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Relation client

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SERVICE CLIENT. Le salarié est le moteur de la rupture mobile dans l'entreprise. Les salariés sont toujours plus demandeurs pour utiliser leurs appareils mobiles personnels au travail.

Le salarié est le moteur de la rupture mobile dans l'entreprise

Une majorité d'entreprises auraient l'intention de reconsidérer leur politique à ce sujet. Poussées par la demande croissante des employés eux-mêmes, de nombreuses entreprises accélèrent et s'ouvrent aux appareils personnels sur le lieu de travail. En effet, selon une étude de McKinsey, 56% des directeurs des systèmes d'information (DSI) interrogés ont reçu une forte demande de la part des employés pour soutenir l'usage d'un large éventail d'appareils mobiles. Et 77% des DSI ont l'intention de permettre aux salariés d'utiliser des appareils mobiles personnels pour accéder aux données et applications d'entreprise. Chaque innovation ouvre une nouvelle série d'utilisations et d'opportunités. 31% des DSI interrogés pensent que les tablettes devraient remplacer les ordinateurs portables dans les années à venir.

Vision et convictions. L’Académie du Service est incarnée par des femmes et des hommes animés d’une connaissance et d’un amour des métiers de service.

Vision et convictions

Ces professionnels forment leurs clients à la culture du service. Ils s’appuient pour cela sur trois convictions : la nécessité de replacer l’humain au cœur de la réflexion, de redonner du sens à son métier et de respecter le principe de la symétrie des attentions... Placer l’humain au cœur de la réflexion Toute relation de service est avant tout une relation humaine.

Or le professionnel la vit souvent seul et sans l’aide de son manager, face à son client attendant une réponse rapide. Cette dernière doit donc tourner toute son énergie vers lui : développer des objectifs et des outils lui donnant sens et cohérence. Sens du client - Le blog des professionnels du marketing client et de la relation client. Plaidoyer pour le déclenchement de la « guerre » sur les réseaux sociaux. Tout d’abord, oui le titre est un peu provocateur.

Plaidoyer pour le déclenchement de la « guerre » sur les réseaux sociaux

Je vais pouvoir vérifier l’impact de cette approche sur les visites du Blog voire les commentaires émis ;) La genèse de cet article tient au fait qu’aujourd’hui les entreprises présentes sur les réseaux sociaux commencent à intégrer de façon verticale la gestion des demandes des clients & prospects. Avec l’animation des comptes officiels Twitter, des fanpages Facebook, les entreprises ouvrent à leurs clients un nouveau canal de relation client à distance après avoir utilisé ces nouveaux vecteurs comme des solutions pour faire la promotion de leurs offres, la communication institutionnelle, l’engagement du dialogue, le traitement des réclamations. A voir donc également le succès des solutions (dîtes) SCRM qui gèrent la notion de verticalité (une pensée d’ailleurs à DIMELO), le train de la social relation client est en marche. 1.

Celles liées à la vie privée sont à mon sens à prendre en compte. ROI. L'annuaire du livre blanc dans tous ses états- Internet > Réseaux sociaux.

Crm

ENQUETES CLIENT. FAQ. Social CRM. BEST USE CASES. Community Managment & Social Medias. CHIFFRE. BEST PRACTICES. COMMUNITY MANAGEMENT. Les chiffres essentiels. Lors d’une conférence à l’occasion de la 25ème convention de l’AMARC, j’ai présenté un florilège des chiffres récents et disponibles sur le bouche-à-oreille pour les membres de l’Association pour le Management de la Réclamation Client.

les chiffres essentiels

Le bouche-à-oreille (BAO ou WOM "word of mouth") est la plus ancienne forme de communication commerciale. C’est paradoxalement la façon la plus rudimentaire de faire parler de soi et, avec le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication, la plus actuelle et la plus puissante. Pour avoir le sens du client, rien de tel que d'en maîtriser les enjeux, c'est ce que je vous propose avec ces 13 chiffres.

Le bouche-à-oreille est la première source d’information pour la décision d’achat des clients, selon une étude Accenture 2011. Les gens se fient d’abord, à hauteur de 76%, aux informations de personnes qu’ils connaissent. Un quart des consommateurs ayant eu une mauvaise expérience ont publié un commentaire négatif. 3 fois plus.