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Apple à nouveau épinglée pour les conditions de travail chez un sous-traitant chinois. Pegatron serait "pire" que Foxconn. Ce sous-traitant d'Apple, qui fabriquerait notamment les futurs produits "low-cost" de la marque à la Pomme, est sévèrement critiqué par l'ONG américaine China Labor Watch dans un rapport publié ce lundi. L'association, fondée en 2000, pointe de nombreuses irrégularités plus particulièrement trois usines du taïwanais Pegatron.

Pour réaliser cette étude, l'ONG a dépêché des enquêteurs et interrogé plus de 200 personnes. 12 heures par jour sur la chaîne d'assemblage Dans celle de Riteng, à Shanghai par exemple, les ouvrier travailleraient en moyenne 12 heures par jour, six jours par semaine, pour 1,30 dollar de l'heure en moyenne, soit encore moins que le salaire de 1,62 dollar de l'heure que pratiquait un autre sous-traitant taïwanais Foxconn (Hon Hai) selon un précédent rapport.

Emploi de mineurs En outre, et toujours contrairement aux principes du géant américain, des mineurs travailleraient sur les chaînes d'assemblage. Foxconn évincé. Le travail bien fait, un remède contre le stress. Pour un professionnel, ce qui compte le plus c’est d’être fier de son travail. Les dirigeants qui font passer la qualité au second plan démotivent leurs équipes et provoquent du stress.

Google et Apple, deux façons opposées de manager les équipes Dans la Silicon Valley, toutes les entreprises ne sont pas des start-up où l’on se surpasse joyeusement entre copains. Le style de vie et les conditions de travail chez Apple, à Cupertino, n’ont pas grand-chose à voir avec ceux de Google à Mountain View. Chez Google, tout est fait pour favoriser la créativité. La vie sur le campus est facile pour les « Googlers », qui sont nourris gratuitement (et fort bien), disposent d’un pressing, d’un coiffeur, d’un dentiste, d’un médecin, ce qui leur permet de perdre moins de temps et de travailler plus.

Le management chez Apple : obéissance et discrétion Rien de tel à 15 kilomètres de là : Apple n’est pas une entreprise « cool ». L’incroyable attrait d’Apple Ils viennent en connaissance de cause. Notes. Les usines d'Apple ont des filets anti-suicide. Conditions de travail en Chine : Apple régresse. Apple a vendu en 2014 une quantité record d’iPhones, et sa capitalisation boursière continue d’atteindre des sommets. De l’autre côté du décor, malgré des scandales à répétition,le dernier rapport de l’entreprise sur sa responsabilité sociale illustre la persistance des atteintes aux droits des travailleurs dans les usines de ses fournisseurs chinois.

Non seulement les engagements éthiques d’Apple paraissent souvent dénués de substance, mais certains indicateurs choisis par l’entreprise elle-même montrent une tendance à la régression. Le blog de l’Economic Policy Institute, un think tank américain, résume les enseignements du dernier rapport d’Apple sur sa responsabilité sociale vis-à-vis de ses fournisseurs : Apple omet de mentionner [dans son rapport] que ses propres données montrent que les conditions de travail se détériorent sous plusieurs aspects importants.

Lire l’intégralité de l’article (en anglais) sur le site de l’Economic Policy Institute. — Photo : SACOM CC. Apple: un iPhone 5C et des conditions de travail très low-cost. Un nouveau rapport tombe bien mal pour Apple. Alors que le constructeur s’apprête mercredi à annoncer en grande pompe, à son habitude, son nouvel iPhone à bas coût, le 5C, l’ONG China Labor Watch a d’ores et déjà dénoncé sévèrement les conditions dans lesquelles il est fabriqué. Apple craignant que les nombreux scandales le liant avec son sous-traitant habituel, Foxconn, n’entachent de trop son image, a décidé d’en changer progressivement.

