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Magazine AVA Septembre 2015. Gmail. L'impact de la crise sur la relation à l'Europe. En ce mois de janvier 2013, un anniversaire passe largement inaperçu : le Danemark souffle les 40 bougies de son adhésion à l’Union européenne, en même temps que le Royaume-Uni et l'Irlande.

L'impact de la crise sur la relation à l'Europe

C’est donc l’occasion de prendre un moment pour se demander ce qui, en quarante ans, a changé ou non dans les relations entre Copenhague et Bruxelles. Le Danemark, au départ motivé par le projet européen en raison d'un pragmatisme économique, a-t-il vu son positionnement dans l'Union évoluer au cours du temps, particulièrement depuis le début de la crise ? Une adhésion motivée par un pragmatisme économique plutôt qu'un idéalisme européen Le Danemark a rejoint l'Union européenne dès la première vague d'élargissement (1973), à la suite du référendum du 2 octobre 1972 au cours duquel 63,3 % des Danois avaient dit "ja". Initialement, le Danemark avait préféré suivre la voie ouverte par le Royaume-Uni, celle de l'Association européenne de libre-échange (AELE).

Le dilemme atlantisme v/s continentalisme. La dette publique des Etats de l'Union européenne. Depuis 2009, les déficits budgétaires des Etats européens ont explosé, outrepassant de loin le critère de convergence du Pacte de stabilité et de croissance (3% du PIB) que doivent respecter les membres de la zone euro.

La dette publique des Etats de l'Union européenne

La dette publique, qui représente la dette de l’Etat, c’est-à-dire l’ensemble des emprunts contractés par l’État, ne doit pas être confondue avec le déficit public qui est un solde annuel négatif entre des ressources et des dépenses. Par conséquent, la dette publique a fortement augmenté et dépasse elle aussi dans la plupart des Etats la limite de 60% du PIB définie dans ce même pacte. Fin 2013, les plus bas niveaux de dette publique par rapport au PIB ont été relevés en Estonie, en Bulgarie et au Luxembourg. Le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (2012)

Son nom de code est "TSCG".

Le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (2012)

Plus communément appelé "Pacte budgétaire européen", le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l'Union économique et monétaire vise à contraindre les Etats de la zone euro à financer leurs dépenses par leurs recettes et donc à limiter le recours à l’emprunt. Signé le 2 mars 2012 par 25 Etats membres de l’UE (tous sauf le Royaume-Uni et la République tchèque), ce nouveau traité est entré en vigueur le 1er janvier 2013. Il soulève plusieurs questions.

[Revue de presse] Croissance : une embellie "mitigée" pour la zone euro en 2014 et 2015. "La reprise gagne du terrain en Europe, après le retour à la croissance intervenu au milieu de l'année dernière.

[Revue de presse] Croissance : une embellie "mitigée" pour la zone euro en 2014 et 2015

Le renforcement de la demande intérieure cette année devrait nous aider à obtenir une croissance plus équilibrée et durable". C'est ce qu'a indiqué le commissaire européen en charge des Affaires économiques, Olli Rehn [La Tribune], suite au rapport de la Commission rendu public hier. La presse revient sur les tendances qui se dégagent entre les différents pays de la zone euro. Si la Commission prévoit une croissance de l'ordre de 1,2% en 2014 et de 1,8% en 2015, les chiffres de l'inflation ne sont pas aussi réjouissants puisqu'ils devraient rester entre 1,0 et 1,3 % [Les Echos], soit en dessous de l'objectif de 2% fixé par la Banque centrale européenne (BCE).

Toutefois, Le Point indique que "Bruxelles doute d'un scénario de déflation en Europe". L'Italie fait office d'élève moyen. Enfin, la France occupe une place bien particulière dans les prévisions. Crise de la dette dans la zone euro. La crise de la dette dans la zone euro désigne une suite d'événements financiers qui affecte, depuis le début de l'année 2010, les économies de 19 États membres de l'Union européenne, dont la monnaie de référence est l'euro, dans le sillage de la crise financière de 2007-2010.

Crise de la dette dans la zone euro

Pour la première fois depuis 2007 et pour l'ensemble des comptes publics de la zone euro, la dette baisse lors de l'année 2013, annonçant une sortie de crise[1]. Causes de la crise[modifier | modifier le code] Causes structurelles[modifier | modifier le code] Raisons liées à la théorie des zones monétaires optimales[modifier | modifier le code] Depuis les travaux de Robert Mundell dans les années 1950, pour la théorie économique, des pays n'ont intérêt à avoir une monnaie commune que si[2] : ils sont intégrés économiquement ;leurs économies ne réagissent pas trop différemment aux chocs économiques ;il existe des mécanismes aptes à remédier aux divergences existantes ou pouvant apparaître.

Un plan pour mettre fin à la crise de la dette. Les compétences de la BCE. "L'objectif principal du Système européen de banques centrales (SEBC) est de maintenir la stabilité des prix"(art. 282, §2 TFUE).

Les compétences de la BCE

Pour évaluer la stabilité des prix, la BCE se fonde sur deux critères: l'évaluation de la masse monétaire en circulation et les perspectives d'évolution des prix. Pour déterminer l'inflation, qui doit être inférieure à 2%, plusieurs indices sont pris en compte: salaires, taux d'intérêt, indices des prix... La crise de la dette en zone euro est-elle terminée ?

