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What really caused the eurozone crisis? Mange syge efter besøg på restaurant Noma - dr.dk/Nyheder/Ligetil. Flere syge Noma-gæster. Efter Ekstra Bladet kunne fortælle om, hvordan 63 mennesker var blevet syge efter at spise på verdens officielt bedste restaurant, Noma i København, stiger antallet af gæster, som melder om sygdom. Læs også: Se også: Noma: 63 gæster ramt af roskildesyge Fødevarestyrelsen har nu registreret yderligere ni tilfælde, hvor gæster har haft symptomer, som passer på Roskildesyge. - Når der er sygdomsudbrud hos kendte restauranter, så sker der altid det samme. Vi kender effekten. Der er altid en masse, der siger, de blev syge og vil have pengene igen. Så nu skal vi undersøge hver sag og sikre os, at symptombilledet passer fuldstændigt, siger udbrudskoordinator i Fødevarestyrelsen, Morten Lisby, til Politiken.dk. Se også: Læs også: Noma burde have haft styr på det Dermed er antallet af selskaber, hvor gæster er smittet med norovirus under et besøg på Noma, steget fra 12 til 17.

Da historien ramte medierne fredag i sidste uge, meldte Fødevarestyrelsen om 63 bekræftede tilfælde blandt 78 testede. Antallet af syge efter Noma-besøg stiger - Lorry - Nyheder - SAMFUND. 11-03-13 19.09 af Politiken.dk Yderligere ni personer med roskildesyge har meldt sig. Flere kan komme til. Først var det 63, nu er tallet steget til 72 gæster, der i februar fik roskildesyge efter et måltid på Michelin-restauranten Noma. Og tallet kan meget vel stige yderligere. Det siger Morten Lisby, der er tilsynsførende og hygiejneekspert i Fødevarestyrelsen. »Når der er sygdomsudbrud hos kendte restauranter, så sker der altid det samme. Foreløbig er ni nye tilfælde blevet bekræftet siden i fredags. Dermed er antallet af kendte selskaber, der har været udsat for smitten, steget fra 12 til 17. »Så antallet af syge kan stige yderligere«, siger Morten Lisby. Efter sygdomsudbruddet arbejdede Noma tæt sammen med fødevaremyndighederne for at klarlægge årsagen og foretog hovedrengøring af flere omgange for at sikre, at hygiejnen igen er som den skal være.

Free a dynamité le marché français du mobile. Les chiffres sont éloquents. Arrivé il y a treize mois, Free Mobile a donné un coup de fouet au marché français du mobile. En 2012, l'opérateur a connu une année d'expansion exceptionnelle, avec 4,5 millions de clients supplémentaires. Du jamais vu depuis dix ans selon l'observatoire publié, jeudi 7 février, par l'Arcep, le régulateur du secteur. Désormais, le taux de pénétration du mobile est de 112 % de la population : les Français sont de plus en plus nombreux à cumuler les terminaux et les cartes SIM. Pour éviter l'hémorragie, dans les jours qui ont suivi l'arrivée de l'opérateur, ses concurrents ont dû s'aligner, avec leurs propres offres de forfaits "sim only" (sans téléphone subventionné et sans engagement).

Le prix des forfaits classiques, avec subvention des téléphones, a aussi beaucoup baissé : de 30 % à 40 % en moyenne. Les Français achètent de plus en plus de téléphones "nus", indépendamment d'un forfait. Free Mobile a-t-il assez investi dans son réseau? Free est à cran. Le "trublion des télécoms" en a assez qu'on l'accuse d'avoir sous-investi dans son réseau mobile, et d'avoir profité de l'accord d'itinérance avec Orange pour se lancer en n'étant pas techniquement prêt. Il a donc décidé de porter plainte contre quiconque osera dénigrer "la réalité de sa couverture ou de ses investissements". Une menace implicite qui n'interdit pas d'essayer de cerner cette réalité... Free investirait 2 à 5 fois moins que Bouygues Free Mobile indique avoir engagé contractuellement, à ce jour, 400 millions d'euros dans le déploiement de son réseau: soit 162 millions qui ont été effectivement décaissés en 2010 et 2011 et 250 millions qui seront engagés cette année.

