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Sante Psychologique

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Les usurpateurs du bouddhisme

Frédéric Lenoir. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Lenoir. Frédéric Lenoir, né le 3 juin 1962 à Madagascar, est un philosophe, sociologue, conférencier[1] et écrivain français, docteur de l'École des hautes études en sciences sociales[2]. Il est chercheur associé à l'École des hautes études en sciences sociales depuis 1991 et producteur et animateur de l'émission Les racines du ciel sur France Culture depuis 2009. Auteur d'une quarantaine d'ouvrages, il a codirigé trois encyclopédies. Ses livres, qui rencontrent un vif succès[3], sont traduits en plus de vingt langues[4]. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Carrière[modifier | modifier le code] En 1986, il entre aux Éditions Fayard comme Directeur littéraire [8], poste dont il démissionnera en 1991 pour se consacrer à l'écriture et à la recherche. Il est aussi essayiste, romancier, scénariste de bandes dessinées et auteur de théâtre.

Bonté divine ! Théosophie | accueil. Annie Besant. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Annie Besant Annie Besant en 1897 Issue d'une famille anglo-irlandaise et orpheline de père à cinq ans, elle fut éduquée de façon privée par une dame charitable. Elle fit de nombreuses lectures philosophiques qui développèrent ses questionnements métaphysiques et spirituels. Excellente oratrice, Annie Besant commença une carrière politique en faisant des tournées de conférences sur le féminisme, la libre-pensée et le sécularisme.

Elle profita de la modification des statuts du University College de Londres pour y entamer des études scientifiques brillantes. En 1889, William Thomas Stead, rédacteur en chef de la Pall Mall Gazette, lui demanda d'écrire un compte-rendu de l'ouvrage d'Helena Blavatsky, la Doctrine Secrète, qui lui fit découvrir la théosophie. En Inde, elle s'engagea pour l'auto-détermination, puis l'indépendance du pays, par des articles, des discours et des activités éducatrices. Famille et jeunesse[modifier | modifier le code] Théosophie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emblème de la société théosophique. Les cinq symboles visibles dans le sceau sont l'Étoile de David, l'Ânkh, la Sauvastika, l'Ouroboros et, au-dessus du sceau, le signe Aum. Autour du sceau sont écrits les mots : « Il n'y a pas de religion supérieure à la Vérité ».

Le terme théosophie fait référence à un système philosophique ésotérique à travers lequel l'être humain tente de connaître « le Divin » et les mystères de la Vérité. La « théosophie antique » est à distinguer de la « théosophie moderne » ou « théosophisme »[1] se référant à la Société théosophique. Théosophie antique[modifier | modifier le code] La théosophie (theosophia — en grec : theos, divin et sophia, sagesse) a été fondée par des auteurs de l'Antiquité. Pour Porphyre, le theosophos est « un être idéal unissant en lui-même la qualité d'un philosophe, d'un artiste et d'un prêtre du plus haut niveau »[2].

Théosophie moderne / Théosophisme[modifier | modifier le code] Avidyā. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme sanskrit Avidyā (devanāgarī : अविद्या ; pāli,: avijjā ou moha; chinois: wúmíng 无明; tibétain: ma rig pa; japonais: mumyō), signifie ignorance, ou aveuglement. Dans le bouddhisme, avidyā est la première étape de la chaîne des causes (pratītyasamutpāda) de la souffrance[1] (dukkha) et est considérée comme un des Trois Poisons. Dans l'hindouisme, c'est d'abord l'ignorance de sa véritable nature recouverte par les obscurcissements successifs de la conscience pure (le Soi) produits par le désir et l'attachement. Avidyā selon l'hindouisme[modifier | modifier le code] Advaita Vedānta[modifier | modifier le code] Dans l'Advaita Vedānta, avidyā est l'ignorance de la vraie nature des choses.

Elle a deux effets : elle cache d'abord la réalité (avarana-śakti, pouvoir d'obnubilation) et elle fait apparaître autre chose à la place (viksepa-śakti, pouvoir de projection). Sāṃkhya Yoga[modifier | modifier le code] Theravāda[modifier | modifier le code] Maître Eckhart. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Eckhart. Eckhart Philosophe allemand Moyen Âge tardif Eckhart von Hochheim, dit Maître Eckhart, (c. 1260 - c. 1328) est un spirituel, théologien et philosophe dominicain, le premier des mystiques rhénans.

Chronologie biographique[modifier | modifier le code] 1260 environ - naissance à Hochheim.Études d'arts à Paris (hypothétique).1280 - Études de théologie à Cologne.1293-1294 - Il commente les Sentences de Pierre Lombard à Paris.À partir de 1294 - prieur d'Erfurt et vicaire de Thuringe. Enseignements[modifier | modifier le code] Le prieuré d'Erfurt Axe central[modifier | modifier le code] L'enseignement spirituel de Maître Eckhart est formulé à partir d'une invitation à la déshabitation du corps considéré comme moyen (et non terme) nécessaire de l'union à Dieu, et à la réception de Dieu dans le cœur du disciple.

Précisions[modifier | modifier le code] Ce détachement est exprimé sous deux registres. Accueil noble chemin. Saṃsāra. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Peinture tibétaine traditionnelle ou tanka montrant la roue de vie et les rayons de la saṃsāra Le saṃsāra (संसार terme sanskrit signifiant « ensemble de ce qui circule », d'où « transmigration » ; en tibétain khor ba, ou Khorwa འཁོར་བ། ) signifie « transition » mais aussi « transmigration », « courant des renaissances successives »[1]. Dans le bouddhisme, il s'agit du cycle des existences conditionnées, c'est-à-dire les états de l'existence sous l'emprise de la souffrance, de l'attachement et de l'ignorance.

Ces états sont conditionnés par le karma. D'une manière moins juste mais plus simple, le saṃsāra est donc le cycle des vies, de renaissance en renaissance. Le saṃsāra dans l'hindouisme[modifier | modifier le code] Dans l'hindouisme, saṃsāra signifie : Voir Loka.