Chronologie : La crise en Europe (2008 - 2013) Situation économique de l'Europe en 2008 Taux de croissance de l’UE à 27 sur l’année : 0,3% (zone euro : 0,4%)Dette publique : 62,3% du PIB (zone euro : 69,9%)Déficit public : 2,4% du PIB (zone euro : 2%)Chômage : 7,1 % (zone euro : 7,6%) Juillet La Banque centrale européenne (BCE) augmente son taux directeur (le taux d’intérêt payé par les banques à la BCE pour se refinancer) de 4 à 4,25%.

Chronologie : La crise en Europe (2008 - 2013)

Le taux de change avec le dollar s’établit à un niveau historiquement haut (1 euro = 1,6$). Septembre L’économie irlandaise est la première à entrer en récession et son PIB recule de 3,5%, le déficit public atteint 7,2% du PIB, explosant la norme des 3% imposée par le traité de Maastricht.15 septembre : La banque d’investissement multinationale Lehman Brothers fait faillite et n’est pas sauvée par les États-Unis. Octobre Décembre. » Blog Archive » Le rôle de la Banque centrale européenne dans la crise financière. Le rôle de la Banque centrale européenne dans la crise financière.

» Blog Archive » Le rôle de la Banque centrale européenne dans la crise financière

Introduction. « La Banque Centrale Européenne est « l’alternative principale » pour lutter contre la contagion de la crise de la dette en zone euro », ces propos tenus par Pier Carlo Padoan, secrétaire général adjoint de l’Organisation de coopération et de développement économiques, témoigne du rôle accru conféré à cette institution en période de crise financière. Le transfert de la politique monétaire au niveau de la Communauté européenne a nécessité des modifications substantielles du cadre européen régissant l’activité de banque centrale. La création d’une nouvelle organisation monétaire supranationale, la Banque centrale européenne (BCE), et l’intégration des banques centrales nationales (BCN) dans un système européen de banques centrales (le SEBC) et son sous-ensemble, l’Eurosystème, illustrent le passage au stade supranational de l’activité de banque centrale en Europe.

I. A. 1. De montants importants. 2. 3. 2. Arnaud Lechevalier » Blog Archive » La crise de la zone euro, la BCE et les économistes allemands. Avant le (deuxième) sommet de l’euro, on revient ici sur les réponses faites récemment par deux économistes de la Banque Centrale Européenne (BCE) aux critiques émises par une large majorité de leurs collègues allemands, dans un manifeste publié en début d’année, à l’égard de la création du Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF) et de la politique de rachat d’obligations publiques par la Banque Centrale Européenne.

Arnaud Lechevalier » Blog Archive » La crise de la zone euro, la BCE et les économistes allemands

Les travaux de l’Institut für Makroökonomie und Konjunktur offre une perspective critique alternative sur l’action conduite à l’échelle européenne à l’égard de la « crise grecque ». L’appel des économistes allemands contre la gestion de la « crise de la dette » en Europe Un problème de « d’aléa moral » ? Les économistes allemands écrivent dans leur manifeste : « il est donc nécessaire d’adopter une stratégie à long terme.

A nos yeux, celle-ci implique d’autoriser un Etat à se déclarer insolvable et à restructurer sa dette. Les risques et mécanismes de contagion. Culture.univ-lille1.fr/fileadmin/lna/lna59/lna59p40.pdf. Questions à Patrick Artus - La crise de la dette : une chance pour l’intégration européenne ? - Dossiers. Patrick Artus est économiste, directeur de la recherche et des études de Natixis.

Questions à Patrick Artus - La crise de la dette : une chance pour l’intégration européenne ? - Dossiers

Entretien réalisé en septembre 2012. Comment en est-on arrivé à la situation actuelle d’endettement massif des États ? Tout d’abord, il faut séparer le cas de la Grèce de celui des autres pays. La Grèce avait un déficit public considérable, caractéristique d’une mauvaise gestion publique, bien avant 2007. Tous les autres pays ont développé des déficits publics en réponse à une crise de désendettement du secteur privé. Pour la première fois depuis 2007, la dette de la zone euro baisse. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marie Charrel C'est une bonne nouvelle. D'après les chiffres publiés par Eurostat, mercredi 22 janvier, la dette publique de la zone euro s'est établie à 92,7 % du PIB à la fin du troisième trimestre 2013, contre 93,4 % au trimestre précédent. « Il s'agit de la première baisse en termes absolus depuis le quatrième trimestre 2007 », précise l'office des statistiques européennes.

Pour l'ensemble de l'Union européenne, le ratio est en revanche en hausse, passant de 86,7 % à 86,8 % du PIB. Dans le détail, la dette publique a continué de grimper dans plusieurs des pays membres de la zone euro : Estonie (9,8 % à 10 %), Grèce (168,8 % à 171,8 %), Espagne (92,2 % à 93,4 %), Chypre (98,6 % à 100,6 %), Luxembourg (23 % à 27,7 %) et Autriche (75,2 % à 77,1 %). La crise des dettes souveraines - Formation bourse. Dossier Formation Bourse.