background preloader

SANTÉ MENTALE

Facebook Twitter

La dépendance aux jeux vidéo reconnue comme maladie par l'OMS. La psychothérapie, plus efficace que la médication chez les enfants | Les éclaireurs. La maladie mentale | Première PLUS. Le cerveau en développement des ados explique leurs comportements | Médium large. Santé Le cerveau en développement des ados explique leurs comportements Le mardi 1 novembre 2016 Sautes d'humeur, irritabilité, impulsivité, difficulté de concentration, recherche de sensations fortes... Ces agissements qu'on reproche aux adolescents s'expliquent par le fait qu'à cet âge, le cerveau n'a pas terminé de se développer et cherche à réguler des doses grandissantes d'hormones sexuelles. Sonia Lupien, chercheuse en neurosciences, explique à Catherine Perrin en quoi des connexions manquantes rendent le raisonnement de base plus ardu, et comment les parents peuvent contourner ces faiblesses chez leur adolescent Créer un compte. De plus en plus de jeunes prennent des antipsychotiques. Un texte de Marie-Eve Cousineau Plus de 5000 Québécois de 12 à 18 ans ont reçu une ordonnance d'antipsychotiques en 2015, contre près de 2800 en 2005, selon la RAMQ.

(Ces données ne tiennent pas compte des patients qui ont pris ces médicaments dans les hôpitaux.) Cette hausse s'observe partout au Canada, selon la chef de la pédopsychiatrie à l'Hôpital de Montréal pour enfants, Dr. Lila Amirali. La spécialiste n'en demeure pas moins inquiète. Ces médicaments, dit-elle, doivent être utilisés en dernier recours. C'est un problème, étant donné qu'on a des effets secondaires très importants qui sont associés, comme le trouble du métabolisme et la prise de poids. Pour voir ce graphique à l'aide de votre appareil mobile, cliquez ici. Chez les adolescents, les antipsychotiques de deuxième génération (ex.: rispéridone, quétiapine et aripiprazole) sont utilisés pour traiter la psychose et la schizophrénie à ses débuts. Dr. Une pilule plutôt qu'une thérapie ?

Dr. Qui prescrit le plus? VRAI OU FAUX? 9 questions sur l'autisme. 1. L'autisme touche seulement les enfants. VraiFaux Le diagnostic se fait souvent en bas âge, mais le trouble du spectre de l'autisme demeure tout au long de la vie des personnes touchées. 2. L’autisme se caractérise par des problèmes à communiquer et des comportements répétitifs.

L’autisme se manifeste principalement par des difficultés dans les interactions sociales et par des comportements, des activités et des intérêts restreints. 3. Ce ne sont pas des personnes agressives. 5. Aucun consensus scientifique n'existe quant à la nature exacte des causes de l'autisme, un trouble neurologique qui affecte le fonctionnement du cerveau. 6. Par contre, c'est un mythe de croire qu’il existe un remède à l’autisme ou que le trouble disparaît avec le temps. 7. Chaque personne, même autiste, a des capacités uniques. 8. Le personnage Raymond Babbitt est atteint du syndrome d’Asperger. 9. 1 enfant sur 68 reçoit un diagnostic d'autisme au Canada. 'Anxiété' : regard pessimiste et instructif sur l'impossibilité de lâcher prise | Médium large. Santé Anxiété : regard pessimiste et instructif sur l'impossibilité de lâcher prise Le vendredi 18 mars 2016 Scott Stossel, éditorialiste de la revue The Atlantic, signe un essai dans lequel il relate son combat contre les troubles anxieux.

Ces troubles constituent la pathologie la plus répandue dans le monde, et 12 % des Canadiens en seraient atteints. Créer un compte. Les éclaireurs. Ce magazine, à la fois ludique et rigoureux, traite de consommation et de santé, des sujets qui préoccupent nos contemporains. Sophie-Andrée Blondin et ses collaborateurs, présents durant toute l'émission, déboulonnent les mythes qui ont souvent cours dans ces domaines. Des experts sont invités en studio pour faire part de leur expérience ou de leur opinion sur un thème donné.

Des capsules d'information alimentent la discussion. Des chroniqueurs se greffent à l'occasion pour parler de différents champs d'expertise : finances personnelles, voyage, droit du consommateur, science, etc. Toutes les semaines, il y a un coup de sonde autour du monde afin d'y faire des trouvailles, que ce soit un objet ou une tendance dans la société. Les auditeurs sont invités à participer à la discussion grâce aux réseaux sociaux. Animation : Sophie-Andrée Blondin Chroniques :Véronick Raymond, comédienne et communicatriceDre Karine Bériault, omnipraticienneJacques Nantel, expert en marketingSylvain B. L'activité physique comme thérapie pour la dépression chez les jeunes ? Des participants à une activité aérobie, à Winnipeg, au Manitoba Photo : Tyson Koschik L'Hôpital pour enfants de l'Alberta, l'Université de Calgary et le YMCA de Calgary lancent une étude pilote pour combattre la dépression chez les adolescents en recourant aux exercices aérobiques.

Des chercheurs et des professionnels du conditionnement physique tenteront de comprendre l'effet de l'activité aérobique sur la plasticité du cerveau et comme nouvelle thérapie pour soigner la dépression chez les adolescents. Ils examineront plus spécifiquement l'impact de ce genre d'exercice sur l'hippocampe, la région du cerveau responsable de l'apprentissage, de la mémoire et de la réponse au stress. Des recherches récentes ont montré que les personnes aux prises avec la dépression ont un hippocampe plus petit que celui des personnes qui ne souffrent pas de ce problème. Des exercices structurés Trente jeunes âgés de 16 à 18 ans et à divers stades dépressifs participeront à l'étude pilote.