Séance 1 - Introduction à la microéconomie. Infographie - La loi de l'offre et de la demande. Vidéo 3 - La loi de l'Offre et de la Demande 1. La loi de l'Offre et de la Demande 2. La question de l'intermédiation et de la chaîne de valeur. Vidéo 1 - Qu'est ce que la microéconomie ? Séance 2 - La théorie du consommateur 1. Vidéo 2 - L'utilité Marginale Décroissante. Séance 3 - La théorie du consommateur 2. Séance 4 - La théorie de la Demande. Séance 5 - Introduction à la théorie de l'Offre.
Introduction à la théorie de l’Offre L’offre, qu’est ce que c’est ?
On définit souvent cela comme la quantité de biens proposés sur un marché. Mais cette définition veut tout et rien dire… malheureusement héhé. C’est pourquoi, je vous propose une petite introduction à la théorie de l’offre en abordant le concept d’entreprise et bien sur, les concepts liés à l’entreprise comme le travail, la division du travail, etc. Bientôt la vidéo ! Partagez cet article, choisissez votre réseau ! Peut-on créer une start-up high-tech tout seul? J'ai souvent l'occasion d'être contacté, de rencontrer ou de croiser dans divers comités de sélection des entrepreneurs "seuls" dans leur projet.
C'est-à-dire qu'ils sont seuls à fonder leur entreprise et qu'ils n'ont pas d'associés opérationnels dans le projet. Ils ont tout au plus des investisseurs plus ou moins investis dans le projet et éventuellement des salariés, le plus souvent des stagiaires embauchés à bon compte. En général, je n'y vais pas par quatre chemins : j'indique le plus souvent à ces entrepreneurs que leurs chances de réussite sont plutôt faibles s'ils envisagent de créer une véritable entreprise et de lever des fonds. Et qu'ils feraient bien toutes affaires cessantes de trouver des associés. La réaction la plus classique est : "mais je ne peux pas les payer ! ". Tout d'abord, pourquoi ce préjugé sur les chances de réussite d'un projet qui démarre avec un seul fondateur ?
Taylorisme et Fordisme. Séance 6 - Introduction à la théorie de la firme. Pourquoi les entreprises existent-elles ? Séance 7 - Le marché, la concurrence pure et parfaite et le monopole. Séance 7 – le marché, la concurrence pure et parfaite et le monopole Afin de terminer le cours de microéconomie et de faciliter la transition avec le cours de macroéconomie, je vous propose d’aborder ici l’un des symbôles de la microéconomie.
Il sera alors bien plus facile de critiquer ce symbôle dans le cours de macroéconomie ! Bonne lecture ! Partagez cet article, choisissez votre réseau ! Aujourd'hui professeur d'économie à BGF, je souhaite partager ce que j'enseigne et ce que j'apprends sur l'économie, les sciences et la culture en général. Circuit économique - easynomie. Le circuit économique. Le circuit économique Le circuit économique a passionné les économistes dès le début de la pensée économique.
Les premiers modèles étaient sommaires mais pertinents (vous pouvez observez le Zig Zag de Quesnay). Les derniers ressemble plus à des nuages d’équations héhé. Mais entre les deux, il reste (survit) encore des représentations imagées du circuit économique. C’est-à-dire des flux réels et monétaires entre les différents agents économique. Bien entendu, il ne s’agit pas de la réalité mais d’une représentation de la réalité sujette aux erreurs et incompréhensions humaines. Partagez cet article, choisissez votre réseau ! Vidéo - Le circuit économique. Vidéo – Le circuit économique Le circuit économique est un super outil permettant de comprendre les transferts réels et monétaires entre les différents agents économiques que sont l’Etat, les ménages (les consommateurs, la demande) et les entreprises (l’offre).
Bon visionnage ! Partagez cet article, choisissez votre réseau ! Aujourd'hui professeur d'économie à BGF, je souhaite partager ce que j'enseigne et ce que j'apprends sur l'économie, les sciences et la culture en général. Je suis plutôt un digital natif, dans les cours que je donne, je ne parle plus de pommes de terre pour expliquer un marché, j'essaie de trouver des exemples correspondant à la réalité de mon public... j'ai en face de moi des sportifs, des geeks, des nerds, des osefs... pourquoi faudrait-il que je parle encore, au XXI, de vieux exemples ?