background preloader

19eme siècle FRANCE

Facebook Twitter

The Louis-Auguste Blanqui Internet Archive. Commune de Paris (1871) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Commune de Paris (1871)

En juillet 1870, Napoléon III entreprend contre la Prusse une guerre mal préparée, qui le conduit rapidement à la défaite. Le , à la suite d'une journée d'émeute parisienne, l'Empire est renversé. Un gouvernement de défense nationale s'installe à l'hôtel de ville de Paris officiellement pour poursuivre la guerre contre les États allemands, dont les troupes occupent le nord du pays. Selon certaines interprétations, dont celle de l'historien Henri Guillemin, ce gouvernement issu de la classe dominante aurait surtout œuvré à signer la capitulation et à faire accepter la défaite aux Français dans le but d'enrayer la menace du socialisme parisien, qui sans l'aide des Allemands aurait été incontrôlable[1],[2].

Les événements font monter la tension à Paris au sein du peuple où se retrouve « ce qui a produit la sans-culotterie en 1792-1794 : ébénistes, tanneurs, cordonniers, tailleurs, maçons, charpentiers... »[3]. Thiers gagne Versailles. Adolphe Thiers. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Adolphe Thiers

Pour les articles homonymes, voir Thiers. Son ralliement définitif à une « République conservatrice » provoque, en mai 1873, sa mise en minorité face aux monarchistes et entraîne sa démission de la présidence de la République. Les débuts[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] (Voir plus bas le paragraphe Généalogie). Louis Adolphe Thiers est l'un des enfants de Pierre Thiers[2] (1759-1843), par sa seconde épouse Marie-Madeleine Amic (1774-1852). Par son père, aventurier et affairiste quelque peu douteux, qui a pu profiter de l'amitié et de la protection de Lucien Bonaparte, Adolphe Thiers a plusieurs frères et sœurs, dont certains lui causent ultérieurement bien des tracas : Loi du milliard aux émigrés. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Loi du milliard aux émigrés

Loi du millard aux émigrés Lire en ligne Collection complète des lois, etc., p. 154 Les émigrés reçurent des rentes de 3 % (630 millions de francs). Le paiement de ces rentes posa problème car Villèle avait déchaîné les passions et l’opposition se scandalisait des milliards pris sur le Trésor public. Terreur blanche (France) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Terreur blanche (France)

Jean-Lambert Tallien. Dans ce cadre, la presse modérée et royaliste se déchaîne contre les terroristes, de même que les pamphlétaires hébertistes, comme Gracchus Babeuf (du moins, jusque vers mi-, où l'on assiste à un retournement d'alliances, unissant jacobins et babouvistes). Restauration (histoire de France) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Restauration (histoire de France)

Cette période de restauration de la monarchie fut un temps d'expérimentation des débuts du parlementarisme, en préservant quelques acquis de la Révolution française. La période voit donc l'expérience d'une monarchie constitutionnelle, avec une période relative de paix dans un contexte international troublé. La Révolution industrielle provoque des bouleversements économiques et sociaux profonds. La politique ministérielle s'en ressent.

En politique intérieure, c'est un retour monarchique mais sous l'influence d'une vraie vie parlementaire, qui est marquée d'une oscillation entre ultra-royalistes et libéraux. Trois Glorieuses. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Trois Glorieuses

La Révolution de Juillet, révolution française à la faveur de laquelle un nouveau régime, la monarchie de Juillet, succède à la Seconde Restauration, se déroule sur trois journées, les 27, 28 et , dites « Trois Glorieuses ». Après une longue période d’agitation ministérielle puis parlementaire, le roi Charles X tente un coup de force constitutionnel par ses ordonnances de Saint-Cloud du . Louis-Philippe Ier. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Louis-Philippe Ier

Louis-Philippe Ier de France, né le à Paris, sous le nom de « Louis-Philippe d’Orléans » et mort le à Claremont (Royaume-Uni) est l’ultime roi ayant régné en France, avec le titre de « roi des Français ». Dix-huit ans à la tête d’un royaume en profondes mutations sociales, économiques et politiques, Louis-Philippe – par la monarchie de Juillet – a tenté de pacifier une Nation profondément divisée avec les armes de son époque : mise en place d’un régime parlementaire, accession de la bourgeoisie aux affaires manufacturières et financières, permettant un essor économique de première importance en France (révolution industrielle).

Constitution française de 1848. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Constitution française de 1848

Illusion républicaine du printemps 1848[modifier | modifier le code] En février 1848, une minorité de Parisiens, profitant de l'effet de surprise et de l'inertie du gouvernement, renverse le roi Louis-Philippe Ier. Le gouvernement provisoire, issu du milieu politique parisien, hésite sur la nature du nouveau régime, tant que la province ne se sera pas prononcée. Lamartine obtient la proclamation de la République, mais fait rejeter le drapeau rouge comme nouvel emblème national et adopter le drapeau tricolore. Il est clair dès l'origine qu'une partie des républicains ne veulent pas d'une république sociale. Nombreux sont les ralliements à la République. Assemblée nationale constituante (Deuxième République) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Assemblée nationale constituante (Deuxième République)

Vue extérieure de la salle construite en mars 1848. Vue de l'intérieur de la salle. La campagne électorale met fin à l'unanimisme politique qui prévalait depuis le . Après la proclamation provisoire de la République et la formation du Gouvernement provisoire, les authentiques républicains (les républicains de la veille), assez peu nombreux, sont divisés sur les dimensions sociales à donner à la nouvelle République. Les républicains modérés (Lamartine, Ledru-Rollin, François Arago), partisans de réformes politiques freinent les réformes sociales prônées par les républicains socialistes (Louis Blanc).

Les élections ont lieu le 23 avril (le jour de Pâques) au scrutin départemental de liste. Le 29 juin, le général Cavaignac, à qui l'Assemblée avait remis les pleins pouvoirs pour faire face à l'insurrection, est élu président du Conseil des ministres et forme un nouveau gouvernement composé en grande partie de républicains modérés.