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1. Objection de conscience

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Objection de conscience. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Plaque dédiée aux objecteurs de conscience, Londres, . L'objection de conscience est un acte personnel de refus d'accomplir certains actes allant à l'encontre d'impératifs religieux, moraux ou éthiques dictés par sa conscience. Ce refus peut aller jusqu'à désobéir aux lois. À l'origine l'objection de conscience conduisait à refuser de participer aux guerres. Ces objecteurs se considèrent comme des pacifistes ou des antimilitaristes.

Mais l'objection de conscience concerne aujourd'hui plus généralement des questions touchant à la société ou à l'économie. Le 15 mai est considéré, par les associations de défense de l'objection de conscience, comme une journée internationale en faveur de cette cause, depuis 1986[1]. Objection à la guerre et à sa préparation[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] La constitution de Pennsylvanie (États-Unis) donne dès septembre 1776 le droit à l'objection de conscience[2]. FOR INTÉRIEUR ET LIBERTÉ DE CONSCIENCE. Protection of Conscience Project. Proposition de loi pour un droit à l'objection de conscience. Document mis en distribution le 19 mars 2008 Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 29 janvier 2008. pour un droit à l’objection de conscience à l’expérimentation animale, (Renvoyée à la commission des affaires économiques, de l’environnement et du territoire, à défaut de constitution d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.)

PAR M. Député. Si l’on s’en tient conformément à la Déclaration universelle des droits de l’homme et à la Convention européenne des droits de l’homme : toute personne a droit à la liberté de conscience. Aussi la loi devrait-elle reconnaître un droit à l’objection de conscience à l’expérimentation animale, sur des critères éthiques. Ce droit existe déjà aux Pays-Bas où chaque étudiant peut refuser de pratiquer des expériences sur animaux pendant sa formation, l’université veillant, dans ce cas, à procurer une formation alternative aux étudiants. « Art. . © Assemblée nationale.