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L'édition scientifique

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Les revues de jeunes chercheurs à l’heure du Publish or Perish. Revues Scientifiques: séparer le bon grain de l'ivraie. Revues scientifiques: séparer le bon grain de l'ivraie Revue algérienne indexée au WoS La production scientifique demeure le principal instrument d'évaluation de la recherche scientifique.

Revues Scientifiques: séparer le bon grain de l'ivraie

La fin de l’édition scientifique française en SHS? Ce billet est un billet d’humeur qui fait suite à la parution d’une tribune dans Le Monde.

La fin de l’édition scientifique française en SHS?

Je ne suis pas spécialiste de l’accès ouvert, je m’exprime ici comme simple enseignant-chercheur, encore considéré comme (vaguement) jeune, et qui a sa petite expérience de la recherche dans un monde numérique. Pourquoi il faut distinguer clairement les archives ouvertes et l’édition électronique ouverte. PréambuleLe portail Cairn.info organise, le 14 octobre 2015, une rencontre à Paris avec les revues qu’il diffuse en ligne, afin de discuter de la Loi numérique en cours de préparation, dont l’article 9 prévoit un dispositif favorable à la diffusion en accès ouvert des résultats de la recherche financés sur fond public.

Pourquoi il faut distinguer clairement les archives ouvertes et l’édition électronique ouverte

Nous ne pouvons malheureusement pas être présents, étant pris par une réunion du Conseil scientifique d’OpenEdition. Les réunions du Conseil scientifique sont la clé de voûte de l’activité du Centre pour l’édition électronique ouverte, et notre présence y est requise. En revanche, nous adressons aux participants ce courrier, dont nous espérons qu’il sera lu à l’auditoire, pour porter à la connaissance des participant.e.s nos réflexions et positions sur la question, si importante, de l’accès ouvert.

Nous publions également ce texte sur le blog d’OpenEdition L’Édition électronique ouverte. Cher.e.s collègues, Revues « prédatrices » : un danger pour les chercheurs ! Le documentaliste américain, Jeffrey Beall, a conçu le blog Scholarly Open Access où il établit une liste des revues “prédatrices”.

Revues « prédatrices » : un danger pour les chercheurs !

Mise à jour très régulièrement, celle-ci recense actuellement plusieurs centaines de revues dans le but de mettre en garde les chercheurs. Avec l’essor de l’Open Access qui favorise la diffusion de la science en la rendant accessible à tous gratuitement, certains éditeurs ont mis en œuvre une stratégie pour profiter de ce système. Il s’agit de faire payer les auteurs, afin que leurs articles soient publiés, accessible en libre accès tout en leur faisant la promesse d’une visibilité accrue de leurs travaux, le tout dans des délais extrêmement rapides. Cependant, ces revues sont peu regardantes sur la qualité scientifique des futures publications, notamment à cause de nombreuses zones de flou (par exemple sur le comité éditorial,…). Ainsi, publier dans ces revues n’a aucune valeur scientifique. Revues “prédatrices” : comment les repérer ? Suite à la présentation du carnet à la première assemblée générale annuelle d’Hypothèses qui s’est tenue le 8 avril 2014 à Paris.

Revues “prédatrices” : comment les repérer ?

Eric Verdeil (Chercheur au laboratoire Environnement Ville Société, CNRS-Université de Lyon) a réagit à l’un des billets présentés “Revues « prédatrices » : un danger pour les chercheurs !” Et nous a contacté pour savoir si la revue suivante était une revue “prédatrice”. A partir du mail “générique” envoyé par l’éditeur de la revue, nous avons analysé la “fiche d’identité” de cette revue : -International Journal of Humanities and Social Science (IJHSS),

French Government Takes 172 Million Euros From Citizens To Pay Publisher For Access To Research Public Already Paid For Once. It's all about priorities.

French Government Takes 172 Million Euros From Citizens To Pay Publisher For Access To Research Public Already Paid For Once

Those providing the valuable research will have to learn to do without because the publishers must be paid. France may not have any money left for its universities but it does have money for academic publishers. While university presidents learn that their funding is to be reduced by EUR 400 million, the Ministry of Research has decided, under great secrecy, to pay EUR 172 million to the world leader in scientific publishing Elsevier. If the name Elsevier rings a bell, it's because the academic publishing giant has dragged its own dubious reputation through the mud with alarming frequency over the past several years. It has charged for access to open-access documents, despite being repeatedly informed of this "oversight" in its purchasing system.

