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Masculinités

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T.co / Twitter. Soraya Chemaly: Healthy Masculinity: The Idea That Men Can Control Themselves. Men and women are different. What isn't so obvious is that men and women are similar. But we go out of our way to highlight the differences and generally, culturally, balk at suggestions of essential sameness. This is nowhere so true as in our understanding of violence. The world over men are aware that they can always, potentially, be frightening to women and children. Men are, on average, physically stronger humans. They can do two things with their physical strength: hurt others or help them. In most places, masculinity is inextricably bound to violence. It takes a lot of courage to take this on and suggest that the relationship between violence and masculinity can be changed. That's why the real question isn't if men are more or less violent. This idea, who is in control of whom, is fundamental to how we understand and deal with violence, especially with gendered violence: domestic abuse, rape, acid throwing, sex trafficking, child brides, and more.

That's a big undertaking. Le sexisme, une prison pour les hommes... aussi - Homme culture & identité. La parité avance avec difficulté dans les entreprises où l'accès des femmes aux postes à responsabilités reste limité. Et s'il y avait, derrière ce verrou, un préjugé culturel sexiste obligeant les hommes à se placer coûte que coûte dans une logique d'ambition maximale, au nom d'une "norme sociale de performance" ?

A l’instar du plafond de verre féminin bien connu des acteurs de la mixité, il existe un « plancher de verre » masculin, tout aussi enfermant et source de nombreux déséquilibres pour les hommes. Le « plafond de verre » féminin est aujourd’hui bien connu, et abondamment documenté. Il décrit efficacement l’ensemble des stéréotypes et préjugés qui, de façon visible ou invisible, constituent des barrières efficaces à l’accès des femmes aux postes à responsabilités. Impliquer les hommes dans les politiques de mixité Les approches moralisatrices, accusatrices ou culpabilisatrices ont montré leurs limites et ne suffisent plus à générer le mouvement nécessaire. Antoine de Gabrielli. Men & the Media: Gender Presentation. Tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/60/88/96/PDF/THESE_Alban_Jacquemart_2011.pdf. Men & the Media: Body Image.

Il faut sauver les garçons ! Nous étions alors intéressées et nous voulions y croire. Mais, les conclusions réelles de cette étude, publiée et préfacée par Jack Lang, postfacée par Daniel Welzer Lang directeur de thèse de l’auteure, et l’usage qui ne manquera pas d’en être fait, vu la présentation qui en a été faite, nous a vite fait déchanter. Mise en confiance L’entrée en matière est plutôt séduisante, on nous parle de « stéréotypes de genre », « de construction sociale des normes de la masculinité », de lutte contre le « sexisme et l’homophobie », des difficultés que peuvent éprouver ceux qui ne correspondent pas aux « injonctions à la virilité ».

Les exemples recueillis au cours de l’enquête, les explications « naturalisantes » et « essentialisantes » données par ceux et celles qui sanctionnent, en réduisant les comportants aux « hormones » ; les explications « culturalistes » ou « ethnicisantes » qui les lient à un ethos spécifique propre à une classe ou à des cultures sont effectivement affligeantes. Lagging at school, the butt of cruel jokes: are males the new Second Sex? | Society | The Observer. You might not have realised it, but men are being oppressed. In many walks of life, they are routinely discriminated against in ways women are not. So unrecognised is this phenomenon that the mere mention of it will appear laughable to some. That, at least, is the premise of a book by a South African philosophy professor which claims that sexism against men is a widespread yet unspoken malaise. In The Second Sexism, shortly to be published in the UK, David Benatar, head of the philosophy department at Cape Town University, argues that "more boys drop out of school, fewer men earn degrees, more men die younger, more are incarcerated" and that the issue is so under-researched it has become the prejudice that dare not speak its name.

"It's a neglected form of sexism," Benatar says in a telephone interview. "It's true that in the developed world the majority of economic and political roles are occupied by males. The American men's rights author Warren Farrell calls it "the glass cellar". Jouer son genre, jouer avec le genre. Dans le quatrième billet de ma série "Malaise dans la pub", j’évoquais ce que la publicité nous présente comme des "vraies femmes", notamment à propos de cette vidéo: J’aimerais revenir sur le premier commentaire à ce billet, celui d’Against, qui réagit sur les stéréotypes liés à la féminité et à la masculinité et la manière dont ils sont utilisés par les personnes transgenres: Je pense que les transsexuel-les reprennent beaucoup les stéréotypes féminins/ masculins véhiculés par la société afin de se définir en tant qu’homme ou en tant que femme.

