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This is a simple visualization behind the formula to calculate the surface of a sphere. 90. Fournisseurs d’accès à Internet indépendants : La fibre libertaire contre Big Brother. Contre la marchandisation et la surveillance mises en œuvre par les fournisseurs d’accès à Internet, des structures indépendantes et autogérées se sont mises en place. Une autre histoire que celle du mouvement ouvrier libertaire, mais plein de convergences à développer. Internet, c’est magique : du clic de ma souris à l’arrivée de mon mail à l’autre bout du continent, il y a une seconde. Et entre les deux il y a pourtant aussi tout un monde pour gérer les tuyaux et la façon dont l’information circule dedans, à commencer par le fournisseur d’accès à Internet (FAI), lequel occupe une position stratégique, puisque c’est lui qui achemine le flux jusqu’à notre domicile.

Pas de clientes et de clients, que des associé-e-s Et fondamentalement, c’est ça le principe des FAI indépendants membres de la Fédération French Data Network (FFDN). Multitude de FAI locaux La lutte passe aussi par des dispositifs techniques. Marco (AL 92) Site : www.ffdn.org/fr. La carte du patrimoine musical et immatériel mondial. Musique Vendredi 27 mai 2016 par Sophie Marchand Courrier International s'est posé une question bien sérieuse mais passionnante : "Que représente la musique dans le patrimoine immatériel de l’humanité recensé par l’Unesco ?

" -et, en conséquence, quel pays comptabilise le plus d'éléments musicaux recensés par cette même organisation. Pour y répondre, voici une infographie construite par Martin Grandjean (chercheur en histoire à l’université de Lausanne et porte-parole d’Humanistica), et sa femme Céline Grandjean (musicologue), grâce aux données collectées par l'UNESCO qui répertorie notamment le patrimoine immatériel de l'humanité.

Partant du constat que l'Europe et l'Amérique du Nord étaient sur-représentés dans les monuments ou oeuvres matérielles classées au patrimoine de l'humanité, le chercheur a voulu rééquilibrer la balance en s'intéressant à l'Intangible. Pour voir cette carte en plus grand, rendez-vous ici ! Mots d'ordre de luttes de soutien aux sans-papiers et point de vue révolutionnaire. Qu'est-ce que l'économie ? Qu’est-ce que l’économie ? Qu'est-ce que l'économie ? L'imaginaire de la commune. On attribue d’ordinaire à la Commune de Paris une durée de 72 jours – du 18 mars 1871, lorsque des Parisiennes et Parisiens de Montmartre empêchèrent la réquisition des canons de la ville par les troupes d’Adolphe Thiers, à la sinistre « Semaine sanglante » au cours de laquelle ces mêmes troupes assouvirent la soif de vengeance de la bourgeoisie française en massacrant les insurgé·e·s.

Cette réduction temporelle est cohérente avec le récit qui fait de la Commune une réaction nationaliste contre les Prussiens et leurs « collabos » versaillais. Cette histoire à tendance républicaine (la Commune serait la mère de la IIIe République, alors qu’en réalité, cette dernière naquit de son écrasement [1] [1] Kristin Ross reproduit par exemple (p. 45) les propos... ) escamote commodément une réalité pourtant bien comprise, à l’époque, jusque par les anticommunards. . [3] « Déclaration au peuple français », 19 avril 1871,... À peu près au même moment, William Morris marchait en Islande. Franz Himmelbauer. Qu'est-ce que l'économie ? Qu'est-ce que l'économie ? Pluralisme : de quoi parle-t-on. Clarifier les notions pour poser les problèmes et proposer des solutions : le texte qui suit est le premier d’une série. Il est mis en discussion au sein même de notre association.

Sous cette forme, il n’engage donc que son auteur (Acrimed). Pluralisme : de quoi parle-t-on ? (1) La notion de pluralisme désigne prioritairement le pluralisme politique, entendu comme un principe d’organisation de la société et de l’État : le principe qui reconnaît et garantit l’expression et la représentation de la diversité des opinions politiques, et en particulier de leur représentation institutionnelle et partisane (c’est-à-dire le multipartisme). Ainsi entendu, le principe du pluralisme doit ou devrait trouver sa traduction dans l’espace médiatique. . (3) Le pluralisme dans les médias ne se limite pas (ou ne devrait pas se limiter) à l’expression et la représentation de la diversité des seules opinions politiques. Qu’en est-il l’expression de la pluralité des opinions ? Henri Maler. Michel Maffesoli, « expert » sociologique de pacotille. Sociologue professionnel ou, plutôt, détenant les titres et les positions académiques permettant de se présenter comme tel, Michel Maffesoli est un habitué des plateaux de télévision, des studios radiophoniques, ainsi que des colonnes de la presse écrite où il est régulièrement invité à s’exprimer en tant qu’expert des « évolutions sociétales » et de la « postmodernité ».

