background preloader

Interventions dans l'espace public

Facebook Twitter

Porteurs de paroles
débats en jardin public
aménagements festifs de contestation dissidente
réappropriation créative des espaces publicitaires
criées publiques
arbre à palabres
végétaliser l'espace public
Street art / Land art
verdissement de la ville (bombes de graines)
flash mob citoyen
théâtre
...

Le street art.

Porteur de parole

Popote publique. Criée publique. Periferia 2011 geste espacespublics reflexion. The compliment project. 20 oeuvres street art : denonciation, engagement, messages politiques - Slave 2.0. Le mouvement street art est bien souvent plus que de l'art : c'est de l'art engagé au service d'une ou plusieurs causes qui rongent l'humanité. Politique, société, urbanisation, écologie, guerre, racisme, cause animale : les sujets sont variés.

Je vous propose aujourd'hui une sélection exceptionnelle des oeuvres d'arts les plus engagées qu'il m’ait été donné de voir. Cette première oeuvre est une des plus célèbres au sujet de la religion ! Le message du street artiste Combo est clair : Les religions doivent trouver un terrain d'entente dans leurs textes pour coexister. J'ai réalisé une commande que le client n'a pas souhaité que je diffuse sur mon site. Cette oeuvre est une merveille, on y voit un enfant pleuré car personne ne l'a notifié sur les réseaux sociaux. Découvrez une solution abordable et personnalisée pour donner vie à vos idées créatives avec nos pochoirs personnalisés découpés au laser. La déforestation et l'urbanisation massive sont ici dénoncés. J'aime beaucoup celle-ci. Le Street Art et sa portée politique.

Le Street Art, un mouvement contestataire Le Street Art revendique une liberté d’expression. Certaines œuvres, bien qu’empreintes d’humour revendiquent un mécontentement face à des choix politiques et des situations sociales. Shepard Fairey (alias Obey), qui a récemment peint une fresque géante rue Jeanne d’Arc dans le 13ème arrondissement de Paris et qui est devenu mondialement célèbre grâce à la création du poster HOPE de Barack Obama est connu pour son engagement contre la manipulation médiatique et l’omniprésence publicitaire.

Fresque de Rero Poster d'Obama Rero lui, milite pour la démocratie dans le monde. affiche de Rero, Paris. Et JR, artiste engagé tente, lui, dans son projet Face2Face de favoriser le dialogue et par delà, la paix entre Israéliens et Palestiniens en affichant leurs portraits de part et d’autre du mur de séparation pour montrer leur ressemblance. Oeuvre de JR L’art est donc parfois une arme utilisée par les artistes pour faire passer un message politique ou social. ACTIVISME DANS L’ESPACE PUBLIC – Formes d'interventions dans l'espace public I. Quelle place pour la critique ? Adorno affirmait que la liberté était l’essence, le concept de l’art. Or, si la « réussite » d’un artiste ou d’une œuvre se trouve dans la reconnaissance institutionnelle et/ou marchande, on peut se demander dans quelle mesure on peut parler de création « libre » ?

Si les événements de Mai 1968 semblait annoncer la révocation de nos acquis les plus vils, ce ne fût qu’un écho de la révolution de 1789. Ils ont, sans pouvoir l’anticiper, eu pour conséquence le remplacement d’une élite par une autre, abattant le vieux modèle paternaliste au profit de la finance internationale immatérielle. Dans leur ouvrage, Le Nouvel Esprit du Capitalisme, Eve Chapiello et Luc Boltanski ont montré comment le langage capitaliste s’était imposé dans la société.

Mené par le progrès, l’innovation constante,et recherchant à tout prix le « lien-social », ou plus exactement, le maintien de l’ordre, il est plus facile de permettre la diffusion que la création. Vincent Perrottet. Le street art comme micro-politique de l’espace public : entre « artivisme » et coopératisme. Texte intégral Image 1 Proposition anonyme. Crédit : Thomas Riffaud1. 1 « Tellement subversif... ». Les images sont parfois plus claires que les mots.

