce créneau. The 20 Coolest Hybrid Animals. Grand Prix Stratégies du Brand Content 2013. La création de contenu de marque comme outil de communication est une stratégie qui existe depuis de nombreuses années.

Cependant l'abondance des médias, la fragmentation des audiences, font qu'aujourd'hui de plus en plus de marques cherchent à nouer un lien plus personnalisé avec leurs consommateurs et à apporter de la valeur. Contacts et infos sur Grand Prix Stratégies du Brand Content 20134 Cécile RUBBEN Tél : 0146294660 crubben@reedbusiness.fr. Qui sommes-nous ? - ChEEk Magazine. Cheek présente Cheek Magazine — KissKissBankBank. Cheek en attente. ChEEk Magazine - Le pure player féminin de la génération Y : ChEEk Magazine. Les applications n'ont pas tué les sites, mais pour combien de temps ?

Washington Post : le Web prend le pouvoir. Pascal Chevalier: « C’est la première fois qu’un acteur du numérique acquiert une activité de presse traditionnelle » Quels modèles économiques pour la presse numérique ? Interactiv' "L’avenir de la presse" avec Jean-Marie Charon et Fabrice Rousselot.