Ce qui ressort de la suite de son commentaire, c’est que l’utilisation de ces stéréotypes serait nuisible aux hommes et aux femmes, dans la mesure où les personnes transgenres conforteraient ainsi la vision stéréotypée de la société sur le genre féminin et le genre masculin. Judith Butler reprend un passage de Mother Camp, d’Esther Newton, qui cite elle-même l’essai "The Garbo Image", de Parker Tyler: Que nous dit cette citation? Like this: Vu Lu Entendu. Are Modern Men Manly Enough? - Room for Debate.

Père au Foyer. C'est pour les gonzesses ? Ce matin, l’émission “Les Maternelles”, sur France5, était consacrée aux pères qui font le choix du congé parental. Sur le plateau, 3 pères très sympathiques (dont mon copain Michael), éloignés des clichés réducteurs du « Papa poule gagatisant », une Daphné Bürki moustachue en mode “mâle macho” et une Nadia Daam amoureuse … Et puis, à un moment dans l’émission, un sujet mixant micro-trottoir et interview est diffusé. Je n’insisterai pas sur le micro-trottoir dans lequel la plupart des hommes ne comprenaient pas qu’on puisse être père au foyer mais je tenais à vous parler des 3 journalistes du magazine GQ (un magazine pour les hommes) qui répondaient à la question « Pourquoi ne pas parler des Pères au Foyer dans votre magazine ?

» La première raison évoquée pour justifier ce choix éditorial est que les hommes qui lisent GQ ne voudraient pas lire des sujets qui se trouvent dans un magazine féminin. Et puis là, le journaliste de gauche (je ne parle pas de ses opinions politiques hein. Quoi ? Malaise dans la pub (2): eh, les mecs, on vous prend pour des cons. Quand on envisage la publicité du point de vue du genre, on pense d’abord (seulement?) À la représentation des femmes et au sexisme qu’elle véhicule souvent. Il est plus rare, il me semble, de s’interroger sur la représentation des hommes. Pourtant, dans n’importe quel domaine, il est impossible selon moi de découpler la représentation du masculin de la représentations du féminin: on ne comprend pas la première sans la seconde, et vice versa.

Toute attitude spécifique à l’égard d’un genre suppose, en creux, l’attitude opposée à l’égard de l’autre genre, c’est-à-dire un discours implicite. Ce qui m’intéresse ici, ce sont les discours implicites justifiant la perpétuation dans les images publicitaires du rapport de domination traditionnel du masculin sur le féminin, mais aussi la façon dont ce discours est rendu plus complexe par des représentations et des codes nouveaux, souvent difficilement interprétables. Un jour, un (ou une) publicitaire a eu une idée de génie. On a créé ça: Like this:

Expecting a bit mo’ from movember | À l'allure garçonnière. The month of November has drawn to a close, and with it, Movember’s legions of moustachioed folks end their campaigning… not only will the sightings of moustaches drop significantly, but the amount of times I am asked what i think of the “awareness” campaign will hopefully taper off.

Ah, what a lovely, complicated, recurring question. I had planned on responding to it myself, but before I knew it my badass friend Iris had already tackle the issue quite succinctly. In her editorial “Mo Awareness, Mo Problems” she covers everything from the very heteronormative narrow approach to addressing men’s health issues to the badass moustachioed folks ignored in Movember’s hall of fame. But don’t let me speak for her, read it yourself: What do you think? Personally I think she’s hit the nail on the head (but I’m biased seeing as she is my best friend). While i’m on the topic of moustaches, though, here are some more awesome links: Majestic Legay posted this video on November 1st of this year. Has the 'new man' triumphed at last?

Two years ago I asked someone I knew why he was growing a silly moustache. I didn't say silly. But it was. It didn't look like a moustache he would grow normally. It looked like a novelty moustache. This year 75,000 British men have registered, and it's a more interesting thing than you might think. Yes, they might have to face the nightmare scenario of not being able to, you know … As a man, it's hard to type the word that a doctor would have to use if he'd performed radical surgery on a guy's prostate.

But they're not trying to save everybody. Well, I think so. Last year I attended a conference of psychiatrists. So men, by having dicks, caused the global financial crisis. The audience laughed, and I passed the microphone back, savouring the moment – the warm, familiar glow of anti-male laughter. As the feminist writer Susan Faludi famously wrote, in her book Stiffed, in the latter part of the previous century, all over the western world, men felt betrayed. And here's another thing.