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Histoire des médias

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Presse d'opinion

L'echec de la presse pupulaire : France-Soir. Le Parisien. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Parisien constitue, avec son édition nationale Aujourd'hui en France, le premier quotidien national d'information générale en France avec une diffusion couplée d'environ 500 000 exemplaires. Grâce à ses dix éditions départementales, il est également le premier quotidien à Paris et en Île-de-France.

Historique[modifier | modifier le code] Le Parisien libéré voit le jour le [1]. Le premier titre barrant la une est : « La victoire de Paris est en marche ! Le fondateur, Émilien Amaury, dirige le journal jusqu'à sa mort en 1977. Sous son impulsion, Le Parisien libéré est rebaptisé Le Parisien le , avec le lancement d'une nouvelle formule[4], imprimée en partie en couleurs[5]. En mai 2006, au décès de Philippe Amaury, sa veuve, Marie-Odile Amaury, prend sa succession à la présidence du groupe. À partir de 2008, un supplément intitulé « La Parisienne » parait le premier samedi de chaque mois. Identité visuelle[modifier | modifier le code] Le Figaro. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le Figaro est un journal de presse française fondé en 1826 sous le règne de Charles X. Il est à ce titre le plus ancien quotidien français encore publié. Il a été nommé d'après Figaro, le personnage de Beaumarchais, dont il met en exergue la réplique : « Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur. » Présentation[modifier | modifier le code] Devise figurant à la une[modifier | modifier le code] — Beaumarchais, Le Mariage de Figaro Figaro est un des personnages de Beaumarchais, héros du Barbier de Séville, du Mariage de Figaro et de la Mère coupable. Le Figaro comporte d'autres références au personnage dont il tire son nom, comme « Figaro-ci, Figaro-là », Le Barbier de Séville. Ligne éditoriale[modifier | modifier le code] Identité visuelle (logo)[modifier | modifier le code] Logo depuis septembre 2009. Historique du journal[modifier | modifier le code] Le logo du Figaro (source : Gallica). « Il avait fait deux fois faillite.

Libération (journal) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Libération est un journal quotidien généraliste national français de presse écrite propriété de la holding Refondation. Fondé sous l'égide de Jean-Paul Sartre, le journal paraît pour la première fois le . Situé à l'extrême gauche à ses débuts, Libération évolue vers la gauche sociale-démocrate à la fin des années 1970, à la suite du départ de Jean-Paul Sartre. En 1978, le journal n'a déjà plus rien de maoïste : Serge July le décrit alors comme « libéral-libertaire »[3]. En proie à de graves difficultés financières et confronté à la nécessité de se restructurer, Libération est propriété de la holding Refondation qui a pour actionnaires de référence depuis 2012 les hommes d'affaires Bruno Ledoux — propriétaire du siège du journal — et Édouard de Rothschild[4].

Sa ligne éditoriale est de centre-gauche ou de gauche sociale-démocrate, selon le spectre politique français habituellement utilisé, et son lectorat est majoritairement de gauche[5]. Le Monde. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article concerne le journal français « Le Monde ». Pour les autres significations associées au mot monde, voir Monde. Le Monde est un journal français fondé par Hubert Beuve-Méry en 1944. C'est l'un des derniers quotidiens français dits « du soir », qui paraît à Paris en début d'après-midi, daté du lendemain, et est distribué en province le matin suivant.

Quotidien français dit « de référence » depuis plusieurs décennies, il est le plus diffusé à l'étranger jusque dans les années 2000 avec une diffusion journalière hors France de 40 000 exemplaires[2],[3], tombée en 2012 à 26 000 exemplaires[4]. La ligne éditoriale du journal prône le respect de principes d'éthique et de déontologie, en particulier concernant la recoupe des informations et la protection des sources d'information des journalistes[5]. Il est aussi disponible dans une version en ligne. Histoire[modifier | modifier le code] 1944 : Fondation[modifier | modifier le code] [RAINBOW WARRIOR] Interview Edwy Plenel (suite) « La Première Zone.

Edwy Plenel En 1985, Edwy Plenel est journaliste au Monde. C’est grâce à ses investigations que l’état français a été obligé d’avouer sa responsabilité dans l’attentat du Rainbow Warrior. Extraits d’une interview audio réalisée par Greenpeace International. Comment aviez-vous pris connaissance de l’affaire du Rainbow Warrior ? Edwy Plenel: J’étais en vacances quand a eu lieu l’attentat. Pourquoi était-il si impliqué ? On ne l’a découvert que dix ans après, quand Jacques Chirac a repris les essais nucléaires.

N’avez- vous pas l’impression, à l’époque, que contrairement aux interrogations journalistiques, l’opinion publique comme la plupart des politiciens pensaient que si l’état avait coulé le Rainbow Warrior c’était sûrement pour de bonnes raisons ? Edwy Plenel: Bien sûr et c’est la raison pour laquelle les parlementaires n’ont pas donné suite à un vrai débat sur cette affaire. "L’affaire Greenpeace est une leçon pour la presse, une leçon universelle. " Source Greenpeace Like this: