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De la pataphysique à l'Oupeinpo. Qu’est-ce que la pataphysique ? Au commencement, il y eut la pataphysique. Alfred Jarry en révèle l’existence en 1898, dans son ouvrage Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicien. C’est indubitable, la pataphysique est LA science par excellence. Elle a pour but de déterminer l’éventail de tous les possibles dans tous les domaines. Mais curieusement, 50 ans s’écoulent avant que ne soit fondé en 1948 le Collège de Pataphysique qui est chargé de sa mise en application. Celui-ci voit le jour le 22 palotin 75, très exactement, selon le calendrier des pataphysiciens, une mise en abîme ubuesque du calendrier révolutionnaire. Le collège de Pataphysique se dévoue depuis corps et âme au rayonnement de cette « science des solutions imaginaires », à travers ses publications et les travaux de ses nombreux Ouvroirs Potentiels. Genèse de l’OuPeinPo L’OuPeinPo est né le 5 novembre 1964. Jacques Carelman. A quoi sert l’OuPeinPo ?

Réunion des membres de l'OuPeinPo ©oupeinpo.tristanbastit.fr/ Sélection de Land Art. Le Land Art est une tendance de l’art contemporain, utilisant le cadre et les matériaux de la nature (terre, bois, pierres, rocher, sable, etc.) Les premières œuvres ont été réalisées dans les paysages désertiques de l’Ouest américain à la fin des années 1960. Souvent éphémère le Land Art est exposé aux éléments et soumis à l’érosion naturelle, ainsi, certaines oeuvres disparaissent plus vite qu’elles n’ont été crées Découvrez dans la suite de l’article l’une des meilleures selections de Land-Art du moment… Quelques Pionniers du Land Art : Barry Flanagan, Dennis Oppenheim, Andy Goldsworthy, Robert Smithson, Jan Dibbets, Michael Heizer, Nancy Holt,Charles Ross, Richard Long et Jean Vérame Sélection de Land Art. Damien Alexandre, anamorphose.

Publié le 26/12/2012 Par Damien 497 mots Général Précédemment sur le blog : Une Moustache pour les gouverner tous Chez JoliCode nous aimons les petits défis, alors quand Alexandra nous a parlé d’anamorphose—après un petit temps de « mais de quoi elle parle » nous nous sommes lancé en quête de tutoriels et autres instructions à ce sujet. Il y en a peu, alors je vais vous présenter le « Behind the scene » de l’anamorphose de JoliCode.

Rappel des bases Une anamorphose est une transformation optique d’image réversible. C’est un procédé artistique créant des images déformées, qui se recomposent à un point de vue préétabli et privilégié. Vous avez forcement déjà vu une des oeuvres de Julian Beever : L’objectif de JoliCode Nous venons tout juste de nous installer dans de superbes locaux à Voltaire, et nous en avons donc profité pour faire quelques travaux de décoration. Nous voulions donc notre logo (une création Charlie Burger) en anamorphose (oui ça fait très start-up, mais on assume). Pop art et société de consommation. Richard Hamilton est né en 1922, à Londres. Il suit des cours à la Royal Academy School, puis à la Slade School of Art, jusqu’en 1951.

Pendant ses études, il découvre l’œuvre de Marcel Duchamp, qui va profondément influencer les orientations de son travail (Homme marchant, 1963 ; réplique du Grand Verre, 1965-1966 ; organisation de la rétrospective Marcel Duchamp à l’ancienne Tate Gallery de Londres, 1966). En 1952, avec entre autres Eduardo Paolozzi, les critiques Alloway et Banham, des photographes et des architectes, Hamilton fonde l’Independent Group, dont les intentions déclarées sont de réagir à l’académisme artistique en vigueur à cette époque. Le groupe propose ainsi débats et conférences sur des thèmes aussi divers que la cybernétique ou la musique populaire, s’intéresse aux produits de consommation de la culture urbaine, le cinéma, la bande dessinée, et rejette toute distinction entre l’art élitiste et la culture de masse. L'Actionnisme viennois. Les Nouveaux réalistes et Yves Klein avaient utilisé le corps humain comme outil artistique, réalisant des empreintes de femmes nues.

Au début des années 1960, les Actionnistes décident, eux, de l'employer comme matériau. "Ils recherchaient une confrontation directe avec la réalité, tant physique que psychique, jusque dans les dimensions les plus difficilement supportables et les plus refoulées", souligne Eva Badura-Triska, commissaire de l'exposition "Mon corps est l'événement", au Musée d'art moderne (Mumok) de Vienne. Au cours de performances sans équivalent, et qui parfois leur valurent des peines de prison, Otto Muehl, Hermann Nitsch, Günter Brus et Rudolf Schwarzkogler écorchent des cadavres d'animaux, ficèlent des corps humains, les mélangent à des viscères ou à de la boue. Muehl, en particulier, embauche des modèles pour composer des "natures mortes", mettant ainsi en scène de véritables membres humains passés au travers de planches, qui créent l'illusion de corps démembrés.