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Evolution des taux d'interet 500 mots

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BCE: Les conséquences économiques du faible niveau des taux d’intérêt. Mesdames et Messieurs Je suis heureux de me trouver ici, au CIMB. Ces dernières années, les taux d’intérêt directeurs ont été réduits à des niveaux exceptionnellement bas. La principale raison du maintien de conditions monétaires très accommodantes est le désir d’éviter le risque d’une dépression économique et de contrer les pressions déflationnistes.

Dans le même temps, si l’on considère les perturbations financières qui ont conduit à ce qu’on appelle couramment la « Grande Récession », l’abaissement des taux d’intérêt a contribué à contrebalancer l’augmentation excessive des coûts d’emprunt due à un élargissement des primes de risque financier. De ce point de vue, les mesures de politique monétaire ont été favorables aux emprunteurs. La corrélation entre ces deux faits – faible niveau des taux directeurs et faible niveau des rendements des actifs financiers sans risque – pourrait laisser penser à un lien de cause à effet.

Niveau historiquement bas des taux directeurs . . . Conclusions . Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Cinq questions sur la baisse historique du taux directeur de la BCE. La Banque centrale européenne (BCE) a abaissé ce jeudi 7 novembre son principal taux directeur, à 0,25%. Jamais la BCE n'avait fixé son taux directeur à un niveau aussi bas. Depuis mai, il stagnait à 0,5%. Cette décision, qui a surpris les analystes et les marchés - le consensus tablait plutôt sur une annonce de baisse des taux en décembre - a été bien accueillie.

Le FMI a salué une décision "justifiée" face à une reprise "fragile". C'est quoi ce taux directeur? Le principal taux directeur de la BCE est l'outil central dont elle dispose pour influer sur l'octroi de crédits et contrôler l'évolution des prix en zone euro. Pourquoi la BCE a-t-elle décidé de l'abaisser à 0,25%?

La constellation économique actuelle, avec notamment une faible activité de crédit, suggère que la zone euro peut se trouver au seuil d'une "période prolongée d'inflation basse avant une reprise graduelle" de l'évolution des prix, a indiqué Mario Draghi lors de sa conférence de presse mensuelle. Baisse des taux d'intérêt par la BCE, les conséquences pour les ménages. Le Président de la BCE Mario Dragui a décidé de passer à l'acte alors que l'économie européenne est enlisée et que le taux de chômage dans la zone euro atteint des sommets : 12% de la population active est sans emplois dans l'Eurogroupe. On atteint 26% en Espagne, plus de 27% en Grece. Mario Dragui estime que le pacte pour la croissance de 120 milliards d'euros décidé l'an dernier par les 27 chefs d'Etats et de gouvernements européens est resté largement en-dessous des attentes, d'où cette tentative de relancer la machine en jouant sur la politique monétaire.

Le premier effet étant bien sûr la baise du coût du crédit pour les entreprises, à condition que les banques commerciales suivent le mouvement. Concrètement, outre ces grandes données macro-économiques, les particuliers, les ménages, sont-ils aussi concernés par la baisse des taux ? Il y a les conséquences directes et indirectes. Les conséquences négatives ? Effets d'une hausse des taux directeurs. - Econovie. Rappel : Les taux d'intérêts directeurs sont des taux gérés par les Banques Centrales. Ces mêmes Banques Centrales prêtent, en cas de besoin de liquidités, aux banques commerciales (type BNP, Société Générale). Les taux directeurs mesurent donc le coût de refinancement pour les banques commerciales. Le but d'une hausse des taux est bien souvent de calmer l'accord de crédits par les banques commerciales en alourdissant leur charge de refinancement.

En tant que véritable régulateur du prix du crédit, la hausse ou la baisse de ces taux va avoir des impacts conséquents (notre modèle économique est aujourd'hui basé sur le crédit). Ces impacts vont se transmettre à l'économie et aux marchés financiers à travers plusieurs canaux de transmission. Voici donc les principaux effets économiques et financiers d'une hausse des taux directeurs. - Canal des ménages et entreprisesEn ce qui concerne les ménages, avec des taux d'intérêts élevés, la tendance va se diriger vers l'épargne. Baisse des taux d'intérêt par la BCE, les conséquences pour les ménages. « Les conséquences apocalyptiques de la hausse des taux ! Mes chères contrariées, mes chers contrariens !

Avant de vous parler du fort mouvement de hausse concernant les taux d’intérêt dans le monde, je voulais juste revenir sur la baisse de l’or de la fin de la semaine dernière. Quelques jours après – il faut toujours un peu de temps pour que ces informations arrivent jusqu’à nous –, nous avons appris que les appels de marge avaient encore été augmentés, obligeant un certain nombre d’investisseurs à découvert à couper tout ou partie de leur position, ce qui entraîne toujours mécaniquement un afflux d’ordres ce qui pèse sur le cours de l’or.

Évidemment, ce n’est pas la seule mauvaise nouvelle pour l’or (à court terme j’entends), ni pour les actions quelle que soit leur place de cotation, ni pour les obligations ! La mauvaise nouvelle ? Les taux explosent à la hausse ! Avant de commencer à disserter sur ce sujet essentiel, voici quelques chiffres juste pour illustrer ce mouvement massif de hausse des taux : Les actions : Résultat ? Les obligations : Le volume des transactions progresse de 5,5 % en 2013 (Laforêt) 2014, l’année de tous les dangers. La fin de l’année sonne traditionnellement l’heure des bilans et des prévisions, et force est de constater que, depuis maintenant une bonne vingtaine d’années – langue de bois oblige –, c’est toujours la même rengaine sur le thème de la sortie de crise, de la reprise et du bout du tunnel que nous entonnent inlassablement gouvernements, économistes et médias patentés.

