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La course aux rats

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LA CONCURRENCE ET LE DÉVELOPPEMENT — Chapitre premier. L’enjeu: José Antonio Ocampo : l'inclusion sociale et économique est essentielle à la paix en Colombie Le développement rural est essentiel à la paix en Colombie, compte tenu du fait que le conflit qui perdure est principalement à caractère rural, a déclaré l'éminent économiste du développement, José Antonio Ocampo, lors d'une allocution qui a attiré...

La nanotechnologie prolonge la durée de conservation des fruits frais Une équipe de recherche internationale met au point des applications fondées sur la nanotechnologie d'hexanal, un extrait végétal naturel qui permet de prolonger la durée de conservation des fruits récoltés. Bananes, mangues et papayes : ces... Lutte contre la violence, l’inégalité et la criminalité à Mbujimayi, en République démocratique du Congo Comme bon nombre de villes de la République démocratique du Congo, Mbujimayi connaît une croissance de l’inégalité, de la violence et de la criminalité. Le dilemme urbain : comment rendre les villes plus sûres Bulletin du CRDI — août 2015.

Course aux armements. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une course aux armements a lieu lorsque plusieurs États rivalisent entre eux pour créer les forces armées les plus puissantes et les armements les plus performants. Par extension, le terme de « course aux armements » désigne toute circonstance où deux groupes (deux espèces vivantes, deux systèmes, etc.) opposés se dotent successivement de mesures et de contre-mesures, l'un ripostant à l'autre.

La course à l'armement présente la caractéristique d'un système concurrentiel fort, où les différents agents (pouvant être des ethnies, des groupes d'individus ou des nations) cherchent à acquérir des systèmes défensifs ou offensifs. Arme nucléaire[modifier | modifier le code] Durant la Guerre froide, la course aux armements fut une caractéristique récurrente des tensions entre États-Unis et URSS, chacun cherchant à posséder la supériorité technologique sur son rival.

Les dépenses militaires entre 1905 et 1913[modifier | modifier le code] (de) Richard J. Effet de mode. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’effet de mode (en anglais, bandwagon effect) est l'augmentation de la consommation d'un bien due à sa simple popularité. Cet effet a été expliqué par l'économiste Leibenstein en 1950[1]. Explications par la pression sociale[modifier | modifier le code] La pression sociale existe et nous incite à un comportement conforme. Un comportement dans une situation ambiguë nous semble correct si d'autres l'appliquent. L'effet est suffisamment puissant pour expliquer la persistance de la foi dans un culte apocalyptique après que la fin du monde annoncée n'est pas venue. Si un grand nombre de personnes pratiquent un comportement donné, il pourra être beaucoup plus facilement accepté. Dans le cas d'un groupe humain dans une situation incertaine, tout comportement ayant l'air accepté sera adopté.

L'identification à une autre personne, car "elle est comme nous" renforce notablement l'effet de mode. Source[modifier | modifier le code] L’effet rebond des sondages - COMMUNISTES UNITAIRES. Jeudi 1 mars 4 01 /03 /Mars 07:15 outil médiatico-politique, le sondage d’opinion constitue un levier d’influence aussi puissant qu’aléatoire au cœur de la campagne présidentielle. De mémoire de sondeur, d’observateur ou de commentateur politique, on n’avait jamais vu çà : un candidat systématiquement donné en troisième ou quatrième position au premier tour d’une élection présidentielle, à dix point minimum du second, a été testé sur un sondage du deuxième tour, et ce sondage a été publié ! Ainsi apprenait-on, à deux heures du début de l’émission de Ségolène Royal sur TF1, qu’un sondage IFOP donnait Bayrou largement victorieux au deuxième tour dans tous les cas de figure – face à la candidate socialiste comme face à Sarkozy.

Et il ne s’est trouvé personne ou presque pour remarquer combien, plus encore que toute autre sondage d’intention de vote, il s’agissait d’un artefact. Sylvain Bourneau – Les Inrockuptibles 27 février 2007 Partager l'article ! InShare. Génération Y : Le point de vue du rat de laboratoire, par Mathil. Après avoir eu son bac à 17 ans Mathilde est partie vivre un an en Norvège où elle a obtenu l’équivalent du bac Norvégien (ce qui ne lui sert pas à grand chose, précise-t-elle). Après un BTS Commerce International et une tentative de création d’entreprise dans l’importation, Mathilde reprend les études. Elle obtient une licence Junior Manager d’Entreprise et d’un un diplôme de Responsable de Centre de Profit de l’lFAG en 2008.

Aujourd’hui son poste en alternance au Parc des Expositions de Segré s’est transformé en CDI. Elle aime ce qu’elle fait dans son équipe de 3 personnes alors qu’on attendait d’elle qu’elle travaille plutôt dans une grande entreprise. Il y a quelques jours, j’ai reçu un mail de l’école de commerce de laquelle je suis diplômée m’invitant à une conférence sur la « génération Y ». Cet email contenait l’intitulé suivant : Non seulement j’étais une Y, mais en plus on me qualifiait d’irrespectueuse, d’instable et d’inadaptée ! Clichés! C’est aussi ce que j’ai pensé. Génération Y – y es-tu ?