Déjà fortement contesté au sein de la profession, un canular monté par deux de ses collègues sociologues et rendu public le 7 mars dernier, attestait une nouvelle fois du peu de consistance et de rigueur, c’est un euphémisme, de ses analyses sociologiques. Disqualifié scientifiquement, Michel Maffesoli, devrait en toute logique l’être aussi médiatiquement. Pourtant, vu le fonctionnement ordinaire du petit monde de l’expertise médiatique, tout porte à croire qu’il n’en sera rien… Un piètre scientifique Discrédité scientifiquement, l’expert Maffesoli ne brille pas non plus par son indépendance. Une star médiatique.

« Pigistes de tous les pays, unissez-vous ! Note de l’auteure (avril 2015) : Ce texte écrit en 2010, avec un sentiment d’impuissance et de colère, listait toutes les dérives dont nous sommes les victimes frontales. Si je l’ai ressorti aujourd’hui, c’est que tous les beaux discours de l’après Charlie sur la presse et sa liberté sont retombés comme un soufflé. Plus que jamais la même indifférence à nos conditions de travail, toujours plus de bâtons dans les roues, et cette impression de devoir mendier en permanence : pour monter un sujet et pour se le faire payer (tout court ou le moins mal possible, mais jamais en rapport avec l’énergie et le stress dépensé). Certains d’entre nous se battent depuis des années pour pouvoir faire leur job correctement avec des bouts de ficelle et bientôt on aura même plus des bouts de ficelle.

À ce petit jeu, beaucoup ont abandonné ou ont perdu leur carte de presse. Pigistes de tous les pays, unissez-vous ! Travailler plus pour gagner moins. Pigiste sous-payé serait-il devenu un pléonasme ? Elle : petite grammaire d’un contrôle social. Un contrôle social lucratif Pour qu’il y ait contrôle social, il faut des normes et des valeurs, ainsi que des sanctions punissant les déviances. L’objectif est clair : préserver la cohésion d’un groupe.

Le groupe en question pourra être une société tout entière, auquel cas il sera question de l’État et de ses institutions – police, justice… –, mais ce pourra également être une communauté informelle, comme celle dessinée par les publications à destination des femmes. Se posant en parangons du bon goût (ce qui est bien, ce qui ne l’est pas, ce qui est à plébisciter et ce dont chacune doit s’inquiéter…), les magazines féminins dictent leurs propres normes sociales, en s’appuyant sur les plus réactionnaires de celles qui sous-tendent notre société. Suis-je assez féminine ? Assez mince ? Sexuellement correcte ? Car ici se fait jour un dévoiement du concept de contrôle social : l’enjeu réel n’est absolument pas de préserver la cohésion d’un groupe. La grammaire d’Elle « On » nous manipule. En direct de n’importe quoi : Philippe Val et le journalisme.

Passé maître dans l’art de mélanger le n’importe quoi avec le pas grand-chose, Philippe Val, en effet, a mitonné un long chapitre qui confirme les talents culinaires dont il fait preuve dans l’ensemble de son opus de philosophie politique : « Le journalisme malade du sociologisme » (p. 214-277). Découvertes en toc Notre cuistot commence d’abord par touiller dans son brouet une découverte scientifique : les « deux gènes » du journalisme (p. 214-216). L’un informe, l’autre « emploie le dénigrement, l’insulte […], la rumeur, l’à-peu-près, la suspicion, le discrédit ». Philippe Val préfère le premier, mais pratique le second, comme toute son œuvre à Charlie hebdo permet de le vérifier [1], et comme la bêtise sans malaise de son livre l’atteste une fois encore.

