background preloader

Écologie

Facebook Twitter

Diarrhées porcines et désastre sanitaire argentin : à propos de deux allégations anti-OGM. Les antécédents du journaliste, qui avait déjà commis un docu-menteur du même style que ceux de Marie-Monique Robin.L’accueil favorable de Télérama, qui souligne précisément la filiation de cette nouvelle enquête avec celles de Marie-Monique Robin. Un mélange de faits réels mais déformés, de fantasmes, de rumeurs et de ragots, voilà ce qui constitue les « preuves accablantes » et la « réflexion de fond » si appréciées du microcosme alter-journalistique. La parution de ce documentaire nous donne donc l’occasion de revenir sur deux allégations qui ont emballé les journalistes.

Nous considérerons brièvement l’affaire des prétendues diarrhées porcines au Danemark, puis de manière plus détaillée, le prétendu désastre sanitaire en Argentine. Les diarrhées des cochons danois Comme le révèlent les critiques, Moreira a bel et bien procédé comme Marie-Monique Robin, allant à la pêche aux hoaxs sur les sites anti-OGM pour constituer la trame de son reportage. Le « désastre » argentin ? —Sur le web. Et l’hydroélectricité alors.

Par Matthieu Mistret. La mode est aux énergies renouvelables et les États subventionnent massivement ce secteur pour essayer d’atteindre des objectifs très élevés de production d’énergie dite propre. L’énergie propre, c’est un concept à la frontière entre la minimalisation du rejet de carbone et la diabolisation du nucléaire qui, s’il présente des défauts sur lesquels nous ne nous attarderons pas, reste quand même un énorme pourvoyeur d’énergie à bilan carbone de fonctionnement très bas. Mais le grand oublié de cette vague aussi verte que l’encre des billets fraichement imprimés qui la subventionnent, c’est l’hydroélectricité. L’énergie hydraulique, c’est une énergie vieille comme la gravité. Cela tombe bien car, jusqu’à preuve du contraire, la gravité est renouvelable à l’infini. Comment ça marche ? Une vision simplifiée consiste à classer les centrales par leur hauteur de chute.

Une contribution significative Pourquoi une telle indifférence ? Est-ce l’investissement initial ? Pour une nouvelle politique environnementale. Le XXIe siècle doit faire face à des défis environnementaux d’une nature plus complexe et aux exigences accrues des 9 milliards d’humains à venir, alors que les contraintes économiques obligent à rechercher les institutions les plus efficaces et les moins coûteuses. Par Max Falque [*]Un article des Enquêtes du contribuable. Notre logiciel jacobino-socialiste, auquel adhèrent plus ou moins tous les partis politiques, peut-il résoudre les problèmes environnementaux du XXIe siècle ? Depuis les années soixante-dix, les pouvoirs publics, face à ces enjeux, ont recouru au « tout réglementaire » d’ailleurs souvent avec succès, au moins pour lutter contre certaines pollutions. Il y a pourtant une autre voie plus efficace, moins coûteuse, mieux adaptée à la gestion de l’environnement et plus respectueuse des libertés individuelles : celle du recours aux droits de propriété et au marché.

De la défaillance du marché à celle de la puissance publique Droits de propriété et environnement Sur le web. Le gâchis écologiste. Par Michel Gay Les écologistes antinucléaires sont les champions du gaspillage. Qui l’eut crû ? L’accusation semble grotesque car l’écologie prône la sobriété et le recyclage. Comment un courant de pensée qui exhorte à se limiter et à consommer moins et mieux, peut-il conduire au gaspillage ? Pourtant, la politique énergétique « verte », c’est-à-dire surtout antinucléaire et soutenant les éoliennes et les panneaux photovoltaïques (PV), se solde par un prodigieux gaspillage de ressources.

Vouloir détruire une industrie nucléaire florissante, productrice de richesses et qui fonctionne en toute sûreté, pour la remplacer par des énergies intermittentes et ruineuses, est un consternant gaspillage de moyens, d’argent et de talents. L’insertion forcée « au chausse-pied » des éoliennes et du PV dans le paysage énergétique, accompagnée d’un apprentissage (forcé aussi ?) Création d’emplois ? Ces choix irresponsables font augmenter le coût de l’électricité. Climat, Antarctique, Groënland, les statistiques de la peur. Par E. Calvin Beisner and J.C. KeisterUn article de Watts Up WIth That. À quelle vitesse le Groënland et l’Antarctique perdent-ils leurs glaces ? Si vous faites confiance à l’Évaluation Nationale du Climat (NCA en anglais), vous allez penser, « très vite ».