Mais ses projets prévoient que le total cumulé de ses investissements dans le réseau atteindra 1 milliard d'euros d'ici 2018. Cette somme ne comprend pas l'acquisition des licences 3G et 4G qui ont coûté 518 millions d'euros à l'opérateur. Pourquoi une telle différence d'investissements? L'arrivée de Free Mobile a bien boosté les investissements dans les télécoms. Souvenez-vous du tremblement de terre Free Mobile. L'arrivée de Free Mobile avait beau montrer la faillite morale du capitalisme à la française, un choeur bien intentionné s'était levé contre le quatrième opérateur avec un argument à priori logique : casser les prix briserait l'investissement et l'emploi dans les télécoms.

L'argument a le bon sens pour lui : si les opérateurs doivent baisser leurs prix, ils gagnent moins d'argent ; s'ils gagnent moins d'argent, ils investissent moins. A l'époque, j'avais expliqué que l'analyse économique dit le contraire : ce qui pousse à l'investissement dans un secteur, c'est la concurrence. Sans concurrence, un secteur devient oligopolistique et les acteurs n'ont pas de raison d'investir. Les profits vont dans la poche des actionnaires au détriment des consommateurs et de l'emploi. Six mois plus tard, plus besoin de théorie. Les faits sont là, et je peux dire sans me vanter que j'avais bien raison. La raison avancée ? Free Mobile menace ses détracteurs de poursuites. Free a l'intention de couper court aux nombreuses polémiques sur la couverture et la qualité de son réseau mobile.

"A compter de ce jour, Free Mobile attaquera en justice toute personne dénigrant la réalité de sa couverture ou de ses investissements. Depuis le 10 janvier, le marché français du mobile est concurrentiel et les Français s'en réjouissent, il faut l'accepter", déclare l'opérateur dans un communiqué. Free Mobile, qui n'hésite pas à mettre en cause une "campagne de dénigrement orchestrée", s'est fendu d'un communiqué pour répondre aux critiques de ces dernières semaines. L'entreprise rappelle que ses engagements de couverture ont été vérifiés à deux reprises, selon le protocole de mesure utilisé pour tous les opérateurs.

"Il va de soi que ce pourcentage de couverture mesuré en % de la population, n'équivaut pas à une part de trafic identique acheminé en propre sur le réseau", explique Free Mobile, qui avance plusieurs raisons. Téléphonie mobile : Orange menace de ne plus laisser Free utiliser son réseau. Une telle décision aurait des répercussions importantes pour les clients de FreeMis en cause par l'autorité de régulation des télécoms, l'opérateur Orange a rejeté toute responsabilité dans les pannes subies par Free Mobile ces derniers jours, et a menacé de suspendre l'accord permettant à ce dernier d'utiliser son réseau.

Orange "n'hésitera pas à suspendre" l'accord entre les deux opérateurs "si des incidents sur le réseau de Free Mobile devaient affecter (sa) qualité de service", a déclaré samedi un de ses porte-parole à l'AFP. Une telle décision aurait des répercussions importantes pour les clients de Free puisque cet accord, dit d'itinérance, permet aux abonnés de ce dernier de passer par le réseau de l'opérateur historique dans le cas où il n'y aurait pas de réseau Free disponible. Mais selon Silicani, "les deux parties ont sous-estimé à la fois le nombre d'abonnés et la quantité de trafic passant par le réseau d'Orange". L'accord d'itinérance Free-Orange dans le viseur de Bercy. L'Autorité de la concurrence a annoncé lundi avoir été saisie pour avis par Bercy sur trois dossiers concernant la mutualisation et l'itinérance sur les réseaux mobiles, dont un éventuel renouvellement de l'accord entre Orange et Free, et rendra ses conclusions fin février.

Cette saisine a été émise par Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, et Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée de l'Economie numérique, précise l'Autorité dans son communiqué. Après avoir consulté l'Autorité des télécoms (l'Arcep), l'Autorité de la concurrence indique qu'elle se prononcera à la fin du mois de février "sur la compatibilité avec le bon fonctionnement de la concurrence concernant trois dossiers". Le premier concerne "la poursuite" de l'accord d'itinérance entre Free Mobile et France Télécom-Orange, qui court jusqu'en 2018 et permet au quatrième opérateur d'utiliser le réseau de l'opérateur historique le temps de développer ses propres infrastructures.