Vient ensuite une deuxième découverte scientifique : les « deux familles » du journalisme (p. 216-218) . « Sociologisme » en vrac « Sociologisme » encore. Haro sur les sociétés de journalistes, les syndicats et les rédactions ! Résumons. Lire : Les briseurs de tabous, de Sébastien Fontenelle. Paru en 2012 [1], l’essai de Sébastien Fontenelle mérite toujours autant d’être lu puisque la rhétorique qu’il déconstruit et les phénomènes médiatiques qu’il critique n’ont pas franchement changé, bien au contraire, comme semble en témoigner, par exemple, l’actuel « phénomène Onfray » [2]… En un prologue et dix-huit courts chapitres, l’auteur [3] propose une critique vive et bien documentée du fond de commerce de certains éditocrates et de leurs amis « intellectuels ».

L’ouvrage explore le paradoxe selon lequel des journalistes, éditeurs, intellectuels qui peuvent s’exprimer continuellement et abondamment dans les plus grands médias, en viennent à déplorer qu’ils ne peuvent « plus rien dire ». La « bien-pensance » (quand ce n’est pas la « police de la pensée ») interdirait en effet l’expression et la diffusion des propos « subversifs », qui ne se conformeraient pas au « politiquement correct ».

Les briseurs de tabous ne sont « ni de droite ni de gauche » Vincent Bollenot. « Avec nous, ou avec les terroristes » : les éditorialistes-faucons sont de retour. Au-delà de l’évidente condamnation de ces actes ignobles et de l’expression de la solidarité avec les victimes et leurs proches, certaines organisations et certains individus ont tenté de faire entendre une voix discordante, refusant de s’identifier de manière acritique à la politique française, qu’elle soit étrangère ou intérieure. Ces voix discordantes ont-elles raison ? Là n’est pas la question. Il s’agit plutôt de savoir si elles ont le droit de s’exprimer dans l’espace public et, singulièrement, dans l’espace médiatique.

Nous estimons que oui, car rien ne saurait justifier l’interruption du débat démocratique, a fortiori dans un moment où une population sous le choc a envie, et besoin, de réfléchir et de comprendre. Or de toute évidence, certains considèrent qu’il est urgent de faire taire ces voix dissonantes. . « Crétins » Toujours dans Marianne, Jack Dion caricature une nouvelle fois les propos de ce qu’il nomme « la brigade islamo-gauchiste » [5] . « Ils excusent les tueurs » Concentration des médias (2) : convergences et dépendances. Après une période aussi mouvementée dans le grand Monopoly des médias, on se pose volontiers cette question : qui détient les médias privés en France ?

Le Monde répond par une infographie, L’Obs par une autre]. On y compte un petit nombre de groupes se partageant la quasi-totalité des médias « traditionnels » (presse, radio, télé) de diffusion nationale et leurs déclinaisons sur Internet [1]. Pour la plupart d’entre eux, la branche « média » ne représente qu’une part de leurs activités (voir en annexe pour une description succincte des activités de ces multinationales). Cela pose bien sûr la question de l’indépendance de ces médias vis-à-vis des puissances financières qui les possèdent. Mais aussi vis-à-vis de la puissance publique pour ceux ayant des activités dépendant de la commande publique (armement, construction, transport ou télécommunications).

Le Monopoly : un jeu à jouer entre amis Prise en main d’un média : le choc des moyens, le poids de l’encadrement. Lexique pour temps de grèves et de manifestations. La langue automatique du journalisme officiel est une langue de bois officielle. I. Consensus sous surveillance « Réforme » : Quand une réforme proposée est imposée, cela s’appelle « LA réforme ». Et s’opposer à cette réforme devient : le « refus de la réforme ». Ne plus dire : « les travailleurs combattent les politiques libérales qui favorisent chaque jour davantage les revenus du capital et dissolvent l’Etat social » . « Réformistes » : Désigne ou qualifie les personnes ou les syndicats qui soutiennent ouvertement les réformes gouvernementales ou se bornent à proposer de les aménager.

. « Modernisation » : Synonyme de « réforme » ou de l’effet attendu de « LA réforme ». « LA modernisation » est, par principe, aussi excellente que « LA réforme »... puisque, comme l’avait fort bien compris, M. de La Palisse, fondateur du journalisme moderne, la modernisation permet d’être moderne. . « Ouverture » : Se dit des opérations de communication du gouvernement. II. III. IV. Le football : capitaliste dès sa naissance ? Une des théories critique du football le présente comme une transformation capitaliste de la soule, qui était au Moyen-Age un des loisirs les plus en vogue parmi les couches populaires du nord-ouest de l’Europe.

