background preloader

Combat pour la nature

Facebook Twitter

Why Urban Trees Solve So Many of Our Problems. Trees cover an estimated 20.9 million acres of urban land in the continental United States.

Why Urban Trees Solve So Many of Our Problems

That’s 3,659 square feet of urban forest per city dweller—about the size of a not-so-modest four-bedroom house. But like housing, trees are not equally distributed across American cities. Studies have shown that there is a higher demand for trees in wealthy neighborhoods. Conversely, areas with a higher proportion of African Americans, low-income residents, and renters enjoy less tree cover. The unequal allocation of city greenery means that many low-income and non-white urbanites are missing out on the benefits of having trees on their city blocks, which, it turns out, are significant.

If your street is peppered with Magnolias and American Sweet Gums, your neighborhood will look better, sound better, and be less windy. If offensive city noises do traverse the leafy canopy outside your window, you’ll be less stressed about it. Energy Justice Map. Strip, Chip, and Ship: Exporting Our Forests [The Biomass Monitor - December 2013] #défendonslaforêt. “The Great Dying” redux? Shocking parallels between ancient mass extinction and climate change. I grew up planning for my future, wondering which college I would attend, what to study, and later on, where to work, which articles to write, what my next book might be, how to pay a mortgage, and which mountaineering trip I might like to take next.

“The Great Dying” redux? Shocking parallels between ancient mass extinction and climate change

Now, I wonder about the future of our planet. During a recent visit with my eight-year-old niece and 10- and 12-year-old nephews, I stopped myself from asking them what they wanted to do when they grew up, or any of the future-oriented questions I used to ask myself. I did so because the reality of their generation may be that questions like where they will work could be replaced by: Where will they get their fresh water? What food will be available? And what parts of their country and the rest of the world will still be habitable? The reason, of course, is climate change — and just how bad it might be came home to me in the summer of 2010.

The route had changed dramatically enough to stun me. “We’ve Never Been Here as a Species” Hubert Reeves sur lepoint.fr : la nature ne fait pas de déchets. Face aux problèmes qui se posent à nous au cours de la crise environnementale présente, nous cherchons des solutions dans les leçons que nous pouvons tirer du comportement de la nature (pour les besoins de la discussion, je distingue artificiellement les activités humaines des activités naturelles).

Hubert Reeves sur lepoint.fr : la nature ne fait pas de déchets

Comment est-elle arrivée à gérer aussi habilement, depuis plusieurs milliards d'années, l'ensemble des activités infiniment diverses qui se passent sur la Terre. A-t-elle des secrets que nous pourrions lui emprunter ? Elle en a à coup sûr ! Il en est un que nous pouvons résumer ainsi : la nature ne fait pas de déchets. Elle utilise et recycle tout. Chez les économistes, cet idéal s'appelle "économie circulaire". La masse des déchets qu'ils accumulent atteint des proportions gigantesques et s'accroît à une vitesse telle que de nombreuses villes sont largement dépassées par la situation.

Plusieurs villes ont déjà décidé de s'attaquer à la situation. Port pétrolier à Cacouna: les conséquences de l'indifférence du Québec. Le projet de port pétrolier que souhaite implanter TransCanada à Cacouna n'augure rien de bon pour l'écosystème marin du Bas-Saint-Laurent.

Port pétrolier à Cacouna: les conséquences de l'indifférence du Québec

Le port, qui y serait construit pour exporter le pétrole albertain acheminé par oléoduc, serait situé en plein coeur de la pouponnière des bélugas du Saint-Laurent. Nous savons depuis longtemps que l'espèce est menacée, voire en voie de disparition. Mais comment expliquer qu'un site d'une telle importance ne soit pas protégé? Malheureusement, l'absence de conservation marine à Cacouna ne fait que mettre en évidence une situation très inquiétante à l'échelle du Québec : le manque de volonté du gouvernement québécois de créer un réseau d'aires marines protégées.

À l'heure actuelle, seulement 1,3 % du milieu marin québécois est protégé. Le Québec propose maintenant de protéger 10 % de son milieu marin d'ici 2020, conformément aux objectifs internationaux (le gouvernement précédent proposait de devancer l'échéancier à 2015). Loading Slideshow 1 sur 102. Port pétrolier à Cacouna: les conséquences de l'indifférence du Québec.