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44% des Internautes Partagent Des Informations Via Facebook En 2010. Obsessed With Facebook: An Infographic. Facebook monopolise le temps passé sur Internet. Les internautes européens s'attardent plus sur Facebook que sur les sites de Google. L'email et la messagerie instantanée séduisent moins les Français. Les internautes ne se contentent pas de venir en nombre sur Facebook. Ils y restent aussi très longtemps. En Europe, le réseau social est devenu l'an dernier le site où les internautes ont passé le plus de temps (11,7%), devant l'ensemble des sites de Google - recherche, actualités, blog… - (10,4%) et de Microsoft (10%), selon des données de l'institut comScore publiées jeudi. Pourtant, Facebook n'est encore que le troisième site le plus visité en Europe, derrière les deux autres géants américains.

Le temps passé sur Facebook est gagné aux dépens d'activités plus anciennes sur Internet. En France, les réseaux sociaux représentaient le mois dernier 14% du temps passé sur Internet, contre 11% pour le courrier électronique et 7% pour la messagerie instantanée, deux fois moins qu'un an auparavant. Un impact sur la publicité. Facebook lance le suivi en temps réel des statistiques de ses plugins. Les plugins Facebook ont eu un succès retentitssant, disposés sur des millions de sites ces plugins ont étés de véritables générateurs de trafic Aujourd’hui Facebook a annoncé la mise en place d’un analytics pour les plugins suivants : Bouton Like Comments Box Popular page Organic Sharing Demographics Plus d’infos ici Quelques nouvelles fonctionnalités Nombre de likes annoncé de manière anonyme.

Nombre de commentaires, les commentaires, liens vers les commentaires Pages ayant reçu le plus d’interactions Classification démographique des utilisateurs De quelle manière les contenus sont partagés. Facebook : dire “pouce” face au “like” » Article » OWNI, Digital Journalism. Le succès durable du "like" sur Facebook est assez étonnant. Il tend parfois à se substituer à l’abonnement via un flux de syndication web mais il est difficile de connaître par avance les conséquences d'un clic sur ce bouton. Je m’étonne un peu du succès durable du « like » sur Facebook car à mon sens, cette fonction qui induit souvent un abonnement peut mener rapidement à l’infobésité.

D’autant que Facebook n’est que très modérément taillé pour nous permettre de gérer convenablement nos « likes ». Sur la page d'accueil d'un blog, Facebook est proposé en premier pour le suivi des publications. Envisageons la question de la façon suivante : il est fréquent que l’internaute se voit aujourd’hui proposer plusieurs solutions pour « garder le contact » avec telle ou telle source (site ou blog hors de Facebook, « ami » ou « fan page » sur Facebook…) et suivre ses publications ou, plus largement, celles de son (ses) auteur(s).

Sur Facebook, une "fan page" proposant le bouton "Like" ("J'aime"). Facebook: parlez des autres, vous vous ferez des amis » Article » OWNI, Digital Journalism. Dans une étude récente portant sur plus d'un million de statuts, la "data team" de Facebook analyse les types de prise de parole sur ce nouvel espace public. Les statisticiens de Facebook ont décortiqué environ un million de «statuts» anglophones pour comprendre comment fonctionne cet étrange rituel qui occupe chaque jour 12% de ses 500 millions d’utilisateur: expliquer à l’ensemble de ses «amis» ce que l’on est en train de faire («what are you doing right now?» , l’invite initiale) ou ce que l’on a en tête («What’s on your mind?»). Ils se sont également demandé s’il existait des relations de cause à effet entre la composition de ces messages et l’entregent affiché. Les résultats montrent que les personnes les plus populaires: Facebook a aussi fait étudier les statuts qui appellent le commentaire et ceux qui entraînent la recommandation.

Il faut toujours rappeler qu’il n’y a là que corrélations (des variables qui évoluent ensemble) et pas de causalité prouvée. Illustration CC: Kevin Saff. Sincérité et Facebook créent du lien avec les clients potentiels. Pour créer un lien avec les consommateurs, les entreprises ont tout intérêt à solliciter leurs conseils, affirme une équipe de chercheurs américains. Pour cela, les réseaux sociaux sont l'outil idéal. « Les professionnels du marketing et les ONG demandent régulièrement leur avis à leurs consommateurs ou à leurs donateurs pour une myriade de raisons différentes », affirment un duo de chercheurs de l’université de Californie et de la Northwestern University. Dans une étude à paraître dans le Journal of Consumer Research, ils expliquent que le plus efficace pour s’attirer la sympathie des consommateurs consiste à leur demander conseil. « Les gens se sentent plus proches des entreprises et des ONG qui leur demandent leur avis », affirment les auteurs.