Transformation et non « continuité » car la bourgeoisie trouve un intérêt dans l’encadrement des loisirs du prolétariat, une manière de le domestiquer. Le football n’a peut-être même jamais été un jeu. Partie 1: Au commencement il y eut la soule[1] La soule est une des nombreuses dénominations ou variantes des jeux de balle médiévaux, mais en Angleterre elle est connue sous l’appellation de mob football, qui signifie « football de masse » ou « football du peuple » selon les traductions. Le principe est assez simple. Une fois ces éléments en tête, disons pour faire vite que la soule se caractérise par son absence de règles. Une partie occasionne des dégâts, des dégradations et des éclopés, quand ce ne sont pas des cadavres qui jonchent le sol[2]. Comment la bourgeoisie industrielle a inventé le football. Contrairement à ce qui est parfois avancé par facilité, le passage de la soule au football n’est pas le fait d’une simple évolution historique.

Ce n’est pas une soule à laquelle on aurait juste ajouté des règles. Il s’agit d’une transformation politique en profondeur de ce qui était une pratique ludique et culturelle de la paysannerie. Ce qui pouvait être pratiqué par futilité, ne doit plus l’être pour la bourgeoisie que par utilité. La philosophie du rendement et l’idéologie productiviste étant au fondement de la vision bourgeoise du sport. Comment la bourgeoisie industrielle a inventé le football ? Le développement de l’industrie anglaise au 18e siècle va attirer de nombreux paysans aux abords des villes. Parallèlement à cela, les programmes des public schools et des proprietary schools sont révélateurs de la nouvelle mainmise bourgeoise sur les institutions éducatives, et vont placer le sport comme une discipline scolaire à part entière.

When saturday comes. Top 7 des pires mesures répressives du projet constitutionnel. Le projet de réforme constitutionnelle sur lequel travaillent droite et gauche depuis quelques semaines. Le texte commencera à être débattu début février et comprend un certain nombre de mesures nauséabondes. Quelques une d’entre elles sont une manière de rendre permanent de l’Etat d’urgence qui devrait s’arrêter le 26 février, d’autres sont de nouvelles mesures répressives. Ce qui est bien c’est qu’au moins il est assumé que ces changements ne sont pas pour lutter contre les « djihadistes », mais «contre la criminalité organisée et son financement». C’est assez vague pour être utilisé dans toutes les situations. Pour réprimer une soirée de soutien aux inculpés de Goodyear qui ont été condamnés pour avoir séquestré leurs dirigeants, par exemple. Bref, il est fort possible que ce nouvel arsenal de mesures sera utilisé contre n’importe quel mouvement social qui dérangera le pouvoir en place.

Voici donc le Top 7 des pires mesures répressives qui seront présentes dans le nouveau texte : Loi travail : Top 5 des mesures visant à museler et briser le syndicalisme. Démocratie & mouvement réel : critique des assemblées “démocratiques” Critiques | Tant qu'il y aura de l'argent... - Part 2. Le quart-monde sauvage prend la rue : Sur les émeutes anglaises et d’autres calvaires - Blaumachen. L’émergence du (non-)sujet - Blaumachen. Top 15 des pires mesures de la loi El Khomri. Pas d'Internet "civilisé" pour les Barbares de l'Info ! "François Duprat, une histoire de l'extrême-droite": ce webdoc qui va là où la télé ne va pas. N'oublie pas que tu descends d'une longue lignée de chercheurs de vérité. Histoires de robots et autres machines. Quand Google règnera sur la posthumanité...

Les blogueurs sont fatigués de toute cette gratitude. Même pas mort dans ma deuxième vie numérique ! Bazooka, un Regard Résolument Möderne. "Total Recall", votre vie numérisée pour l'éternité ? Jeunes journalistes: qu'est-ce qu'on attend pour ne plus suivre les règles du jeu ? Digitalisme. Web Film & Video. Marketing. Entretien avec Guillaume Chérel - Marc Alpozzo (Ouvroir de réflexions potentielles) La flexibilité est en marche, des deux côtés.

"Souvenez-vous de qui je suis" : je suis en dépression mais ne m'oubliez pas. L’ego dans son enclos » Heureusement, les chasseurs de Pokémon attrapent aussi les réactionnaires.