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Pauvreté

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Le RSA a sorti 70.000 personnes de la pauvreté. Observatoire des inégalités. 20 avril 2012 - La France, comme la plupart des pays riches, va devoir augmenter fortement les impôts. Pas uniquement sur les « super-riches », contrairement à une idée en vogue. Le point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités. Ce n’est plus un secret pour personne. La France, comme la plupart des pays riches, va devoir augmenter les impôts dès le lendemain du second tour de l’élection présidentielle. La dette publique représente 1 500 milliards d’euros, l’équivalent des deux tiers de la richesse produite chaque année. Le budget de l’Etat est en déficit de 150 milliards, presque la moitié de ses recettes annuelles. Ceci sans compter les déficits des différents secteurs de la protection sociale (assurance maladie, chômage, etc.). Le retour à l’équilibre par le biais de la croissance est une vue de l’esprit : les Trente Glorieuses ne reviendront pas demain matin. La hausse des impôts doit être conséquente L’augmentation devra être conséquente.

Comment faire ? La loi des pauvres, le budget des riches. Eric Besson[1], bon sbire UMP, est là pour occuper le terrain et être détesté. Prélude à la discussion d'un projet de loi à l'assemblée sur l'immigration, l'intégration et la nationalité, sa déclaration sur la "machine à faire des "bons français" est du pur jus de clivage, excitant les uns, dégoutant les autres, le tout sur le dos de populations pauvres, instrumentalisées, déplacées comme des ballots de paille puisque responsables des 2, 4 ou 5 millions de chômeurs (what the fuck puisqu'on ne les compte plus), de la désindustrialisation du pays et d'avoir fomenté un complot avec AlQaida pour permettre à Liliane Bettencourt d'échapper à tout contrôle fiscal depuis 13 ans.[2] Les barnums Rom et de la déchéance de nationalité font partie du spectacle (hautement détestable) destiné à occuper du temps d’antenne "qui fait débat" dans les tranches "information" intercalées entre deux plages de débilité et une pub pour un crédit auto.

This is it, nous entrons dans la rigueur. Face à la pauvreté, "la France se regarde trop le nombril" Pour le chercheur Julien Damon, le manque d’outils statistiques explique le peu d’efficacité des politiques françaises contre la précarité. Un bénévole des Petits frères des pauvres parle à une femme sur la plage de Cabourg (Bertrand Meunier/Tendance floue) En France, le taux de pauvreté, après avoir diminué de 1970 à 1990, s’est globalement stabilisé avant de repartir récemment à la hausse. Pourtant, la situation des pauvres s’est dégradée : à la fin des années 90, les 20% des français les moins riches disposaient encore de la moitié de leurs ressources après avoir réglé leurs dépenses contraintes (loyer, assurances, énergie...).

Aujourd’hui, ce budget atteint les trois quarts de leurs revenus, ce qui laisse peu de place pour subvenir aux aléas de la vie. Pour Julien Damon, professeur associé à Sciences Po, il n’y a pas de fatalité : on peut faire baisser la pauvreté à condition de lui faire face, de la quantifier et de se fixer des objectifs précis pour la combattre. ? ? Oui. Le nombre de pays très pauvres a doublé en quarante ans. Le rapport de la Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (Cnuced) est sans ambiguïté : le nombre de pays très pauvres a doublé ces quarante dernières années. Le nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté a suivi la même évolution en seulement trente ans. Dans son rapport 2010 sur les quarante-neuf pays les moins avancés (PMA) du monde, la Cnuced estime que le modèle de développement qui a prévalu jusqu'à présent pour ces pays a échoué et que son architecture est à revoir. "Les modèles traditionnels appliqués aux PMA (une croissance portée par le commerce) semblent n'avoir pas très bien fonctionné", a expliqué le secrétaire général de la Cnuced, Supachai Panitchpakdi, lors d'un point de presse.

Le rapport indique de plus que la situation s'est aggravée ces dernières années. SLOVAR les Nouvelles - Expressions libres. Le titre de cet article est celui que j'avais choisi, en décembre 2005. Cette année là, les partenaires sociaux modifiaient à la baisse les règles d'indemnisation du chômage. 5 ans plus tard, près de 4 millions de français pointent à Pôle Emploi et une part de plus en plus importante d'eux est totalement décrochée ! Ces fêtes de fin d'année qui sont, traditionnellement, symbole de trêve pour le monde politique et source d'activité pour les entreprises vont semble t-il être moroses. En effet, le "président du pouvoir d'achat" s'est mué en gestionnaire de crise, et le terme de "Ri-Lance" lancé par l'inénarrable Christine Lagarde n'a même pas réussit à faire sourire les français !

Cette morosité est gênante pour le gouvernement, car depuis de nombreuses années, seule la consommation des ménages permet d'obtenir quelques points de croissance et joue comme l'expliquait, le BercyBlog du Monde, commentant une note de l'INSSE : "Un rôle d'amortisseur". Extraits " ... / ... La conséquence ? 13,4 % de la population française vit en dessous du seuil de pau. Mes très chers pauvres, "Bien sur que nous sommes en pleine lutte des classes, mais c'est ma classe, la classe des riches, qui fait la guerre, et c'est nous qui gagnons" Warren Buffet - 2006 - spéculateur milliardaire Mes très chers pauvres, C’est au nom des 1000 milliardaires recensés sur cette planète, des 358 familles les plus riches qui possèdent la moitié de la fortune mondiale, des 500 grandes multinationales qui contrôlent 52% du produit sociall et détiennent davantage que les 133 pays les plus misérables, que je me permets de vous écrire cette rapide et amicale bafouille.