L’iPhone 5C est donc construit par une société américaine, Jabil Circuit, mais dont les usines sont bien entendu en Chine. Le nouveau smartphone à bas coût d’Apple est ainsi assemblé dans une énorme usine de 30 000 salariés basée à Wuxi, ville industrielle de la province du Jiangsu. Et la liste des infractions au droit du travail chinois, comme au code d’éthique d’Apple, dans cette usine, est dramatiquement longue. L’entorse au droit la plus courante concerne la durée du travail. CLW dénonce également les conditions de vie des employés. Apple : les conditions de travail dans les usines chinoises mises en image par la BBC. Alors que France Télévision avait fait sensation le mois dernier avec son reportage dans l’émission Cash Investigation sur les conditions de travail des ouvriers travaillants dans les usines de fabrication de smartphones et d’extraction des matières premières dans le monde, c’est au tour de la BBC de frapper un grand coup.

La chaîne britannique a en effet diffusé une enquête permettant de vérifier si Apple a tenu ses promesses quant à une amélioration des conditions de travail dans ses usines chinoises. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le constat n’est pas brillant pour Cupertino. La BBC tourne en caméra cachée dans les usines Apple Pour obtenir des images de l’intérieur des unités de production et d’assemblage de l’iPhone 6 de l’un des fournisseurs de la firme à la pomme Pegatron, une équipe de reporters de la BBC s’est fait embaucher au sein de cette même usine.

Tim Cook choqué par le reportage de la BBC Apple n’est pas resté très longtemps sans réagir. Apple Store: les salariés dénoncent la pression au quotidien. Désormais, ils parlent. Et expriment leur colère à l'égard d'un employeur peu reconnaissant. Chose impensable il y a quelques mois, les salariés de l'Apple Store Opéra (Paris) ont déposé un préavis de grève pour le vendredi 21 septembre, jour de lancement de l'iPhone5 en France. Du rêve à la réalité Tous ont moins de 30 ans. Pour ces vendeurs Apple qui ont accepté de témoigner, l'aventure a commencé par un séminaire de recrutement. " Nous étions une quinzaine de candidats réunis pendant quelques heures. Musique à fond, café à volonté, l'ambiance était très cool. Et, très clairement, ça envoyait du rêve, raconte Julien, en poste depuis deux ans. Des profils plus jeunes, plus lisses. Etre sympa et bien vendre. Des vendeurs terrassés par l'affluence Les bonnes semaines, 80 000 personnes défilent dans l'Apple Store Opéra.

"A 1, tu es quasi viré, à 5 tu es une star". Le Credo, la bible du salarié La positive attitude On entre chez Apple comme en religion. Fearless Feedback. Pression insidieuse. Apple Store : la CNIL régule la vidéosurveillance des salariés. Par Yaël Cohen-Hadria, Avocate. Sur le lieu de travail l’employeur a un pouvoir et un devoir de contrôle mais également de sécurité. A ce titre l’installation de caméras de vidéosurveillance relève des prérogatives de l’employeur mais dans le respect de la vie privée des salariés.

C’est ce qu’illustre la mise en demeure des APPLE STORES par la Commission Nationale Informatique et libertés (CNIL). Dans cette affaire, la CNIL a procédé à un contrôle sur plusieurs APPLE STORES pour vérifier l’installation des caméras de vidéosurveillance dans les zones d’accès réservées aux personnels. La CNIL a observé, dans sa délibération du 14 octobre 2014 à l’encontre des APPLE STORES, que les caméras étaient disposées de telle sorte que : Le dispositif n’est pas conforme à l’article 6-3 de la loi Informatique et libertés car : o Les postes de travail de certains salariés étaient filmés en permanence o La salle de pause et des parties de vestiaires étaient filmée en permanence. Pression, salaires, flicage: malaise dans les Apple stores - L'Express L'Expansion.

Que se passe-t-il chez Apple ? Une ébauche de mouvement social, menaçant le lancement de l'iPhone 5 en France, commence à mettre un peu de désordre dans ses boutiques épurées. Des négociations concernant les salaires et les conditions de travail devaient avoir lieu ce mercredi. En cas d'échec, certains évoquent un blocage des magasins vendredi, jour de la sortie du nouveau smartphone de la marque. Si l'initiative paraît surprenante, elle est en fait l'écho d'un mouvement plus global de contestation qui a démarré en 2011 aux Etats-Unis.