Cette proposition an (...) 2 Lemoine, S., Ouardi, S. (2010). 1Tracer les contours et les détours du street art est d’une incroyable complexité notamment parce qu’un réel « artivisme » (Lemoine, Ouardi2 2010), compris comme un art militant, engagé et engageant, y côtoie une forme de coopératisme, mettant en avant la coopération des artistes avec les pouvoirs en place. 4 Genin, C. (2015). 2Le street art n’est pas qu’un art rebelle ou révolté. 6 Duvignaud, J. (1986). 3Nombreux sont les street-artistes qui considèrent leurs actions comme un palliatif à une ville malade, dans laquelle l’uniformisation a provoqué une « sociose » généralisée, se manifestant par une obsession sécuritaire et une réduction des rapports entre les hommes (Duvignaud6 1986). La ville c’est un lieu où l’on habite ensemble, en communautés (...) 9 Baudrillard, J. (1976). L’art d’intervenir dans l’espace public. « Sur Le wagon du métro new-yorkais, un graffitiste qui signe Freedom avait reproduit le geste de la création de l’homme imaginé par Michel-Ange pour la chapelle Sixtine.

Il inscrivit sous les deux mains tendues l’une vers l’autre cette interrogation : "What Is Art ? Why Is Art ?” »1 Il est reproché couramment au graffiti de détourner les supports muraux, de déranger de manière peu esthétique l’espace public. Mars 2005, dans le métro parisien le regard est arrêté par un graffiti au feutre sur une affiche publicitaire murale : « Publicité, espace public, profit privé, libérez nos murs ! Merci à ces inconnus de nous aider dans notre réflexion. D’une autre manière le graffiti hip-hop (tag, graff) permet à une question de devenir publique. Une nouvelle grammaire visuelle, ne s’appuie pas nécessairement sur un message direct et explicite, mais sur une relation à l’espace urbain en instaurant le principe même de la mobilité comme « relation publique généralisée. »3 Les lieux « alternatifs » :

Valérie Pécresse: Transformons les panneaux publicitaires en œuvres d'art. Imaginez une ville où les affiches publicitaires seraient remplacées par des œuvres d’art. Imaginez que ce soit légal et que chaque année, à l’image de la fête de la musique, les villes se transforment en galeries éphémères. Imaginez que le temps d'un instant, nous encouragions les artistes urbains à produire en pleine rue au lieu de les poursuivre en justice… « La rue est le cordon ombilical entre le citoyen et la société » Victor Hugo La publicité est omniprésente, au risque parfois de saturer notre espace visuel en toute légalité.

Ne laissons pas la rue au seul pouvoir économique et tentons, avec l'art urbain, de nous réapproprier cet espace commun. C'est possible ! Juin 2016 à Montpellier s’est tenue la première édition d’ART STATION. (vidéo : L'art urbain dans le métro à Paris ! Mobilisons-nous pour nous réapproprier notre espace urbain, et avant d'élargir ce mouvement à la France tout entière, commençons par Paris. Le métro parisien c’est : Tout va pour le mieux dans le métro Parisien - action TZM 2011. Apologie de la poésie urbaine - MXXI. « L’art sauvera le monde », peut-on lire sur le bitume d’un trottoir de Paris.

Un peu plus loin dans la même rue, un passant me jette un regard étonné alors que je braque mon appareil photo vers le sol pour emporter avec moi la phrase « Aujourd’hui il faut être absolument moderne », écrite en blanc, au pochoir, sur le bitume sombre. Je continue mon chemin, jusqu’à ce que mon regard s’arrête sur une petite phrase écrite sur un mur dont la peinture part en morceaux, juste sous une plaque rouillée mentionnant « Défense d’afficher ». À cela, un(e) inconnu(e) a ironiquement répliqué : « Je n’affiche pas, j’écris ». Les rues recèlent de petites merveilles artistiques et poétiques qui passent la plupart du temps inaperçues si l’on ne prend pas la peine de s’y intéresser. Il s’agit souvent de petites piques subversives contre des règles urbaines, des traits d’humour ironiques qui, avec un peu d’imagination, renvoient à bien plus que ce que l’on perçoit au premier regard.

Voir Aussi Suzy PIAT. Débattons Dans Les Rues de Toulouse | Festival d'éducation populaire désobéissant et festif. Débattons dans les rues » Débattons, c’est quoi? Diva style=position: absolute; top:-8842px; href= style=text-align: justify;span style=color: #000000;Un festival d’éducation populaire et politique, d’émancipation citoyenne, de rencontre festipolitique joyeuse, de réappropriation de l’espace public, d’expression, d’échange, de dialogue, de rencontres interculturelles, de manifestif résistant, de dissidence aventureuse, de contestation proposante. /span/p p style=text-align: justify;span style=color: #000000;strongDébattons dans les rues utilise l’espace public comme terrain d’action. h2 style=text-align: justify; padding-left: 30px;span style=color: #000000;Une réappropriation de l’Espace Public. h2 style=padding-left: 30px;span style=color: #000000;Oui d’accord, mais dans quel but on fait ça ?