Et c’est à dessein. Voici comment la NCA représente le taux de pertes des calottes glaciaires couvrant le Groënland et l’Antarctique : Des déclins assez forts, n’est-ce pas ? Mais s’il y a une manière trompeuse de représenter des tendances, c’est bien avec des chiffres bruts sans aucun contexte de proportions. À quoi ressembleraient les graphiques dans ces conditions là ? Le Groënland perd environ 0,1% de sa masse de glace par décennie, c’est à dire 0,01% par an. Et à quoi ressembleraient les graphiques une fois représentées les proportions ? Non, les tendances ne manquent pas. Et qu’en est-il des effets sur le niveau des mers ? Ça fait déjà moins peur, non ? Mais là n’était pas l’intention du gouvernement Obama.

—Sur le web. Greenpeace, une ONG trop puissante. Par Jacques Henry En 1971, une rumeur circula à propos d’essais nucléaires souterrains programmés par l’armée américaine dans l’île d’Amchitka, l’une des plus éloignées de l’archipel des Aléoutiennes au sud de l’Alaska. Le milieu hippy de Vancouver, un ramassis d’utilisateurs de LSD et de bien d’autres drogues tendres et moins tendres, d’adeptes des débauches en groupe, des objecteurs de conscience opposés à la conscription venant tant des USA que du Canada, des mystiques, des marginaux vivant dans des cahutes construites dans des arbres et même des Quakers, c’est dire le côté hétéroclite de ce groupe, arrivèrent tout de même à rassembler quelques dollars pour affréter un petit chalutier appelé le Phyllis Cormack temporairement renommé « Greenpeace » pour aller taquiner l’armée américaine droit sur l’île sus-nommée. Quelques heures après que le « Greenpeace » ait quitté Victoria Harbour, John Wayne venait mouiller sur son yacht privé dans le même port.

Sur le web. Climat : 22 vérités qui dérangent… Par Jean-Pierre Bardinet. Selon le discours officiel du GIEC, « la science a parlé », et tout opposant sceptique est passible d’être ostracisé. Car il faut faire vite, et cela fait plus de 20 ans que l’on nous rabâche qu’il y a extrême urgence et que la Planète ne pourra plus être sauvée d’ici trois à cinq ans (et même 500 jours selon Laurent Fabius ! …) , sinon la Planète risque de devenir une « poêle à frire » (sur le feu, bien sûr) si nous ne réduisons pas drastiquement nos émissions de CO2, à n’importe quel prix, même au prix de la décroissance, de la misère et de la ruine de nos économies.

Or, toute personne ayant une assez bonne culture scientifique, et qui se donne la peine de travailler la question, en arrive très vite à la conclusion que les thèses du GIEC sont fausses, pour nombre de raisons, dont voici une liste non exhaustive. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. La Cour des Comptes épingle les énergies renouvelables depuis longtemps. Par Michel Gay. Parmi les citoyens, qui a lu les rapports de la Cour des comptes de février 2011, janvier 2012 et de juillet 2013 sur les énergies renouvelables, le nucléaire et la transition énergétique ? Qui a lu le rapport du Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP) de janvier 2014 intitulé « La crise du système électrique européen » ? L’énergie est pourtant le fondement de toutes les civilisations modernes.

Une meilleure connaissance des réalités et des enjeux énergétiques permettrait à chacun, d’une part, d’intervenir dans le débat public sur l’énergie pour ne plus se laisser abuser par des lobbies divers, fussent-ils « verts » et, d’autre part, de disposer d’arguments pour se faire entendre. Mais une question complexe est occultée et donc rarement traitée : les coûts et tarifs de l’électricité dont la production doit répondre en permanence au besoin variable. Le rapport de février 2011 analysait déjà le surcoût de l’électricité « renouvelable ». Coût fiscal : Les miraculeux emplois verts s’effondrent en Allemagne.

L’énergie renouvelable était censée créer des dizaines de milliers d’emplois verts. Pourtant, malgré des centaines de milliards d’euros de subventions, le nombre d’emplois diminue rapidement. Sept emplois sur dix ne resteront que si les subventions continuent d’affluer.Par Daniel Wetzel, depuis l’Allemagne Angela Merkel dans un champ d’éoliennes. Les subventions des énergies renouvelables n’ont pas conduit à une augmentation significative et durable de l’emploi. Cela signifie que seulement 0,86% environ des 42 millions de travailleurs en Allemagne sont employés dans le secteur fortement subventionné des énergies renouvelables. Le « miracle de l’emploi vert » s’éteint. D’autres suppressions d’emplois attendues Dans le cœur de l’industrie, pour la production des systèmes d’énergies renouvelables, seulement 230.800 personnes occupaient un emploi l’an dernier : une baisse de 13% dans l’année, principalement due à l’effondrement de l’industrie solaire allemande.

