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À l'Ouest, rien de nouveau. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

À l'Ouest, rien de nouveau

À l'Ouest, rien de nouveau (en allemand Im Westen nichts Neues) est un roman paru en 1929, écrit par Erich Maria Remarque[1]. Le roman décrit la Première Guerre mondiale vue par un jeune soldat volontaire allemand sur le front ouest. Symbole du pacifisme allemand, le roman devient rapidement un best-seller et est suivi par d'autres romans de la même veine : Après, Trois camarades, etc. L'auteur, pourchassé dès 1930 par les nazis pour son pacifisme, émigre en Suisse, puis aux États-Unis ; son livre subit un autodafé nazi le 10 mai 1933[2].

Le roman[modifier | modifier le code] Paul Bäumer est un jeune allemand de 19 ans. Après dix semaines d’entraînement, la rencontre du fameux caporal Himmelstoss et la brutalité de la vie au front font découvrir à Paul et à ses amis que leurs idéaux de patriotisme et de nationalisme se résument à des clichés inadaptés au monde réel. . — Erich Maria Remarque, À l'Ouest, rien de nouveau, chapitre I[4]. Psychologie du développement. Mathématiques. Se préparer à l'entretien d'embauche. Arts, Etats et pouvoir. GeoGebra. S002-1 : L’Homme, le Cercle et le Carré. L’Homme, le Cercle et le Carré A l’origine des quelques réflexions contenues dans la présentation de ces lignes, il y a les nombreuses évocations du «logo Manpower», à savoir l’homme dit «de Vitruve», dessiné par le grand Leonardo da Vinci.

S002-1 : L’Homme, le Cercle et le Carré

Sans vouloir ici retracer toute la vie de Vitruve (lat. Vitruvius), il nous semble toutefois important de souligner qu’il fut non seulement architecte mais également l’auteur d’un traité technique, De Architectura, seul traité, qui nous soit parvenu de l’Antiquité et influença jusqu’aux architectes de la Renaissance. Parmi ceux qui, de près ou de loin, s’inspirèrent de Vitruve, se trouve Léonard de Vinci qui, sur la base de la description de Vitruve, effectua le croquis qui servira de fil rouge à ces quelques lignes et que nous reproduisons donc ci-après (voir page suivante). Portrait de Léonard de Vinci dessiné par son assistant Francesco Melzi vers 1485 «L'homme de Vitruve» (1492) dessiné par Léonard de Vinci.

L’homme de Vitruve. ” L’architecte Vitruve écrit dans son livre sur l’architecture que les mesures de l’homme sont ordonnées par la nature comme suit: 4 doigts font une paume, 4 paumes un pied, 6 paumes une coudée et 4 coudées font un double pas et 24 paumes une longueur d’homme.

L’homme de Vitruve

Ces mesures ont été utilisées dans ses édifices “ Leonardo da Vinci fait ici référence aux mesures de longueur utilisées par les architectes de l’époque ( paume, palme, empan, pied et coudée ) . Ces mesures suivent une progression liée à la suite de Fibonacci. Je rappelle que dans cette suite, un nombre est égal à la somme des deux précédents ( 0,1,1,2,3,5,8,13,21,34…) et que le rapport d’un élément de cette suite avec le précédent se rapproche du nombre d’or ( phi=1,618.. ) au fur et à mesure que la suite grandit ( 34/21 est plus près de phi que 8/5 ). La coudée est donc égale au pied plus l’empan. L’homme de Vitruve est alors inscrit dans un cercle Par contre, il y a une erreur au niveau des jambes. J’ajouterais: Like this: Related.