Span style=color: #000000;Est un espace où la contradiction est possible. Animer l’espace public ? Entre programmation urbaine et activation citoyenne. Dossier thématique dirigé par Pascale Pichon, professeure de sociologie, Université de Lyon, Université Jean Monnet, Saint-Etienne, Centre Max Weber UMR 5283, et Jean-Paul Thibaud, directeur de recherche CNRS, sociologue, CRESSON, Ambiances, Architectures, Urbanités UMR 1563. 1 Ce numéro prolonge un colloque international qui s’est déroulé pendant la Biennale internationale d (...)

La thématique de ce numéro porte sur les modes d’animation de l’espace contemporain, qu’ils soient intentionnels ou non, à l’origine d’habitants, d’élus ou de citoyens, d’artistes ou de professionnels de l’urbain1. Les contributeurs sont invités à discuter les différentes significations de ces pratiques d’« animation », selon les points de vue considérés, à rendre compte des processus situés, depuis les intentions des acteurs jusqu’aux conséquences de l’action. L’animation de l’espace public désigne ainsi une pluralité d’acteurs et de compétences et invite au croisement de différents savoirs. Un abécédaire de la ville astucieuse (1/5) — pop-up urbain, cabinet de conseil en prospective urbaine. Le temps passe et passe et passe… et pourtant les choses ne changent pas, ou si peu.

En termes de prospective urbaine, la vision caricaturale d’une ville *intelligente* et *sécurisante* et *créative* et *potagère* et surtout *très sympa*, continue son bonhomme de chemin au sein des institutions décideuses, collectivités ou opérateurs. Difficile en effet de quitter une vision si facilement vendeuse auprès du grand public, quand bien même elle ne serait qu’un simulacre d’urbanités… Prenons le New Cities Summit 2012, qui ouvre aujourd’hui ses portes au CNIT de Paris (le pauvre, au mauvais endroit, au mauvais moment). On y trouve évidemment de bonnes choses, et tout n’est pas à jeter dans ce programme de trois jours. Sans vouloir faire les rabat-joies (en fait, si), quand on confie l’ouverture du colloque à un Patrick Devedjian, on en dit long sur son positionnement… Voyez par vous-mêmes : WOKAY, mais après ?

A comme Agile Evidemment, la ville astucieuse sera nécessairement agile. D comme DIY. Yarn bombing. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le yarn bombing ou tricot-graffiti ou encore tricot urbain ou tricotag (appelé aussi knit graffiti, knitted graffiti ou yarnstorm en anglais) est une forme d'art urbain ou de graffiti qui utilise le tricot, le crochet, ou d'autres techniques (enroulements, tissages, tapisserie, accrochages....) utilisant du fil[1]. Principe[modifier | modifier le code] Le yarn bombing investit la rue en utilisant et en recouvrant le mobilier urbain d'ouvrages à base de fil : bancs, escaliers, ponts, mais aussi des éléments de paysage naturel comme les troncs d'arbre, ainsi que les sculptures dans les places ou les jardins. L'un des objectifs est d'habiller les lieux publics en les rendant moins impersonnels, en les humanisant et en suscitant la réaction des passants. Dans certains pays, notamment les États-Unis, le yarn bombing reste une pratique illégale lorsqu'il ne s'agit pas d'une commande des pouvoirs publics.

Histoire[modifier | modifier le code] Art urbain. Le théâtre dans l’espace social (reconfigurations et efficacité symbolique) – Alternatives théâtrales. Ce 19 avril au « Complexe Opéra » de l’Université de Liège avait lieu la première journée du CERTES, le Centre d’Etudes et de Recherches sur le Théâtre dans l’Espace Social. Quatorze intervenants sont venus apporter un certain éclairage sur la vaste question du positionnement du théâtre dans l’espace social.

En ouverture de cette journée, Nancy Delhalle, co-fondatrice du CERTES, proposait de considérer le théâtre comme une pratique sociale. D’abord, ce regard évite de devoir discuter de quelles créations constituent (ou non) des « œuvres de théâtre ». Ensuite il apporte un avantage méthodologique car si le théâtre est un événement social (la coprésence en un lieu d’acteurs et de public), on peut alors observer où, dans quel cadre, avec qui et avec quel dispositif il a lieu. Ce 19 Avril, quatorze intervenants sont venus apporter un éclairage sur cette vaste question du positionnement du théâtre dans l’espace social. Effectivement, face à ces perspectives quid de la place des artistes ?