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Institutions

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L’institution républicaine du politique. À propos de : Anne Amiel (éd.), Alexander Hamilton, John Jay et James Madison, Le Fédéraliste, Paris, Classiques Garnier, coll. « PolitiqueS », 2012. « C’est passionnant et extraordinaire, cette Révolution américaine, la fondation de la République, la Constitution.

L’institution républicaine du politique

Madison, Hamilton, Jefferson, John Adams — quels hommes ! Et quand on voit la situation aujourd’hui — quel déclin ». (Hannah Arendt, lettre à Karl Jaspers du 16 novembre 1958) Le Fédéraliste est l’ensemble constitué par soixante-dix-sept articles publiés entre octobre 1787 et août 1788 dans la presse new-yorkaise, auxquels ont été ajoutés huit articles supplémentaires lors de la première édition de la série, sous le titre The Federalist, or the New Constitution, en 1788 par McLean.

Une autre difficulté tient peut-être également à la densité ainsi qu’à l’ambiguïté de la pensée politique déployée dans les articles. La difficulté : créer l’Américain à partir de la diversité — « E pluribus unum » Colloque "La Cinquième République en débat". Autour des pouvoirs du Parlement Place du Parlement, rôle des parlementaires et interrogations autour de la séparation des pouvoirs.

Colloque "La Cinquième République en débat".

Le rôle du parlement par revuePouvoirs Autour du cumul des mandats Unanimité nuancée à propos de la suppression du cumul des mandats. Le Cumul des Mandats par revuePouvoirs L’exécutif. La Ve république en débat. À l’occasion des 50 ans de la Ve république, et à quelques jours de l’examen parlementaire du projet de loi constitutionnelle de modernisation des institutions, Guy Carcassonne et Olivier Duhamel reviennent, dans le cadre de leur séminaire à l’IEP de Paris, sur les réformes en cours et la nécessaire amélioration de la vitalité démocratique de nos institutions.

La Ve république en débat

Guy Carcassonne est professeur de droit public à l’université de Paris-X Nanterre et à l’institut d’études politiques (IEP) de Paris. Olivier Duhamel est professeur de droit constitutionnel à l’Institut d’études politiques de Paris. Ils ont tous deux participé au Comité de réforme et de proposition sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve république présidé par Édouard Balladur. La Vème république en question Prise de vue réalisée par le service audiovisuel de l’Institut d’études politiques de Paris. Vous pouvez également écouter l’entretien au format audio : Cumul des mandats, le piège, par Guy Carcassonne. Abolition du cumul des mandats : une bonne nouvelle pour la démocratie? >>> Ce qui nous arrive avec : On le comprend dès son titre, ce roman sera placé sous le double signe de l'amour (une femme aimée qu'il faut oublier) et de la littérature (sur les traces lointaines d'Ulysse -avec un voyage autour du Bassin méditerranéen-, mais aussi de Rabelais -qui accompagne le personnage tout au long de son périple).

Abolition du cumul des mandats : une bonne nouvelle pour la démocratie?

Un roman comique aux accents graves et émouvants, avec, comme toujours chez Denis Podalydès : l'autodérision, le comique de situation, l'analyse intérieure des faits, masquée d'un visage avenant et poli offert au monde. Le personnage de Gabriel, cet apprenti acteur, va aller de déconvenues en déconvenues, au cours d'un tournage qui le mènera en Grèce puis en Italie et en Espagne.

Réforme territoriale : un état des lieux. ▼ Voir le sommaire du dossier ▼ L’adoption des lois de décentralisation dites Defferre, au début des années 1980, marque un tournant dans l’histoire des municipalités, des départements et des régions françaises.

Réforme territoriale : un état des lieux

Cet événement est souvent associé au premier âge de la décentralisation, même si, en réalité, l’histoire des collectivités territoriales s’inscrit dans un long mouvement de reconnaissance du pouvoir local insufflé sous la Révolution française. La « révolution des mairies », chère à l’essayiste Daniel Halévy, remonte en effet au XIXe siècle, et la « République des communes », célébrée en grande pompe en 1889, 1900 et 1934, s’est affermie sous la Troisième République [1].

En France, les libertés locales seraient si « chéries » que l’on n’oserait en aucune manière s’en priver. Elles ont donné lieu à une sédimentation d’entités administratives et politiques, le fameux « millefeuille français » si souvent critiqué. Au sommaire de ce dossier : L’intercommunalité en question. À quoi servent les élections. Si, comme on le dit souvent, la « démocratie représentative » est en crise, il est important d’examiner ce qui constitue le socle théorique de ce régime – à savoir le lien entre « démocratie » et « élection ».

À quoi servent les élections

Cet ouvrage propose une série d’interrogations critiques sur les rapports qu’entretiennent élections et démocratie. À quoi servent les élections, PUF, 2013, 104 p., 8,50 €. Ce livre est présenté par Jon Elster, professeur à la Columbia University (département de science politique) et professeur honoraire au Collège de France. Dernière publication : Securities against Misrule : Juries, Assemblies, Elections (Cambridge University Press, 2013). Ce livre a été coordonné par Arnaud Le Pillouer, maître de conférences en droit public à l’université de Cergy-Pontoise. Ont contribué à ce livre Pierre Brunet, Jon Elster, Arnaud Le Pillouer, Pasquale Pasquino, Yves Sintomer et Michel Troper. Table Jon Elster : « Analyse néo-benthamienne des élections – et des assemblées élues » Annexes.