Le réseau Free Mobile couvre 37% de la population selon l'Arcep. Free Mobile couvre 37% de la population française grâce à son réseau propre, et il se situe dans la moyenne des autres opérateurs concernant la qualité du service voix et de l'internet mobile, selon un rapport de l'Arcep rendu public vendredi. Ce rapport rend compte, à la date du 1er juillet 2012, de la couverture et la qualité des services mobiles des opérateurs Orange, SFR, Bouygues Télécom et Free Mobile (ce dernier ayant lancé ses services en janvier). A cette date, SFR couvrait 98,6% de la population (et 86,4% du territoire), l'opérateur historique Orange 98,5% de la population (87,3% du territoire), Bouygues Telecom 94,8% (71,8%) et Free Mobile 37,3% de la population (pour 13% du territoire). Les données de l'Arcep sur la couverture mobile sont fondées sur des cartes transmises par les quatre opérateurs mobiles, "ayant fait l'objet au cours de de l'été d'une campagne de vérification sur le terrain", précise l'Arcep.

Free Mobile: performances inférieures pour la vidéo et le web. Free Mobile a recruté 3,6 millions d'abonnés mobiles en six mois. Free Mobile, le quatrième opérateur de téléphonie mobile lancé en janvier, a recruté 3,6 millions d'abonnés au premier semestre, ce qui représente 5,4 % de parts du marché français, a annoncé sa maison mère Iliad vendredi 31 août. Au premier trimestre, le groupe affichait déjà 2,6 millions d'abonnés, ce qui signifie que le rythme de ses recrutements a ralenti d'avril à juin, période où les autres opérateurs ont recommencé à voir croître leur nombre d'abonnés, après avoir aligné leurs offres sur celle de ce nouvel entrant.

L'offre de Free Mobile reste tout de même un succès commercial. Iliad, la maison-mère de Free, a annoncé un bénéfice net pour le premier semestre en chute de 45 % à 80 millions d'euros, en raison selon le groupe des pertes générées par le lancement de son activité mobile. Mais si Free Mobile pèse sur le bénéfice d'Iliad [dont le fondateur Xavier Niel est actionnaire du Monde à titre personnel], il fait aussi bondir les ventes. Free Mobile : 3,6 millions d'abonnés en juin 2012 et une part de marché de 7,9%

FREE MOBILE - Malgré quelques pannes au démarrage, l'arrivée de Free Mobile est toujours un succès. D'après une étude Kantar, la filiale d'Iliad aurait séduit 3,6 millions de clients depuis son arrivée sur le marché français en janvier dernier. Le cabinet d'étude explique qu'en France, désormais, près de 8 abonnés mobile sur 100 sont clients de Free Mobile (7,9%). Il y a un mois, le quatrième opérateur revendiquait seulement 2,6 millions d'abonnés, soit un peu moins de 5% du marché français. Soit un bond de 38,5%, en à peine un mois. Ce million d'abonnés supplémentaire est la preuve indéniable de la réussite de Xavier Niel, PDG d'Iliad. L'arrivée de Free a profité aussi... aux clients des autres opérateurs Autre élément de l'étude, depuis l'arrivée de Free, la facture totale payée par les Français en téléphonie mobile s'est repliée de 7% en valeur.

Le patron de Free avait également fait une autre promesse, celle de "foutre le bordel" dans le marché de téléphonie mobile. Free Mobile : 5 millions de clients, dont 25% ne paient rien. Free menace l'innovation dans les télécoms. Tout ce qu'il faut savoir sur les offres Free Mobile. Free relance la guerre des opérateurs mobiles. Une fusion SFR-Free heurterait les règles de concurrence. PARIS (Reuters) - L'Autorité de la concurrence s'est opposée à l'idée d'un rapprochement entre l'opérateur de téléphonie mobile SFR, filiale de Vivendi et son concurrent Free, filiale d'Iliad, indique jeudi la radio BFM Business sur son site internet. Ebranlés par l'arrivée au début 2012 de Free sur le marché français de la téléphonie mobile et par le ralentissement de la consommation de produits télécoms en Europe, les opérateurs cherchent à réduire leurs coûts et réfléchissent aux moyens de mutualiser leurs réseaux.

