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Datajournalism

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Introduction to Linked Open Data for Visualization Creators on Datavisualization. Introduction to Linked Open Data for Visualization Creators Last week ReadWriteWeb asked: “Is Linked Data Gaining Acceptance?” Our answer: definitely yes. Projects like DBPedia, a community effort to structure the information from Wikipedia and provide it as Linked Open Data, have come a long way and work really well. For example, you can search for all scientists born in Zürich, Switzerland. But you don’t have to stop there! Back in 2001 Tim Berners-Lee and his collaborators published a seminal article called “The Semantic Web” in which they presented their idea of “a new form of Web content that is meaningful to computers [and] will unleash a revolution of new possibilities”. First up is the term Semantic Web.

One technological concept that is part of the Semantic Web vision is Linked Data, which describes “a method of publishing structured data, so that it can be interlinked and become more useful” (Wikipedia). The Value for Visualization Creators. Scraping for Journalism: A Guide for Collecting Data. Photo by Dan Nguyen/ProPublica Our Dollars for Docs news application lets readers search pharmaceutical company payments to doctors. We’ve written a series of how-to guides explaining how we collected the data. Most of the techniques are within the ability of the moderately experienced programmer. The most difficult-to-scrape site was actually a previous Adobe Flash incarnation of Eli Lilly’s disclosure site. Lilly has since released their data in PDF format. These recipes may be most helpful to journalists who are trying to learn programming and already know the basics. If you are a complete novice and have no short-term plan to learn how to code, it may still be worth your time to find out about what it takes to gather data by scraping web sites -- so you know what you’re asking for if you end up hiring someone to do the technical work for you.

The tools With the exception of Adobe Acrobat Pro, all of the tools we discuss in these guides are free and open-source. A Guide to the Guides. Vers un monde de données. Nous sommes entrés dans un monde de données, dans un monde où les données sont en passe de devenir l’essence même de la connaissance et de l’information. La donnée (data) est la plus petite part d’information accessible, à la manière des zéros et des uns qui constituent les bits d’information à l’heure du numérique. Elle est déterminée par des valeurs, par des champs qui s’appliquent à elle et la qualifie. Avec l’informatisation de notre quotidien, tout devient données. Les données sont le moteur du web sémantique de Tim Berners-Lee (ce web de données ou web 3.0) comme du web² de John Battelle et Tim O’Reilly.

C’est le moteur du web implicite, celui qui comprend le moindre de nos clics. C’est bien sûr le moteur principal du web 2.0 et des interfaces de programmation qui le structurent. C’est aussi celui du web relationnel, qui fait communiquer les données entre elles. Ces données sont multiples, hétéroclites, hétérogènes, mais elles se relient les unes aux autres. Hubert Guillaud. Du rôle prédictif des données à la gouvernementalité algorithmique. Sur Place de la Toile, le 12 décembre dernier, Xavier de la Porte recevait Guillaume Main, consultant et statisticien, qui s’occupe du site Statosphère ; Erick Alphonse, maître de conférences au Laboratoire d’Informatique de Paris-Nord (LIPN) et responsable d’Idaaas, une société qui construit des modèles prédictifs, notamment via PredictiveDB, un logiciel prédictif et Antoinette Rouvroy, chercheuse au Fonds national de la Recherche scientifique, qui travaille sur les formes de pouvoir induites par l’usage des données.

Réécouter l’émission en ligne, ou parcourez le transcript augmenté de liens. Il y a de multiples formes de données, rappelle en préambule Xavier de la Porte : données sociales, messages, commentaires, celles qu’on publie chez les autres ou que les autres publient sur soi. Il y a bien sûr les données comportementales : celles qui mesurent ce que vous faites sur l’internet, les données géographiques, les données publiques, les données privées. Erick Alphonse : Oui. Quand nos requêtes aident à tracer les évolutions de la grippe.

Par Hubert Guillaud le 20/11/08 | 3 commentaires | 4,281 lectures | Impression Google vient de dévoiler un outil expérimental, baptisé Google Flu Trends, capable de tracer l’intensité et l’étendu des fluctuations de la grippe à travers les Etats-Unis, simplement en observant les requêtes sur ce sujet des utilisateurs de son moteur de recherche. Google Flu Trends s’appuie sur un constat simple : avant d’aller chez le docteur, nombre d’internautes ont tendance à chercher des informations sur les symptômes qu’ils ressentent. L’outil de Google se contente d’agréger les données relatives à la grippe tapées par les internautes dans son moteur et à les géolocaliser comme il le propose sur Google Insight, le service d’analyse des requêtes des internautes. D’autres systèmes existent encore comme HealthMap, qui permet de cartographier des informations de santé pour montrer comment se répandent des maladies.

