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How Social Media can Enhance Schools as Professional Learning Communities. The field of social media is a burgeoning area of communication, and one that educators cannot ignore. Facebook, Twitter, LinkedIn, Diigo, GooglePlus – these platforms for communication are not going to go away; and while there is a great deal of negative media surrounding their use, they can be harnessed to create myriad possibilities for schools as learning communities. Current research only proves the dominance of Social Media as a modern communication medium: This is the first of a series of posts planned in the area of social media and schools as learning communities. It is too big a topic to cover adequately in one post, and the value of social media tools as resources for learning is too great not to be addressed.

This post will consider what the term ‘social media’ connotes, and ways in which it may be used to overcome some of the obstacles schools face when attempting to develop a professional learning culture. Here’s how: 1. 2. 3. 4. Apprendre à questionner ? Quand Socrate peut encore être utile ! Les débats autour des compétences informationnelles des jeunes, leurs habiletés, leur naïveté, leur absence de sens critique sont entrés désormais dans le champ de la banalité. Ils acquièrent des connaissances « futiles » et pas des connaissances « utiles », déclarait un orateur lors de la conclusion du séminaire sur le manuel numérique organisé par le ministère de l’éducation les 20 et 21 janvier à l’ENS de Lyon. Ils ne maîtrisent pas réellement l’ordinateur disent les autres enseignants, il leur faut des cours d’informatique disent encore d’autres, fiers d’annoncer qu’ils ont obtenu une option informatique en terminale et que l’informatique entre à nouveau dans l’enseignement.

Renvoyons donc à la lecture du livre « la culture au pluriel » de Michel de Certeau (Points 1973 – 1987) ainsi qu’à celle du livre « Les nouveaux modes de comprendre » de Pierre Babin et Marie France Kouloumdjian (Le Centurion 1983). A suivre et à débattre… Développer la culture d'amateurisme. Bien que déçu par la lecture de cet ouvrage : « Le sacre de l’amateur, Sociologie des passions ordinaires à l’ère du numérique », (Patrice Flichy, Seuil, la république des idées 2010), le sujet en est particulièrement important.

Et l’auteur à grandement raison de nous mettre en évidence cette montée progressive de « l’intelligence » humaine caractérisée par ce signe que constituent ces amateurs qui oeuvrent de plus en plus, en particulier sur le Net. Certes l’amateurisme n’est pas nouveau et l’expression a longtemps eu une connotation ambivalente : noble pour le sport (jusqu’à une époque récente), médiocre par rapport au monde professionnel. Ce qui est nouveau c’est donc la possibilité pour les amateurs de développer l’objet de leur amateurisme dans des activités et ou des communautés appuyées sur le web. La première caractéristique de cette évolution est la remise en cause des professionnels par les amateurs. Eduquer à l’amateurisme est-ce possible ?

A débattre. Henry Jenkins. Les compétences technologiques, critère d'embauche fondamental. Détenir des connaissances dans le secteur high-tech est désormais considéré comme un pré requis par un nombre important des entreprises qui recherchent de jeunes recrues. Près de 40 % de grandes entreprises interrogées aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Chine et au Brésil considèrent les capacités en IT, mobilité et réseaux comme étant les plus importantes pour des étudiants entrant dans la vie active.

Voilà ce qu'explique une étude menée par GEMS Global Partnership Schools. "Les chefs d'entreprise ont tous eu un choix à faire : ils devaient dire ce qu'ils considéraient comme nécessaire : avoir des compétences technologiques, linguistiques, techniques, être autonome, ouvert à l'innovation ou capable de travailler avec des personnes de tous horizons", déclare Manny Rivera, leader de l'étude chez GEMS.

"La plupart a mentionné le premier choix comme le plus important". A noter que l'ouverture à l'innovation arrivait en deuxième position chez les firmes américaines. Internet, la lutte des classes. Quand on parle de fracture numérique on est obligé de penser à d’autres fractures, fractures sociales, fractures culturelles… En effet la fracture numérique n’est pas un en soi isolé des autres éléments au contraire même, il semble bien que la fracture numérique soit en train de devenir un amplificateur des autres fractures. Or la problématique de l’éducation au numérique ne peut être isolée du reste et le monde scolaire aurait tout à gagner à le réfléchir dans ce cadre pour définir la place à donner à ce numérique (digital ?)

Dans les établissements scolaires. Avec le livre, il y avait évidence, on ne souciait pas des autres fractures, car le livre était « égalitaire » à l’école (gratuité des manuels), avec le numérique la question se repose d’une autre manière, mais pas si éloignée que cela. Que peut donc faire le numérique dans tout cela ? Avec le livre et plus généralement l’écrit, les fractures semblaient moins visibles. Ni l’un ni l’autre.

Un débat à suivre.