Premier mouvement social, 10 ans après la création des magasins C'est en mai 2011 (année du 10e anniversaire du premier Apple store) qu'un employé, Cory Moll, recruté en 2007, se donne pour mission de rassembler les salariés des magasins au sein d'un mouvement - ce n'est pas un syndicat à proprement parler - qu'il baptise Apple Retail Workers Union. Son objectif : donner plus de poids aux revendications en termes de salaires et de conditions de travail. Conditions de travail : Apple ne tient pas ses promesses. Un an après, rien n’a changé. Heures supplémentaires non-payées, conditions minimales de sécurité non respectées, impossibilité de monter des syndicats... dans les ateliers asiatiques de Foxconn, sous-traitant taïwanais du géant états-unien Apple, le droit du travail est aux abonnés absents. Suite à la médiatisation des conditions de travail déplorables, rendues visibles notamment par le suicide de nombreux ouvriers chinois, Apple s’était engagé à améliorer le sort des ouvriers travaillant sur les chaînes de fabrication de l’iPhone et de l’iPad.

A partir du mois de juillet 2013, tout devait rentrer dans l’ordre. Il semble que le non-respect des droits et de la dignité des travailleurs se poursuive sur les chaînes d’approvisionnement. Les salariés des usines chinoises qui fournissent Apple continuent de faire des heures supplémentaires non payées et aucun salaire minimum n’a été mis en place, selon une enquête réalisée par le China Labor Watch, une ONG basée à New York. Conditions de travail en Chine: Apple accusé de ne pas tenir ses promesses. Des ouvriers qui s'endorment sur la chaîne de production, des journées de travail pouvant aller jusqu'à 16 heures, du métal provenant de mines dans lesquelles travaillent des enfants... Le documentaire de la BBC dans une usine chinoise où sont fabriqués des iPhone 6 dresse un constat sombre et dénonce «les promesses non tenues» d'Apple pour améliorer les conditions de travail chez ses fournisseurs.

Apple, qui a refusé d'être interviewé, a exprimé son désaccord avec les conclusions du reportage. Son fournisseur Pegatron «enquête» sur les abus signalés et promet «de prendre toutes les mesures nécessaires» pour rectifier la situation. Dix-huit jours d'affilé sans repos Un reporter chinois filmant en caméra caché a été contraint de travailler 18 jours de suite malgré ses demandes pour obtenir une journée de repos.

Apple met en avant une origine «éthique» des minéraux et du métal rentrant dans la fabrication d'un iPhone. Chine : nouvelle vague de suicides chez un sous-traitant d'Apple. Le Parisien | 18 Mai 2013, 15h05 Le miracle économique chinois cache une grande misère sociale. Trois salariés d'une usine de Foxconn en Chine ont mis fin à leurs jours en moins de trois semaines en se précipitant dans le vide, selon une agence de presse officielle et une organisation de défense des ouvriers chinois, qui s'interroge sur les raisons de ces suicides. Les trois morts était employés sur un complexe industriel de 100 000 employés appartenant au numéro un mondial taïwanais des composants pour ordinateurs, à Zhengzhou, dans le centre du pays.

Le premier, un homme de 24 ans, a sauté de son dortoir le 24 avril, tandis que trois jours plus tard, une femme âgée de 23 ans décédait après avoir sauté du 6e étage de son immeuble, a rapporté l'agence Nouvelles de Chine. Mardi dernier, un homme marié âgé d'une trentaine d'années mettait fin à ses jours en sautant du toit situé au 5e étage d'un bâtiment, selon la même source.

Des causes encore inexpliquées Les méthodes de travail en question. Le travail de nuit interdit dans sept magasins Apple en France. Le tribunal de grande instance de Paris a interdit à Apple, mardi 12 mars, d'employer des salariés pour travailler de nuit dans sept de ses magasins en France. Le tribunal fait "interdiction à Apple Retail France d'employer des salariés entre 21 heures et 6 heures (...) et ce, sous astreinte provisoire de 50 000 euros par infraction constatée", indique le jugement.

La marque à la pomme est également condamnée à payer à l'intersyndicale du commerce de Paris CGT, CFDT, FO, CFTC, SUD et CGC, qui a saisi le tribunal, la somme de 10 000 euros "au titre de provision à valoir sur les dommages et intérêt". "Cette décision est très bonne et marque la volonté de la justice de faire respecter le travail de nuit", s'est félicité Eric Scherrer, de la CFTC des employés du commerce, qui souligne "une condamnation sévère". >> Lire aussi (en édition abonnés) : "Soir ou dimanche, les horaires atypiques de la distribution en débat"