Source : Die Welt, 26 mai 2014. Gaspillage des ressources : la faute des écologistes. Par Corentin de Salle et David Clarinval (*) C’est une certitude : Electrabel ferme la plus puissante centrale à gaz de Belgique, à savoir le site de Drogenbos (Bruxelles). Cette décision fait suite à la mise sous cloche de Seraing et de Vilvorde, deux centrales également performantes et opérationnelles. Dans le même temps, le gouvernement s’apprête à subsidier massivement la construction… d’une nouvelle centrale à gaz : le secrétaire d’État à l’Énergie a effectivement lancé un appel d’offres très récemment. Cette décision absurde, ce gaspillage éhonté résultent non pas de l’inconséquence de l’intéressé mais de l’incapacité du monde politique à remettre en cause la pertinence de la politique énergétique européenne actuelle d’inspiration écologiste.

Gaspillage écologiste des ressources ! L’accusation semble inepte, gratuite, grotesque, scandaleuse. Pourtant, les faits sont là. Et encore, la réalité dépasse la fiction de Mestrallet car, en Belgique, l’on paye en réalité quatre fois. OGM en Europe, n’en parlons plus. Par Jacques Henry. L’Europe a donc choisi la voie de l’interdiction optionnelle de la culture des plantes transgéniques. À chaque État d’en décider, après tout la Commission Européenne se désolidarise des états d’âme des divers ministres de l’agriculture, car il s’agit bien d’états d’âme. « Avec ce nouveau cadre, les débats peuvent avoir lieu », a promis Stéphane Le Foll rappelant toutefois qu’il restait farouchement opposé aux OGM résistants aux herbicides ou aux ravageurs comme le Mon810 parce qu’ils « posent d’énormes problèmes ».

Si ce n’est pas un « état d’âme » il faut qu’on me décrypte la déclaration de Le Foll. Quand il mentionne les « énormes problèmes », que « posent » les plantes transgéniques comme les maïs Bt ou RoundUp Ready, qu’il ait la délicatesse d’avouer qu’il est farouchement opposé à l’intrusion sur le territoire français des semenciers américains comme Pioneer ou Monsanto, point à la ligne. —Sur le web. Des bugs dans le bio. Par Alain Cohen-Dumouchel. Le personnel de plusieurs établissements de la région de Marseille a eu la désagréable surprise de découvrir « des corps étrangers d’origine animale » dans des barquettes de choux-fleurs bio préparées par l’entreprise Sodexo.

L’incident a eu lieu lundi 20 janvier. Dix jours plus tôt, ce sont des chenilles que des écoliers ont retrouvé dans des brocolis bio. Et en novembre 2013, les enfants de six écoles découvraient des mites alimentaires grouillant dans leurs assiettes de riz camarguais « non traité ». Trois alertes qui viennent de déclencher l’ire des responsables marseillais, lesquels menacent le prestataire Sodexo de représailles juridiques à coups de communiqués de presse bien sentis.

La municipalité, dont tout le monde connaît l’irréprochable gestion, est bien décidée à prouver aux parents-d’élèves-électeurs qu’elle est vigilante et intraitable sur le plan de l’hygiène alimentaire. Tel M. Lutte contre le vers cité L’en-vers du décor —Sur le web. Pollution parisienne ? N’oubliez pas le guide ! Quand Paris s’enrhume, la France toute entière tousse. Et quand Paris tousse, la France s’arrête. C’est ce qu’on pourrait croire à lire les grands titres de la presse tant la pollution qui stagne sur la moitié nord et notamment la région parisienne semble occuper toutes les préoccupations des journalistes et des politiciens de la capitale. Il devient même difficile, alors que Paris a accumulé quelques jours de pollution, de trouver d’autres sujets de préoccupation qui ne manquent pourtant pas. Entre une nouvelle montebourderie grotesque, une disparition mystérieuse d’avion, et la situation internationale tendue en Crimée, il y aurait de quoi dire. Et moyennant un peu d’alarmisme à base de photos dramatiques montrant Paris avec et sans un filtre photoshop gris, on va pouvoir affoler tout le monde et faire passer la mesure sans problème.

Ceci posé, une fois qu’on sait que ce sont ces vilaines particules qui produisent un intéressant brouillard, le lien avec les voitures est évident. Pesticides : l’ »étude » EXPPERT est-elle sérieuse ? Par Thierry Levent. La toxicologie et la méthodologie scientifique sont encore une fois victimes d’une étude Canada-Dry, qui s’apparente plus à de la communication qu’à de la science et dont l’objectif essentiel est de faire le buzz. L’association Générations Futures (GF), qualifie d’enquête un travail intitulé EXPPERT (Exposition aux Pesticides PERturbateurs endocriniens. La question était la suivante : quelle exposition des enfants aux pesticides perturbateurs endocriniens ? L’analyse critique d’un article : kit de survie. Un lecteur un peu curieux s’interroge naïvement sur la méthodologie utilisée par GF et se livre donc à une lecture critique d’article en se posant normalement les questions suivantes.

