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CALEB GATTEGNO

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Proposition de gestes pour la prononciation des sons voyelles du Silent Way Français. L'approche Silent Way - Le français en couleurs. Pédagogie Silent Way Gattegno. Pédagogie axée sur le dialogue et l'expression pour dédramatiser la prise de parole.

Pédagogie Silent Way Gattegno

Qu'est-ce que le Silent Way? Le Silent Way est une méthode pédagogique qui met l'apprenant au centre du processus d'apprentissage des langues. Élaborée par Caleb Gattegno, elle est basée sur le silence de l'enseignant (d'où Silent Way) et sur l'autonomisation des apprenants. Avantages du Silent Way L'apprenant ne se contente pas de recevoir des connaissances de la part de l'enseignant. Phase d'apprentissage classique du Silent Way L'élève fait une expérience avec la langue. Vous souhaitez en savoir plus ? Pour en savoir plus sur la méthode du Silent Way, nous vous conseillons de consulter les liens suivants :

Pédagogie Gattegno : Apprentissage quotidien langue. Caleb Gattegno. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Caleb Gattegno

Pour les articles homonymes, voir Gattegno. Caleb Gattegno (1911-1988) Approche pédagogique[modifier | modifier le code] L’approche pédagogique de Caleb Gattegno se caractérise par des propositions fondées sur l’observation de l’apprentissage humain dans des situations variées et nombreuses. Voici la description de trois de ces propositions. Apprentissage et effort[modifier | modifier le code] Gattegno a observé qu’il y a un « budget énergétique » de l’apprentissage. Certaines façons d’apprendre sont très coûteuses en termes d’énergie, c’est-à-dire en ogdens, alors que d’autres sont pratiquement gratuites sur ce plan.

Cette façon d’apprendre n’est pas seulement chère, elle tend aussi à se révéler fragile et la difficulté à se rappeler ce genre de données est typique. Il existe toutefois une autre manière de fonctionner que Gattegno a appelé « rétention ».Les images sensorielles que nous recevons offrent un bon exemple de ce qu’est la rétention. ADPI. Créée par Caleb Gattegno dans les années 50, cette démarche pédagogique est basée sur la reconnaissance des capacités d'apprentissage que chaque individu possède.

ADPI

Cette pédagogie favorise la créativité, la participation et la production de la personne. Par des mises en situations concrètes d'apprentissage, l'apprenant redécouvre ce qu'il sait et définit lui-même ses besoins. Il réactive, par ce travail, ses capacités d'apprentissage et prend conscience de ses possibilités. Chaque personne peut ainsi établir les liens nécessaires à toute acquisition pour intégrer un savoir durable et utilisable à tout moment. Dans le contexte social de ces dernières années, avec l'augmentation de la précarité pour les publics de bas niveaux de qualification, notre activité répond à un besoin prégnant de notre société et s'inscrit dans les plans de lutte contre les exclusions et contre le chômage mise en place par les pouvoirs publics.

Dans ces conditions, le rôle du formateur : lire la suite. Maurice Laurent. « Ce que je sais et sais faire, je l’ai surtout appris en classe, au contact de mes élèves.

Maurice Laurent

J’ai aussi eu la chance de rencontrer au bon moment un pédagogue hors pair : Caleb Gattegno. » Maurice Laurent. Né en 1940, d’abord instituteur puis maître de classe de transition en France, Maurice Laurent rejoint en 1970 l’Ecole Internationale de Genève. Il y enseigne jusqu’en 2000 le français et les mathématiques, dans les premières classes du secondaire Maurice Laurent a rencontré Gattegno en 1969, lors d’un séminaire que ce dernier dirigeait en France, à Chambéry. Touché par la rigueur scientifique de ses travaux et motivé par ses propositions de réflexion et de recherche, il participe dès lors à de nombreuses rencontres que dirige Gattegno, en Suisse, en France, aux États-Unis et en Grande Bretagne.

Depuis trente ans environ, M. Ses didacticiels, créés avec Christiane Laurent : Ses livres : Analyse de l’activité d’orthographier. Maurice Laurent Avant de proposer des activités censées éduquer à l’orthographe, il convient de poser deux questions liminaires : Quelles sont les facultés mentales que quiconque possède et met à contribution lorsqu’il orthographie ?

Analyse de l’activité d’orthographier

Quelles sont les disciplines mentales acquises auxquelles il se plie ? Puisque chacun de nous écrit, chacun pourrait, sur la base d’une étude empirique mais rigoureuse de lui-même orthographiant, proposer une description des diverses composantes de l’activité, qui, ensemble, en constituent la complexité. La suivante, sous-tendue par celle qu’en a donné Caleb Gattegno(1) peut être reconnue pertinente par tout lecteur voulant bien se rendre à l’évidence. La perception C’est par la perception visuelle – la vue chez les voyants – que l’on aborde un mot écrit et que ce mot prend et conserve en nous une certaine réalité au plan des images mentales d’origine visuelle. L’évocation.