Du coup, les spéculations sur des rapprochements entre opérateurs vont bon train. Dans ce contexte, selon BFM Business, SFR et Free ont consulté, de manière informelle et chacun de leur côté, l'Autorité de la concurrence sur un scénario de fusion des deux sociétés. "La combinaison de SFR et Free détiendrait la moitié du marché de l'accès internet, qui deviendrait dès lors un quasi-duopole avec Orange", poursuit la radio. Free et la concurrence, Editoriaux. Free porte plainte contre SFR pour concurrence déloyale. Chez Free, nous croyons en la concurrence régulée. Free Mobile ira plus loin si la concurrence s'aligne sur ses tarifs. B&You, la marque low cost de Bouygues Telecom, lance ses nouvelles offres.

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Sarah Belouezzane La fuite en avant continue pour les opérateurs qui tentent de trouver des parades depuis l'arrivée de Free Mobile sur le marché en janvier. Après SFR et ses offres Joe Mobile fin octobre, c'est au tour de Bouygues Telecom de dévoiler, mardi 6 novembre, les nouvelles formules de son opérateur low cost B&You. B&You qui avait lancé la première carte prépayée sans limite de temps en septembre innove cette fois avec deux nouveaux forfaits, vers lesquels devraient basculer tous ses abonnés. Le premier à 9,99 euros comprend, contrairement à sa première version qui n'offrait que deux heures pour ce prix-là, des communications illimitées vers fixe et mobile ainsi que des SMS illimités. Bien que 20 Megaoctets (Mo) de données soient déjà inclus (pour les usages involontaires indique l'opérateur), ce forfait a pour particularité de ne pas proposer l'habituel service de données. Pourtant, très agressive, l'offre à 9,90 euros ne serait qu'un test.

Free Mobile créateur d'emplois ? La concurrence ironise. Comment Free Mobile dynamite le marché des cartes prépayées. Face à la concurrence de Free Mobile, qui après avoir fait le plein des clients forfaits déçus par les grands opérateurs et libres d'engagement, poursuit sa croissance en puisant dans le parc de clients en prépayé, Bouygues Telecom a dégainé ce jeudi une nouvelle offre coup de poing. A 10 euros sans limite de durée, la nouvelle recharge de B&You est une riposte logique. Il est étonnant que les trois opérateurs mobiles historiques n'aient pas dégainé plus tôt de véritables liftings de leur gamme prépayée.

On attend désormais la réaction d'Orange et SFR. Car les cartes prépayées sont encore importantes pour les opérateurs. Free Mobile, détonateur après des années de statu quo Pendant longtemps, rien n'a bougé sur ce marché, très rentable pour les opérateurs. Il a fallu attendre Free Mobile et son forfait à 2 euros pour faire bouger les lignes. Résultat, depuis deux trimestres et l'arrivée de Free Mobile, le parc de clients prépayés diminue selon l'observatoire de l'Arcep. Et pour cause. Bouygues Telecom réclame 100 millions à Free pour dénigrement. Jeudi 6 décembre, comme l’avait annoncé Challenges.fr, la société Bouygues Télécom a déposé une "assignation à bref délai" contre Iliad-Free pour "dénigrement et concurrence déloyale". La société réclame 100 millions d’euros à Free. Contacté, Bouygues Télécom ne souhaite pas commenter l’information, et le service de presse d’Iliad-Free n’a pas retourné notre appel. Cette plainte de Bouygues contre Free pour "dénigrement" semble être une réponse du berger à la bergère : l’élément déclencheur semble être le fait que Bouygues Telecom n’a pas digéré que son secrétaire général, Didier Casas, ait été entendu par la justice dans le cadre d’une plainte en diffamation déposée par Iliad-Free.

"Nous avons dû faire le dos rond pendant le lancement de Free Mobile" Sous couvert d'anonymat, un salarié de Bouygues Telecom avait récemment confié à Challenges: "nous avons dû faire le dos rond pendant le lancement de Free Mobile, et de toute façon, à l’époque, nous étions inaudibles.