Mise en pratique à propos l’étude EXPPERT. Les conclusions de l’enquête de GF sont évidemment catastrophiques, ce qui n’étonnent pas celles et ceux qui suivent les travaux «scientifiques» de cette association très copine avec les faucheurs volontaires et Greenpeace. Notes : Pour une écologie libérale (1/3) Le libéralisme est une opportunité pour l’environnement et l’écologie, comme le montre l’auteur dans cette analyse en profondeur. Par Grant Mincy, depuis les États-Unis. L’utilité industrielle Dans les vastes plaines arides du Bassin Arckaringa, en Australie, a eu lieu une découverte majeure d’huile de schiste. Linc Energy a découvert sur 6,5 millions d’hectares de terrain environ 133 – 233 milliards de barils d’huile de schiste situés sous la lithologie de la région. Peu importe le volume d’huile accessible via la technologie moderne, cette découverte est sûre d’être évaluée à plusieurs milliards de milliards, vu la valeur actuelle du marché. Peter Bond, chef de la direction de Linc Energy, met sur le marché un dépôt qui a le potentiel de transformer toute l’industrie.

C’est une découverte incroyable avec des conséquences considérables. L’importance de cette découverte va sûrement impliquer l’Australie dans le dernier boom énergétique : l’énergie de schiste. Jefferson plutôt qu’Hamilton. Pour une écologie libérale (2/3) Pour une écologie libérale (3/3) Le Lorax et l'écologisme capitaliste. Bienvenue dans l'enfer vert. L’escroquerie des tramways. Normes, taxes, règlementations : vous allez adorer la "transition énergétique" ! Des lunettes vertes à changer ? Jean-Vincent Placé : des mégots, un magôt, un démago. François Hollande, otage des Verts. Vague de froid et réchauffement climatique : incompatibles ? Qui est István Markó, chef de l'équipe de "Climat, 15 vérités qui dérangent" ? Enfin une bonne nouvelle dans le domaine de l'énergie. The Ridiculousness Continues – Climate Complexity Compiled. Face au GIEC, le rapport indépendant sur l’autre plateau de la balance. Conférence à l'Académie belge des sciences : deux poids deux mesures sur le climat.

Il faut donner le prix Nobel de physique au GIEC. Les océans montent dangereusement, sauf autour des îles. Climat : 10 informations dont vous n’avez sans doute pas entendu parler. Du scandale d’un document public du Ministère de l’écologie sur le climat. Climat : quand les MGM (Modèles Génétiquement Modifiés) ? Le "rapport du GIEC" en 10 réponses. Le GIEC et les prévisions de réchauffement : réquisitoire contre les modèles climatiques. Rions un peu avec le réchauffement climatique. Le réchauffement climatique responsable de notre hiver glacial ! Qui croit encore au Réchauffement Climatique Anthropique ?

Le début de la fin du réchauffement climatique. La banquise et la régression vers la moyenneContrepoints. Les 13 pires prédictions du Jour de la Terre de 1970. La planète devient plus verte. La production agricole mondiale continue d’augmenter, malgré des prédictions alarmistes de déclin. Ecologie : pour ne surtout pas en finir avec les dictatures. Une facture d’énergie qui n’en finit pas de gonfler. Comment notre politique énergétique va nous faire reculer dans le monde. La transition énergétique selon Denis Baupin (EELV) L'éolien va multiplier par deux les factures d'électricité. Non aux 600 éoliennes en mer ! Des milliers de générateurs diesel pour compenser l'éolien ! Éoliennes : quel est leur vrai bilan carbone ? Éoliennes, Terres rares et désastre environnemental : une vérité qui dérange.

Le crépuscule du photovoltaïque. For every new 'green' job, nearly four are lost. Et maintenant, une alternative énergétique dont on ne veut pas entendre parler. Diviser par deux la consommation d'énergie en France, une aberration. La taxe carbone en 6 questions. Gaz de schiste, une fracturation au sein du gouvernement. "Michelle Obama, bloquez le gaz de schiste" Gaz de schiste : 5 mythes démontés ! La fracturation au propane saluée par le Time. Les « coûts cachés » du nucléaire en France, du mythe à la réalité. Écologie : attention, un massacre peut en cacher un autre. Produire de l’énergie avec les déchets nucléaires ? L’atome vert : le thorium. Stocker les énergies renouvelables grâce à l’hydrogène solide. La transition énergétique : l’arnaque du siècle. L’énergie, le climat et le cynisme des écologistes. Le vice-chancelier allemand : « La transition énergétique est une folie » La fin de l'écologie internationale. Faucheurs de riz doré, faucheurs de vieContrepoints.

1.800 études confirment l’innocuité des OGM. Scoop : les chats mangent des oiseaux. Non, la Nature ne doit pas avoir le dernier mot ! Catastrophe, même la Terre empile des dettes ! Biocarburants.