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Créationnisme

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Panspermie, origine de l'humanité? Les différentes révélations sur la planète Mars ou la comète Tchouri pourraient valider une des plus anciennes théories sur l'humanité, la panspermie. Née au 5e siècle avant Jésus-Christ, mais soutenue au fil des siècles par de nombreux scientifiques, la panspermie est une théorie scientifique affirmant que la vie sur Terre est apparue à travers une contamination extérieure, venue de l'espace. Notre biosphère aurait ainsi été contaminée par des germes de vie ou des bactéries qui se seraient déplacées entre les différentes planètes du système solaire. Ces voyages interstellaires auraient pu être réalisés sur des comètes et des astéroïdes. La panspermie a été remise au goût du jour au 20e siècle par deux chercheurs : Fred Hoyle et Chandra Wickramasinghe. Ces derniers ont apporté leur pierre à l'édifice en élaborant une théorie cousine de la panspermie : la pathospermie. Celle-ci expliquerait selon eux l'apparition de nouvelles maladies sur Terre.

Créer de l'intelligent design. Sur ce blog, on n'hésite pas à faire dans le titre racoleur. Ah vous aviez déjà remarqué. Bon bon bon. La question est pourtant valable : l'évolution peut-elle spontanément créer un organisme capable de quitter l'évolution "à la Darwin" ? Autrement dit, pourrait-il exister un organisme capable de diriger/plannifier sa propre évolution, ou encore, capable de diriger celle d'autres organismes, sans passer par les forces évolutives telles que la sélection naturelle ?

Résumons le cahier des charges. Bien sûr il faut que ces trois capacités apparaissent spontanément au cours de l'évolution, et soient maintenues par la suite. En fait, "peut-on faire un organisme qui quitte la sélection naturelle pour se modifier tout seul" ressemble à une question qu'on a plus l'habitude de croiser dans l'étude de l'intelligence artificielle : peut-on créer un logiciel capable de se programmer tout seul ? L'analogie avec l'informatique est pas mal, parce que l'évolution est basiquement un algorithme. L'épopée atlante du jardin d'Eden. Il est clair qu'il devrait avoir été assez agréable de vivre dans l'Atlantide décrite par Platon et que cette ville comme toutes les métropoles ("ville-mère", étymologiquement) n'aurait pu que rayonner dans le monde entier, un peu à la manière de Rome au siècle d'Auguste, de Venise au temps des Doges ou de Londres sous Victoria.

Une ville, telle qu'elle est décrite dans le Critias ( voir "L'Empire des Fils de Poséidon") regorgeant de richesses, en relations commerciales avec un immense empire, jouissant d'une administration sage, etc., ne pouvait qu'être un "phare" pour le reste du monde. C'est peut être ce souvenir qui nous a été transmis par la tradition d'un paradis primordial, d'un "Jardin d'Eden". La tradition la plus connue, à défaut d'être la plus ancienne, est celle que l'on trouve dans la Genèse (II,8-II,15).

On sait que "l'homme" a été placé par "l'Eternel" dans un jardin "en Eden, du côté de l'orient" dans le but de le cultiver et de le garder. Etc., etc., etc. Le récentrisme. Garry Kasparov ferait mieux de rester près de ses échiquiers. Lorsque le champion russo-croate s’en éloigne, il lui arrive de dépasser allègrement les limites du déconnomètre.

Notamment lorsqu’il défend le récentisme. Le postulat de cette théorie radicale est simple : l’histoire « officielle » compte plusieurs siècles en trop. Et Kasparov entend bien convertir le monde au récentisme. Voilà ce qu’il déclarait à un journaliste du Daily Telegraph en 2001 : « Si 10% de de ce que nous disons est vrai, ce sera la chose la plus importante dans laquelle j’aurai jamais été impliqué.

Prenez un événement et copiez-le Pour remonter aux sources du récentisme, il faut rester en Russie. Couverture de la « Nouvelle chronologie » d’Anatoly Fomenko - Editions Mithec Une soixantaine d’années plus tard, les thèses récentistes, appliquées à l’Histoire, deviennent « hype » sous l’impulsion d’Anatoly Fomenko. Pour Fomenko, l’histoire mondiale est beaucoup moins longue qu’on ne le dit. François de Sarre - DR. Preuves d’évolution, elles sont du vent?

Par Julien Perreault, B.Sc. Le magazine Québec Sceptique (no. 60) a fait paraitre un article dans lequel on présente 10 « preuves incontournables » de l’évolution. Ces « preuves » constituent majoritairement un discours complètement dépassé par la science. Voici une réponse précise à chacun des 10 points présentés dans l’article du Québec sceptique : Le présent texte démontre que l’argumentation évolutionniste exploite des : 1) Phénomènes isolés : une mutation qui handicape partiellement une bactérie mais lui permet de combattre un antibiotique, un fragment de fossile difficile à classifier ; 2) Phénomènes partiellement rapportés et interprétés très subjectivement : les fossiles de l’Archéoptéryx et Basilosaurus, la « convergence » des adaptations marines ; 3) Fraudes et problèmes de mise à jour : l’argument embryologique (fraude), la similarité du génome singe-homme (mise à jour) ; 1 – Fossiles ordonnés Réponse : Stephen J. 1. 2. . « Évolution » du cheval» 2 – Chaînons présents M.

Elinson, R.