As the Open Knowledge Foundation points out, France is paying multiple times for the same documents -- documents created for "free" by university researchers who don't see a cent of Elsevier's profits. L’´edition de revues scientifiques : une forme de marchandisation de la diffusion des connaissances. L’édition scientifique (2) : le temps de la révolte. Dans un premier article, nous avons décrit la domination d’un oligopole de quatre groupes sur l’édition scientifique mondiale.

L’édition scientifique (2) : le temps de la révolte

Cette domination a suscité des réactions pratiques des autres acteurs de ce secteur, - bibliothécaires, documentalistes et chercheurs - réactions qui ont progressivement donné naissance à un nouveau modèle éditorial, concurrent du premier, et plus conforme à l’idée que se font les chercheurs de leur communication. La première réaction face à la hausse du prix des revues a été, pour les bibliothécaires et documentalistes, de se regrouper pour constituer une force de négociation face aux grands éditeurs. Ces groupements d’achat s’appellent les consortiums. Les consortiums de bibliothèques existent depuis les années 1930 aux Etats-Unis, mais ils ont connu récemment, à la fin des années 1990 un nouveau développement pour les raisons indiquées plus haut. En France, le consortium Couperin est le plus important. Ecrire sur le ciel. L’édition scientifique (1) : un oligopole profitable. Le petit monde de l’édition scientifique qui permet aux chercheurs de communiquer entre eux n’est pas un monde à part.

L’édition scientifique (1) : un oligopole profitable

Ou en tout cas, il ne l’est plus depuis que quelques sociétés capitalistes ont compris qu’il y avait là de l’argent, beaucoup d’argent à gagner, et qu’elles s’y sont appliquées avec la délicatesse qu’on leur connaît. Rendre publique l'évaluation des SHS : les controverses sur les listes de revues de l’AERES. Du rififi dans l'édition scientifique. Les nouveaux enjeux de l'édition scientifique - Rapport 2014. Les nouveaux enjeux de l'édition scientifique. Le rapport de l'Académie des sciences sur les publications scientifiques, adopté le 24 juin 2014, vient de paraître : "Les nouveaux enjeux de l'édition scientifique" :

Les nouveaux enjeux de l'édition scientifique

Amis chercheurs, vous vous faites arnaquer trois fois (merci Elsevier) Le domaine de la recherche n’échappe pas à l’austérité : en dépit de nombreux effets d’annonce, les financements diminuent constamment depuis le début de la crise, le recours aux fonds privés se généralise, et comme ailleurs, les faillites se multiplient.

Amis chercheurs, vous vous faites arnaquer trois fois (merci Elsevier)

Et pourtant, la France s’apprête à reconduire un accord avec le géant de l’édition scientifique, Elsevier. Coût de l’opération : près de 190 millions d’euros, versés sur cinq ans. Les revues scientifiques en libre accès. Les revues scientifiques et les logiques de classement. Prestige des revues et logiques de classement dans cette nomenclature marque toujours clairement un changement de statut dans l’his-toire d’une revue , sans constituer pour autant un élément de prestige. L'édition scientifique française en sciences sociales et humaines - Rapport de synthèse. Document à télécharger : L'édition scientifique française en sciences sociales et humaines - Rapport de synthèse Document à télécharger : vol 2 "Economie de l’édition française de recherche en SHS" Document à télécharger : vol 3 "Analyse des populations de revues SHS et des catalogues des plates-formes" Une étude réalisée pour le TGE Adonis par le GFII Avec l'appui de M.V.

Etudes et Conseil. Comment se prémunir contre les éditeurs prédateurs. Les éditeurs prédateurs et le modèle du libre accès (open access) Depuis quelques années, un nombre sans cesse croissant de pseudoéditeurs opérant selon le modèle du libre accès (open access), sollicitent des articles auprès des chercheurs, du professeur titulaire à l'étudiant, via le bon vieux courriel. L’édition scientifique en linguistique (2): faire publier sa thèse. Suite de notre parcours de l’édition internationale en sciences du langage. La première partie est ici et la dernière, là. Geosciences Montpellier - CONFÉRENCE : Les enjeux de la publication scientifique en libre accès.