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La fin du travail - Jeremy RIFKIN. Dans ce livre remarquablement informé, devenu un best-seller aux États-Unis, Jeremy Rifkin présente d’abord un constat : nous sommes entrés dans une nouvelle phase de l’histoire qui se caractérise par le déclin inexorable de l’emploi. Le monde, explique l’auteur, est en train de se polariser dangereusement : d’un côté, une élite de gestionnaires, de chercheurs et de manipulateurs d’information surqualifiés ; de l’autre, une majorité de travailleurs précaires. Il est selon lui urgent de nous préparer à une économie qui supprime l’emploi de masse dans la production et la distribution et d’agir dans deux directions : la réduction du temps de travail et le développement du « troisième secteur » Préfacede Michel Rocard - Préface inédite de l'auteur à l'édition 2006 -Avant-propos, de Robert L.

Heilbroner - Introduction - I. Les deux visages de la technologie- 1. La fin du travail - Quand le logiciel remplace le personnel - Le reengineering - Un monde sans travailleurs - 2. Une forêt cachée, 156 portraits d'écrivains oubliés de Eric Dussert - Les critiques et avis des lecteurs. 1982724 Qui lit encore Georges Duhamel ?

Adulé en son temps, ses œuvres complètes sont bradées dans les... Qui lit encore Georges Duhamel ? Adulé en son temps, ses œuvres complètes sont bradées dans les vide-greniers. À quoi tient l’oubli ? À tout et à rien ! La faute à pas de chance, l’auteur, sa personnalité, son éloignement de Paris... Il y a presque autant de forme d’oublis que d’auteurs abandonnés. La critique evene par Olivier Bailly Qui lit encore Georges Duhamel ? Pierre Michel, "Octave Mirbeau et la femme vénale" Recherches sur l’Imaginaire, Cahier 29, 2002 Octave Mirbeau et la femme vénale Dans une précédente contribution sur la marginalité, j’aieu l’occasion d’évoquer le cas très particulier d’Octave Mirbeau(1848-1917) dans le champ littéraire de la Belle Époque : il présente en effet cette originalité d’avoir été tout à la fois unécrivain à succès, comblé, reconnu, qui a conquis de haute lutteune place incomparable dans la grande presse, dans l’édition etsur les plus grandes scènes du monde, et un « endehors »invétéré, réfractaire à la langue de bois, aux écoles, aux dogmeset aux étiquettes, et qui, trempant sa plume dans le vitriol, n’aménagé ni les puissants, ni les institutions, ni les valeursconsacrées, qu’il aspirait même à jeter à bas.

. , et atteint, de son propre aveu,d’un « donquichottisme » indécrottable, il s’est notamment battu pour tous les marginaux, les exclus, les opprimés, les sans-voix, bref « les humiliés et les offensés Ravachol de la plume L’Endehors Recherches sur l’imaginaire. Le jardin des Supplices de Mirbeau. Philosophie du langage. AFBH-Éditions de Beaugies. Ainsi parlait Zarathoustra. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ainsi parlait Zarathoustra ou Ainsi parla Zarathoustra, sous-titré « Un livre pour tous et pour personne » (en allemand : Also sprach Zarathustra. Ein Buch für Alle und Keinen) est un poème philosophique de Friedrich Nietzsche, publié entre 1883 et 1885. Présentation du texte[modifier | modifier le code] Première édition de la première partie (1883) L'allemand autorise à traduire Also sprach Zarathustra par Ainsi parla Zarathoustra. Chaque discours se termine par cette formule (à quelques exceptions). Le nom Zarathoustra signifie « celui qui a de vieux chameaux » et non comme on l'a cru jusqu'à il y a une trentaine d'années « celui à la lumière brillante » ; c'est le nom avestique de Zoroastre, prophète et fondateur du zoroastrisme, l'ancienne religion perse.

. « Tout cela se passe involontairement, comme dans une tempête de liberté, d'absolu, de force, de divinité... Destin de l'œuvre[modifier | modifier le code] Le texte fut publié par partie.