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Cerveau

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Comment les grandes marques influent sur nos cerveaux. Tellement brutale, mais tellement vraie, la sortie de Patrick Le Lay, alors PDG de TF1, avait fait grand bruit : « Pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages.

Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible. » Ce que Patrick Le Lay n’imaginait sûrement pas, c’est à quel point ce rapprochement entre cerveau et grandes enseignes commerciales était pertinent et profond. Certains chercheurs pensent que l’empreinte des grandes marques dans nos têtes est si forte qu’elle va jusqu’à influencer notre perception, à transformer l’expérience que nous faisons quand nous consommons les produits en question. En fait, T-Cola n’était qu’une invention : l’idée consistait à proposer une boisson totalement inconnue, d’une marque non identifiable. Comment le cerveau décide quand on doit faire une pause. Neurosciences, sciences cognitives, neurologie, psychiatrie Avant de nous engager dans un effort, notre cerveau décide de son opportunité en évaluant les coûts qu’il implique et les bénéfices qu’on peut en tirer.

Une question reste cependant peu explorée : comment, au cours d’un effort, le cerveau décide-t-il qu’il est temps de faire une pause ? Florent Meyniel & Mathias Pessiglione, de l’unité Inserm 975 ” Centre de recherche en neurosciences de la pitié salpétrière”, ont proposé que l’accumulation et la dissipation d’un signal cérébral de fatigue déclenchent respectivement la décision d’arrêter ou de reprendre un travail en cours. Pour tester cette hypothèse, les auteurs ont développé un test dans lequel 39 participants ont été invités à serrer une poignée de force en échange d’un paiement qui était proportionnel à la durée de leur effort. ©fotolia En savoir plus Contact Chercheur Mathias Pessiglione mathias.pessiglione@gmail.com Florent Meyniel florent.meyniel@gmail.com Sources Les plus lus.

Hamlet and the Power of Beliefs to Shape Reality | Literally Psyched. Writing at the close of the nineteenth century, William James, the father of modern psychology (and Henry’s brother), observed that, “Whilst part of what we perceive comes through our senses from the objects around us, another part (and it may be the larger part) always comes out of our own head.” We now know that it is, in fact, the larger part: perception is just as much about construal, belief, the interaction of environment and memory as it is about sensory inputs. It’s a top-down world out there. Sarah Bernhardt as Hamlet, By Lafayette Photo, London, Wikimedia commons. What’s more, our beliefs and construals can actually alter our reality. For many years, Carol Dweck has been researching two theories of intelligence: incremental and entity. In a recent study, a group of psychologists decided to see if this differential reaction is simply behavioral, or if it actually goes deeper, to the level of brain performance.

So what exactly does that mean? Le ‘butinage’ mnémonique de l’être humain. Des chercheurs britanniques et américains ont montré expérimentalement que l’être humain, pour rechercher des informations dans différentes parties de sa mémoire, utilise une stratégie qui s’approche de celle des oiseaux ou des insectes. Ceux-ci passent d’une source de nourriture à une autre en optimisant le temps passé sur chacune. Le "théorème de la valeur marginale" des éthologistes stipule qu’au cours de sa recherche de nourriture, un animal (oiseau ou insecte) exploite une source donnée (une branche d’arbre fruitier, par exemple) avant de passer à une autre (la branche voisine), de façon à optimiser le ratio entre énergie dépensée à chercher (les fruits) et énergie gagnée en mangeant (les fruits qu’il a pu dénicher). Il s’agit donc de passer d’une source à l’autre en temps opportun, même si la première n’est pas totalement épuisée. En est-il de même pour l’homme à la recherche d’informations nombreuses dans sa mémoire, lors d’une tâche donnée ?

Avez-vous déjà partagé cet article? Le fonctionnement de la mémoire: Optimiser ses capacités de mémorisation, de concentration. Dans une société de connaissance, où l’information fluctue en permanence, développer et utiliser judicieusement sa mémoire n’est pas un luxe, mais une nécessité. Notre cerveau, organe complexe par excellence recense quelques 10 000 neurones. Distribués en circuits, ces milliers de neurones offrent un potentiel infini d’encodages d’informations. Rassemblés en fonctions sensorielles, sensitives, moteurs, etc., ils sont entre autres le support de notre mémoire. Deux grandes catégories de mémoire De nombreux chercheurs en sciences cognitives se sont attachés à distinguer deux types de mémoire, subdivisées en « registres ».

La mémoire court terme En premier lieu, notre organisme traite les données de l’environnement par les organes sensoriels (mot, images, son…) et les maintient pendant un court laps de temps (quelques dixièmes de seconde) en mémoire immédiate. La mémoire long terme Elle concerne les informations stockées durablement. Elle est organisée autour des mémoires suivantes : #xtor=AL-32280308.

List of cognitive biases - Wikipedia, the free encyclopedia. Mémoire : Comment la perdre et…la retrouver? MÉMOIRE: Comment la perdre et…la retrouver? Actualité publiée le 30-07-2011 Nature En testant différents médicaments sur 6 singes d'âges différents, ces chercheurs de Yale sont parvenus à “rajeunir” la mémoire des plus anciens ou du moins à stabiliser le déclin cognitif lié à l’âge.