En ce qui concerne les perspectives de croissance à l’échelle mondiale, le FMI et à un degré moindre l’OCDE se veulent modérément optimistes, une reprise même poussive sera au rendez-vous. En France, le gouvernement se dit prudent, mais à en juger par ses hypothèses de travail pour l’élaboration du budget, 2014 devrait être (enfin) pour la France l’année du tournant. Qu’en est-il vraiment ? Rappelons d’abord qu’à l’exception de deux années (1998 et 1999), Bercy a toujours surestimé – parfois très largement – la croissance de l’année suivante, et c’est même là la cause immédiate du creusement de la dette publique. Dette des Etats : 2014, le retour de la hausse des taux d'intérêts.

La suspension des injections massives de liquidités de la Fed signe la reprise du marché des dettes des Etats via les banques centrales. Les taux d’intérêt devraient être en forte hausse sur 2014, pour retrouver des niveaux de 2011. La France pourrait subit de plein fouet cette remontée des taux, avec ce déficit toujours pas enrayé. (Actualité publiée le 29/12/2013, par Denis Lapalus (avec AFP)) : Cet article d'actualité, rubrique , est maintenant périmé. Afin de ne pas induire forfuitement en erreur les internautes, les articles d'actualités sont supprimés de notre site après le 30ième jour suivant leur publication.Sur le thème , nous vous invitons à découvrir les articles ci-dessous, rubrique A lire également...

Euribor, Taux Interets, Dette Souveraine, Finance, économie, Crise De La Dette. Un économiste allemand estime que les pays en crise doivent sortir de l'euro. La conclusion de Hans Werner Sinn, économiste allemand et président de l'institut Ifo, est sans appel : les Etats membres de la zone euro "souffrant d'un manque de compétitivité devraient pouvoir en sortir, temporairement". Dans une tribune traduite et publiée sur le site de La Tribune, il explique que "la crise est loin d'être terminée" et que "l'euro lui-même est responsable" de la débâcle européenne (chômage en hausse, production industrielle en berne, compétitivité très faible...) Depuis 1995, date à laquelle a été officiellement lancé le mouvement vers une monnaie commune, "trop de capital a été injecté au sud de l'Europe, ce qui a créé une bulle de crédit inflationniste dans ces pays. Un environnement réglementaire excessivement laxiste s'est avéré mortel, encourageant les banques d'Europe du nord à gonfler leurs bilans [...].

Lorsque la bulle a éclaté, elle a laissé dans son sillage des économies terriblement coûteuses qui avaient perdu leur compétitivité", poursuit-il. Immobilier : les prix ont continué à baisser en 2013. Pour la première fois dans l’histoire des crises en France, la valeur des logements n’a chuté que très lentement. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Isabelle Rey-Lefebvre Après le pic record atteint en 2011, les prix des logements ont continué à baisser lentement en 2013. C'est ce que laissent penser les chiffres publiés, lundi 6 janvier, par le réseau des 900 agences Century21. Au plan national, le prix moyen du mètre carré a fléchi de 1,8 % en un an, après un premier recul de 1,9 % en 2012. Il s'établit, pour les appartements, à 3 428 euros le mètre carré, soit son niveau de 2010.

Les transactions en revanche sont reparties à la hausse, de 3,1 % dans les agences Century 21, après une chute de 16,4 % en 2012. L'Ile-de-France n'échappe pas à la baisse (– 2,9 %). En province, les évolutions sont variables. Ceux qui sont déjà propriétaires vendent d'abord et achètent ensuite, nourrissant des stocks record de biens à vendre qui laissent aux acheteurs le temps de négocier. Le spectre de la déflation menace-t-il l'Europe? - Politique économique. On a longtemps cru que la déflation était un mal japonais. Cette dépression nerveuse économique, qui se traduit par une baisse généralisée des prix, est aujourd'hui aux portes de l'Europe, selon certains économistes qui tirent la sonnette d'alarme. C'est quoi la déflation? La déflation est une baisse généralisée et persistante des prix à la consommation.

A priori, c'est une bonne nouvelle pour le consommateur. Mais en réalité, c'est une incitation à reporter dans le temps la consommation et l'investissement ; la déflation est donc source de ralentissement économique. Face à des prix qui baissent, le consommateur diffère ses achats dans l'espoir de payer encore moins cher demain. Les commandes aux entreprises s'effondrent, elles réduisent par conséquent leur production, licencient, baissent les salaires... le cercle vicieux s'enclenche. L'autre mal de la déflation, c'est qu'elle alourdit le poids de la dette pour les ménages, les entreprises et les Etats.

Comment éviter la déflation? Banquier central, un métier en pleine évolution. Janet Yellen, qui se prépare à prendre la succession de Ben Bernanke à la tête de la Fed, va avoir l'année qui vient une grande préoccupation : comment poursuivre la décélération des achats d'actifs sans susciter une hausse des taux sur le marché de la dette, et par ricochet sur tous les compartiments du crédit ?

Car cela contrecarrerait les efforts de réduction du déficit, briderait la relance économique et accentuerait la détérioration de la situation des classes moyennes américaines. Le décor est en attendant dressé. Des répercussions sur les taux européens Une telle hausse, dont la poussée s'est déjà faite sentir comme un signe annonciateur, aurait inévitablement des répercussions sur les taux européens et noircirait un tableau qui n'en a pas besoin en alourdissant le poids de l'endettement.

La BCE tourne autour du pot La mission des banques centrales s'élargit Une longue période de taux zéro pour l'Europe Passer du "quantitative easing" au "qualitative easing" Une certaine confusion...