Merci de bien vouloir éponger sur 20 générations nos débauches spéculatives, d’accepter si spontanément de vous rererererereserrer la ceinture encore, de passer votre temps à vous abrutir cocacolament devant « qui veut gagner des millions » et de considérer comme ringard et archaïque le terme de « lutte des classes » puisque nous l’avons retourné à notre profit et qu’il nous appartient désormais en toute modernité. Votre dévoué WB. tgb. Les bonus augmentent? La pauvreté aussi. Jswieringa - Flickr - CC Du même auteur Le dernier rapport de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale reconnaît officiellement l'échec du gouvernement à réduire la pauvreté. La récession y est évidemment pour quelque chose… L'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale (Onpes) vient de remettre son rapport annuel. Les objectifs gouvernementaux pas tenus Malgré tout, l'Observatoire de la pauvreté ne peut se désintéresser de l'impact de la crise et porte une appréciation sur ses effets probables.

L'hypothèse de la misère comme volonté politi. De nombreux économistes, philosophes, politiques, imaginent et préconisent diverses solutions susceptibles d’améliorer le sort des pauvres, en dénonçant avec force la politique conduite par nos chers dirigeants. Étonnés, parfois scandalisés par les conséquences de certaines réformes ou mesures entreprises, ils mettent souvent en garde contre celles-ci, qui à leurs yeux vont favoriser l’extension de la misère et permettre l’enrichissement de ceux qui sont déjà riches. Ces gens-là parlent d’erreurs politiques, d’aberrations économiques, d’absence de morale ou d’aveuglement, et s’instaure peu à peu une sorte de dialogue de sourds, dans lequel les uns ne comprennent pas qu’on puisse défendre certaines mesures, les autres qu’on puisse les critiquer.

La crise économique, que certains avaient prévu, est pourtant bien la conséquence des actions menées par les gouvernements qui, bien qu’ils s’en défendent, savaient bien eux-aussi qu’elle allait arriver. Pourquoi cette erreur, ces erreurs ? Inégalité et mortalité : la pauvreté tue aussi les riches | Rue8. Une étude internationale évalue à 1,5 million le nombre de décès dus aux disparités de revenu dans les pays riches. Fête des morts au Mexique, l’un des pays les plus mal classés selon l’indice Gini (Daniel Aguilar/Reuters) Logo_ecoles_dete_internationales-2010.jpg Un total de 1,4 million. C’est le nombre de morts, chaque année, qu’on peut attribuer aux inégalités de revenus dans les 30 pays les plus industrialisés.

Cette statistique proprement abasourdissante est tirée d’une méta-recherche publiée en novembre dans le British Medical Journal, et qui fait tranquillement son chemin dans les cercles des sciences sociales. Combinaison de 28 études antérieures couvrant 60 millions de personnes, l’étude fait faire un bond en avant à la connaissance du sujet. Selon les auteurs, de Harvard et de l’université japonaise de Yamanashi, l’inégalité devient mortifère lorsque l’indice Gini, qui en mesure le niveau, dépasse les 0,3 points. Le Canada s’en sort plutôt bien inegalite1.png. 1 Français sur 8 gagne moins de 900 euros - Economie - E24.fr. 8 millions de Français sont dans une situation de pauvreté. Un chiffre stable depuis dix ans mais qui cache une aggravation de la situation des plus vulnérables. Et la crise ne devrait rien arranger, selon le 6e rapport de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale (ONPES). De plus en plus pauvres Entre 1998 et 2007, le taux de personnes vivant en-dessous du seuil de pauvreté (moins de 60% du revenu médian, soit 908 euros par mois) n'a guère évolué, passant de 13,6% à 13,4%.

La situation des plus pauvres s'est en revanche aggravée. La proportion de Français subsistant avec 40% du revenu médian (602 euros) est passée de 2,1% en 2002 à 3,1% en 2007. En clair, les pauvres sont de plus en plus pauvres. Dégradation avec la crise Si les données pour 2008 et 2009, ne sont pas encore disponibles, la crise économique devrait aggraver cette situation. Les premiers chiffres des associations témoignent ainsi d'une détérioration de la situation de beaucoup de Français. Pessimisme. Encore ces salauds de pauvres. Le bourgeois, de quelque variété qu'il soit, n'aime pas trop faire les poubelles, mais il aime assez "chiner".

Aussi fréquente-t-il assidûment, avec de grands airs de connaisseur, les diverses foires-à-tout et vides-greniers des culs terreux, ou, s'il est parisien, les marchés aux puces de la capitale. Quand il désire s'encanailler, on voit opérer le tropisme de l'est parisien, et dépassant largement la Courtille, Belleville, Ménilmontant et Charonne, il va baguenauder aux puces de Montreuil. Car, nous dit-on, "voilà bien le plus puce des marchés aux puces de la capitale".

Et MarieClaireMaison.com nous prévient, dans un articulet qui doit dater du siècle dernier: Inutile de leur chercher du charme. Un "objet" à un euro, ça se mérite... Un peu de rudesse dans ce monde de dindes:Le petit chiffonnier appuyé contre une borne,photographie de Charles Nègre, 1851. Cependant... Et l'article ajoute: C'est moche, mais demande moins de soins que le géranium. Cette manifestation a bien eu lieu, ce lundi.