50 most stunning examples of data visualization and infographics. The Good, the Sad and the Nerdy « Stop. Datatime. I do hope that most of you have paid attention to the first British election debate held last week on national television. The leaders of the three main parties were invited to discuss questions asked by a sample of British citizens and selected beforehand by broadcasters. A fortnight before the main event, a set of 76 detailed rules were announced, to prevent from any kind of uneven treatment. Just like for any other political live debate, the issue of airtime was most crucial. Besides, I found it worthy of interest that the audience was carefully selected in order not to favour a political party over the other two. It was ensured that at least 80% of them declared a voting intent, with the final selection to ensure a ratio of 7:7:5 between Labour, Conservative and Liberal Democrat voters.

Those showing a voting preference for minor parties (Green, BNP, UKIP) were represented as well. Mark my words:who will best tackle the data issue? Da-tax heaven : “Where Does My Money Go ?” Like this: Accueil - Le journalisme de données, une vraie chance pour les rédactions. Ce que cache le débat sur le journalisme de données. La thématique du « journalisme de données » suscite des échanges de points de vue très intéressants et très opposés.

Une sorte de querelle des anciens et des modernes, illustrée par ce récent billet de Cécile, étudiante à l’école de journalisme de Columbia (elle, c’est la moderne, ce qui ne lui donne pas automatiquement raison) et ce post de Jean-Christophe Féraud, journaliste aux Echos (lui, c’est l’ancien, et il n’a pas forcément tort). Données ou idées ? Les Français n’aiment pas les faits Pourquoi les Français s’écharpent-ils sur l’intérêt de recourir aux données chiffrées, à leur traitement et à leur mise en forme interactive, tandis que les anglo-saxons l’utilisent déjà (j’ai déjà parlé ici de l’enquête sur les infirmières californiennes)? Réponse : les journalistes français n’aiment pas les faits. François Dufour l’exprime parfaitement dans son ouvrage « Les journalistes français sont-ils si mauvais?

Le style d’Albert Londres non merci ! Reprenons ces deux exemples. Albert Londres? How Journalists are Using Social Media for Real Results. The Real Results series is supported by Gist, an online service that helps you build stronger relationships. By connecting your inbox to the web, you get business-critical information about key people and companies. See how it works here. Journalists are, by nature, crafty folk who are wonderfully adept at stalking — I mean, finding sources and relevant information for various and sundry stories. Well, the advent of social media has made the process of reporting all the more nuanced, and has served as a vital channel for everything from finding leads to contacting sources to sharing and furthering one's brand. Still, as the Internet continues to expand, it can be difficult to pick and choose which tools are right for you as a journalist — it can be daunting to litter one's desktop with Twitter applications, social networks, location-based tools and blogs.

Mashable spoke with an array of journalists and industry folks to see how they're using social media in their day-to-day work. Quatre voies du datajournalism. J’ai eu l’impression, ces derniers jours, de répéter plusieurs fois la même chose à des personnes différentes. (Ce qui est un vrai plaisir quand il s’agit de datajournalism). D’où l’idée d’articuler ici ces quelques éléments récurrents.

Finalement, le datajournalism ou journalisme de données, peut difficilement se résumer à un type de contenu ou à un type de démarche. J’ai identifié quatre dimensions, et pour chacune les compétences nécessaires à sa mise en œuvre : 1-Compréhension : Le datajournalism permet de mieux comprendre le monde. Pour cette visualisation des succès au box office américain depuis 1986, l’équipe du nytimes.com a particulièrement travaillé sur la forme des courbes, et leur couleur.

Le datajournalism, c’est de la visualisation d’information. Le datajournalism fait ici appel aux compétences des graphistes et aux connaissances en sémiotique visuelle ou en sémiologie graphique : pour que chaque forme et chaque couleur fasse sens instantanément. Like this: J'aime chargement… Hubs and Connectors: Understanding Networks Through Data Visualization – Post.