Ce qui ne signifie pas que cette sympathie augmente la probabilité de l'acte d'achat. « A l’inverse, demander quelles sont leurs attentes vis-à-vis de l’entreprise peut créer de la distance avec des clients potentiels ». Liste des symboles et des smileys pour Facebook. Téléchargez Le Nouveau Guide Facebook Insights – Mise A Jour 14.03 – Pdf ! Facebook vient tout juste de sortir une nouvelle version de son guide Facebook Insights qu’une mise à jour est déjà à notre disposition depuis quelques heures. La raison en est simple : le système d’analyse en temps réel des Pages vient d’inclure des données concernant son service de géolocalisation Facebook Lieux.

Désormais, les administrateurs de Page auront accès aux performances de Facebook Lieux et des Bons Plans Facebook puisqu’ils pourront consulter le nombre de check-ins et de bons plans réclamés. Plutôt intéressant pour analyser les jours les plus favorables aux check-ins ou encore la fréquence d’acquisition des bons plans en fonction du type d’offres. Comment réaliser une veille efficace sur Facebook ? Même si Twitter est le réseau le plus adapté à la veille, (j’en parlais d’ailleurs ici : Comment réaliser une veille efficace sur Twitter ?) , il est possible de profiter des avantages de Facebook pour chercher de l’information et effectuer une veille efficace… Nous faisons tous de la veille naturellement, sans forcément nous en rendre compte : veille concurrentielle, observation de tendances de consommation, recueil de critiques… Mais pour être efficace et productive, elle doit s’ancrer dans une démarche de recherche d’information volontaire, surtout sur Facebook.

Pourquoi faire de la veille sur Facebook ? – Se ternir informer sur un sujet – Échanger et dialoguer avec des internautes – Connaître son environnement : concurrents, clients, médias – Recueillir des feedbacks sur un produit, un service – Bénéficier d’une cible potentiellement importante et diversifiée Comment être un bon veilleur sur Facebook ? Comment réaliser votre veille sur Facebook ? 1) Rechercher des statuts. Facebook, votre site d’informations. Et si Facebook devenait un gigantesque site d’informations? A la vue de la courbe de progression du réseau social sur les catégories «news» dans le monde — une source de trafic trois fois plus importante que Google News pour les sites de médias — l’hypothèse est plausible. Même si aujourd’hui 40% — en moyenne — du trafic des 12 principaux sites d’infos français provient de Google, et seulement 1,3% de Facebook, selon l’étude réalisée par AT Internet en septembre 2010.

Crédit: Flickr/CC/escapedtowisconsin «Tout ce que vous faites sur un site Web, vous pouvez le faire sur Facebook», assure Michael Lazerow qui a fait la démonstration, sur la scène du Monaco Media Forum, de Buddy Media, une société qui construit des pages Facebook pour d’autres. Transfert Imaginons que les pages d’accueil des sites d’informations telles qu’on les connaît aujourd’hui disparaissent.

Crédit: AA Objection? Un «réseau» d’actualités Même chez Yahoo! Nos amis les filtres Temps de cerveau disponible Vertige des éditeurs. Judith Donath : Si Facebook est important, c’est le signe que nos relations sont importantes. Par Hubert Guillaud le 16/03/11 | 9 commentaires | 3,393 lectures | Impression Judith Donath est professeur au Media Lab du MIT et fondatrice du Sociable Media Group.

Elle est l’auteure de nombreux articles d’analyse sur les médias sociaux et l’impact social d’internet dont elle est l’une des spécialistes. C’est avec elle que nous avons voulu essayer de “comprendre Facebook”, pour faire suite à la première partie du dossier que nous avons publié hier. InternetActu.net : Beaucoup de gens en évoquant Facebook dénoncent son “mur de futilité”. Judith Donath : Ce à quoi sert des sites sociaux comme Facebook n’est pas d’échanger des informations importantes, mais ils fournissent le moyen de garder le contact avec quelqu’un, montrer que vous portez de l’attention à quelqu’un.

Image : Judith Donath lors du SXSW 2009, photographiée par le Berkman Center for Internet & Society. Internetactu.net : Pourquoi les gens bavardent-ils en ligne et pourquoi le montrent-ils si facilement ? Comprendre Facebook (1/3) : Le rôle social du bavardage. On le sait depuis longtemps. Accéder à un service, ne signifie par pour autant savoir l’utiliser, le comprendre, ni même le maîtriser suffisamment pour être capable d’innover, de créer avec. Les outils numériques sont familiers de ces cloisonnements.

On peut-être né avec le numérique et ne pas en maîtriser les usages, on peut utiliser Facebook au quotidien sans comprendre l’étendue de son action. D’ailleurs, la plupart du temps, on n’en a pas besoin. Pas seulement, les dangers de son utilisation comme aiment à nous le répéter les grands médias de manière souvent simpliste ou certains experts avec plus de finesse (je vous renvoie au livre de notre collègue Jean-Marc Manach La vie privée un problème de vieux cons pour mieux comprendre la problématique de la vie privée à l’heure des réseaux sociaux, qui ne sera pas le sujet de cette série), mais plus encore le potentiel créatif que l’outil libère, son fonctionnement intrinsèque.

Soit. La fonction phatique de l’internet Un si petit monde.