Ils nous expliquent comment la mémoire est perdue puis pourrait être retrouvée et pourquoi, parfois, nous sommes incapables de retrouver…nos clés. Cette étude publiée dans l’édition du 27 juillet de la revue Nature montre que les réseaux de neurones dans le cerveau à un âge moyen ou plus avancé ont des connexions et des activations plus faibles que chez les jeunes, en raison de l’accumulation, à des niveaux excessifs, d'une molécule de signalisation appelée AMPc.

Mais, comme le suggère cette recherche, ce phénomène pourrait être réversible. Source: Nature doi:10.1038/nature10243 Published online27 July 2011 “Neuronal basis of age-related working memory decline” (Vignette NHS) Six intuitions you shouldn't trust. Michael Bond Even if you haven't taken the invisible gorilla test, you've probably heard of it. It consists of a short video of two teams of students moving around while they pass basketballs. The idea is to count the number of passes made by one team while ignoring those made by the other. Roughly half of those who take the test fail to notice a person dressed as a gorilla who strolls into the middle of the players and beats its chest at the camera. The viewers are concentrating so hard on counting the passes that they're blind to the unexpected, even though it is staring them in the face. This book is by the psychologists who devised that experiment (see Gorilla psychologists: Weird stuff in plain sight).

They cover what they consider to be six of the most common intuitive errors: The authors are strongest in the area they have studied most. Book Information:The Invisible Gorilla: And other ways our intuitions deceive us by Christopher Chabris and Daniel SimonsHarperCollins£16.99/$27.

Illusion optique

Mieux reconnaître les personnes d’autres ethnies. 2 août 2011 par Frank Arnould … En individualisant leurs visages. Nous sommes généralement des experts de la reconnaissance des visages. Cependant, certains visages nous posent régulièrement des problèmes d’identification. C’est le cas des visages de personnes qui nous sont ethniquement différentes.

Non seulement ces visages sont moins souvent reconnus, mais ils sont aussi plus fréquemment l’objet d’erreurs de reconnaissance (Meissner & Brigham, 2001). Récemment, le psychologue Kurt Hugenberg, du département de psychologie de l’Université de Miami, aux États-Unis, a présenté, avec ses collègues, un modèle de ce biais de mémoire en faveur des visages de notre groupe ethnique. Le modèle prédit donc que les visages ethniquement différents du nôtre pourraient être mieux identifiés si nous sommes amenés à les individualiser. L’individualisation des visages a donc aidé les participants à mieux se souvenir des visages provenant d’un groupe ethnique différent du leur. Références : Meissner, C.

Video

Comment pense l'enfant. La révolution des capacités précoces des nourrissons De nouvelles méthodes d’observation des bébés montrent que le monde mental du nourrisson est loin d’être chaotique et irrationnel. • Une méthode révolutionnaire Comment savoir ce que pense un bébé ? Tant qu’il ne parle pas, il est difficile de se représenter ce qui se passe dans la tête du nourrisson. Au début des années 1980, une nouvelle méthode ingénieuse, inventée par Robert L. Fantz, allait permettre d’explorer cette terra incognita et de révolutionner les conceptions du développement de l’intelligence enfantine. Tout part d’un phénomène connu sous le nom d’habituation. . • Le bébé naturaliste Les nourrissons sont également aptes à percevoir certaines anomalies : si on montre à un bébé de 5 mois une boule rouge qui se déplace quand une autre boule la percute, il va s’intéresser à ce petit manège pendant un certain temps. Toutes les notions que J. . • La théorie de l’esprit (1) Amanda C.

Les enfants acteurs de leur développement. Child, Adult Brains See World Differently. By Traci Pedersen Associate News Editor Reviewed by John M. Grohol, Psy.D. on September 16, 2010 Children younger than 12 do not integrate information to understand the world as adults do, reports a new study from University College London and Birkbeck, University of London. This not only applies to the combining of different senses, such as sound and sight, but also to the varying information the brain receives while viewing a scene with one eye as compared to both eyes. Dr. Marko Nardini, UCL Institute of Ophthalmology, and lead author said, “To make sense of the world we rely on many different kinds of information. “The same is true for different kinds of information within a single sense. In the study, scientists observed how children and adults combine perspective and binocular depth information. It was not until 12 years that children combined perspective and binocular information, as adults do, which led to more accurate judgments.

University College London. Cerveau-humain-memoire-fonctionnement.png (Image PNG, 1000x2264 pixels) - Redimensionnée (25%) Five myths about memory (and why they matter in court) | Not Exactly Rocket Science. Témoin oculaire et formulation question - Expérience Loftus et Palmer (1974) 13 juillet 2011 par Frank Arnould La façon dont sont formulées les questions posées aux témoins oculaires influence leur version des faits. Objectif Les deux expériences que publient Elizabeth Loftus et John Palmer en 1974 participent au regain d’intérêt que suscitent les témoignages oculaires chez les psychologues à partir des années 1970, en particulier concernant l’influence des questions dirigées sur la mémoire d’un crime.

L’objectif de leur travail est d’évaluer comment un simple changement de verbe dans une question peut conduire des personnes à estimer différemment la vitesse à laquelle roulaient des véhicules impliqués dans des accidents de la circulation. Première expérience Cinquante-cinq étudiants américains sont conviés à visionner sept films décrivant chacun un accident de la route. À quelle vitesse roulaient les véhicules quand ils se sont touchés (hit) ? À quelle vitesse roulaient les véhicules quand ils se sont écrasés l’un contre l’autre (smashed) ? Deuxième expérience. Charting Creativity.