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Psychophobie

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Not an insult. Cet artiste dessine les sentiments que nous avons tous déjà vécu au moins une fois, mais étions incapables de les décrire. L'Antre de la Chouette: Démonstration du syndrome neurotypique. /!

L'Antre de la Chouette: Démonstration du syndrome neurotypique

\ Attention, cet article contient du second degré. Beaucoup de second degré. Aussi, la première personne qui, malgré cet avertissement, prend mes propos au premier degré, se verra attribuer le Thermomètre déglingué d’or (c’est un prix non-officiel et non-tangible, que je soupçonne d’être également non-réel). Merci de votre attention. /! Aurora Oscura - "Lou a une cyclothymie : un trouble de... Pervers narcissiques : de purs manipulateurs ? FB Groupe d'Echange, Débat, Information et Lutte contre la Psychophobie. FB Neuroatypicité et Oppressions Systémiques. FB SOS Psychophobie. En fait, la psychophobie, tout le monde s’en badigeonne le nombril ? Je suis furax.

En fait, la psychophobie, tout le monde s’en badigeonne le nombril ?

★ Zinzin Zine : le psychologique est politique ★ - Antipsychiatries & anti-psychophobies, vive la lutte des psychiatrisé·e·s, la Fierté Folle & la psychodiversité ! Schizonormale: De quoi PN est-il le nom ? (ceci est une boite, mets ton ex dedans) Je lis encore de trop nombreux articles pseudo scientifiques sur ce diable moderne que serait "lae pervers.e narcissique".Il s'agit d'un concept bidon, ne désignant rien ni personne au niveau psychopathologique, et servant volontiers de fourre-tout pour ranger bien "proprement" un.e ancien.ne amour.e ou un patron vindicatif.

Schizonormale: De quoi PN est-il le nom ?

De quoi pervers.e narcissique est-il le nom ? De la psychophobie, de la peur presqu'universelle des relations affectives, de ce qui nous arrive à quasi tou.te.s (sauf quelques personnes qui me rendent admiratives) au décours d'une relation amoureuse qui devient difficile, moche... ou se termine. Bien évidemment la maltraitance psychologique existe et c'est vivre une horreur que de la vivre. Bien sûr il existe des gens cruels au foyer et adorables en société... Mon gros problème face au terme et son usage généralisé est la psychophobie qu'il véhicule. Schizonormale: Altérité, le risque de la psychophobie (Ne pas amalgamer terroristes et "fous") J'écris ce jour, 18 Novembre à une très courte distances des tueries de Paris.

Schizonormale: Altérité, le risque de la psychophobie (Ne pas amalgamer terroristes et "fous")

J'ai partagé sur la page Facebook l'intervention du 10 Janvier 2015 de Cyrulnik. Il m'est important de dépsychiatriser, dépsychologiser les auteurs des attaques meurtrières, abominables. Ils ne sont pas "fous". Quand l'horreur surgit nous avons tous besoin de rejeter les coupables dans l'altérité tant nous avons du mal à comprendre pourquoi nous avons si cruellement été atteints, si aveuglément. Nous ne sommes pas l'Autre, nous ne sommes pas l'inquiétant étranger, nous sommes humains. Arrêtons de qualifier les racistes de « fous » ou de « schizophrènes »

Un argument qui revient souvent dans les luttes antiracistes est celui de la folie.

Arrêtons de qualifier les racistes de « fous » ou de « schizophrènes »

Un-e tel-le aurait tenu un propos violent et raciste parce que c’est « un-e taré-e », une personne qui n’a « pas toute sa tête ». On entend aussi désigner le système raciste dans lequel on existe de « bipolaire » ou de « schizophrène » face, par exemple, à ses politiques laïques à deux vitesses. Or, non seulement l’utilisation de ce vocabulaire conduit à davantage de stigmatisation des personnes souffrant réellement de troubles mentaux mais cela contribue aussi à la dépolitisation du racisme. Apparté, psychophobie, classe101 - Carnet d'un rêveur (Pourquoi supposer que quelqu'un a une maladie mentale est psychophobe ) Par Jonas Lubec, dimanche 4 décembre 2016.

Apparté, psychophobie, classe101 - Carnet d'un rêveur (Pourquoi supposer que quelqu'un a une maladie mentale est psychophobe )

Lien permanent j'ai eu beau chercher, je n'ai pas trouvé d'articles basique expliquant pourquoi supposer ou indiquer qu'une personne a une maladie mentale est psychophobe. Prends-toi en main, ça ira mieux… – L'Écho des Sorcières. Les maladies mentales concerneraient une personne sur quatre au cours de sa vie, selon l’OMS, et seraient la première cause d’invalidité dans le monde.

Prends-toi en main, ça ira mieux… – L'Écho des Sorcières

Chacun d’entre nous connaît au moins une personne souffrant d’une maladie mentale grave comme la schizophrénie ou les troubles bipolaires, puisqu’elles concernent 2% de la population, soit environ un million trois cent mille personnes en France. Le nombre de morts par suicide dépasse celui des accidentés de la route. Pourtant, les préjugés entourant les troubles mentaux sont légion. Il est urgent de lutter contre ces idées fausses, notamment parce qu’elles contribuent à l’isolement, à la stigmatisation et à l’augmentation de la souffrance des personnes touchées par ces maladies. Par exemple, ce qu’on a coutume d’entendre à propos des idées suicidaires montre à quel point la personne qui veut demander de l’aide se retrouve dans une impasse. Ce genre de préjugés isole la personne et contribue au manque de soins.

Blog sur la schizophrénie : journal de mes années de maladie, actualités, références de livres. Validisme (mais appliqué spécifiquement aux personnes qui sont neuroatypiques ou qui ont des troubles psychiques, maladies mentales etc.) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Validisme (mais appliqué spécifiquement aux personnes qui sont neuroatypiques ou qui ont des troubles psychiques, maladies mentales etc.)

« On est tous un peu schizophrènes/bipolaires/autistes/… » ou la psychophobie gentille. Mad Pride (usagers actuels et anciens des services psy défilent et manifestent dans la rue, dans une optique de lutte contre les préjugés psychophobes) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mad Pride (usagers actuels et anciens des services psy défilent et manifestent dans la rue, dans une optique de lutte contre les préjugés psychophobes)

La Mad Pride est une manifestation de rue regroupant les utilisateurs actuels et anciens des services de santé mentale et leurs alliés. Le premier événement de ce type, initié par des gens qui s'identifiaient survivants/consommateurs/ex-patients de psychiatrie s'appelait « Psychiatric Survivor Pride Day », et s'était tenu à Toronto, au Canada, le 18 septembre 1993. C'était une réponse aux préjugés envers les personnes ayant des antécédents psychiatriques, et elle avait lieu chaque année dans cette ville, sauf en 1996[1]. À la fin des années 1990, des événements similaires ont été organisés à Londres, en Angleterre et dans le monde entier d'Australie en Afrique du Sud et aux États-Unis, attirant des milliers de participants[2]. Bipolaires, schyzos et paranos défilent dans les rues de Paris.