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Enilda

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Victimes, bourreaux et boucs-émissaires. .Portraits de victimes Devenir la victime n’est jamais liée au hasard. Le pervers la choisit en fonction de son statut social, de certaines caractéristiques physiques et surtout psychologiques. Il l’utilise comme un objet. Elle devient un bouc émissaire responsable de tout. Dans la société pour parler de ces choses-là, on pratique couramment la langue de bois. Dans le harcèlement (familial, de couple, en entreprise, institutionnel) il faut être vigilant car le sadique s’inscrit souvent dans un projet à long terme.

Pour certains auteurs comme Stoller, le maso choisit son sadique et c’est le sadique qui devient dépendant du scénario que le maso met en place. Victime comment s’en sortir ? Pour la victime, elle doit : 1/ Identifier correctement la situation pour la comprendre et l’analyser. 2/ Prendre conscience qu’elle joue un rôle dans la relation perverse. 3/ S’avouer les bénéfices secondaires qui découlent de cette situation perverse. 4/ Faire le deuil de la relation. La perversion narcissique. Le terme de Perversion narcissique a été évoqué pour la première fois par Paul Claude Racamier en 1986 dans Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique. Il reste peu utilisé en psychanalyse en dehors des frontières françaises car peu différent de la simple perversion. Qu’est ce que la perversion ? Savério Tomasella la définit comme « une anti-relation, elle ne fonctionne que sous le mode du rapport, elle ne produit que des rapports de force, donc de pouvoir : séduction, emprise, domination. [...]

La perversion joue sur tous les tableaux. Le pervers reconnait difficilement les qualités d’autrui et se surestime. Voici les ruses et stratégies dont usent un(e) pervers(e) narcissique (source : ) : Séduction, jeu sur les apparences Contrairement au pervers de caractère, qui irrite son entourage par ses revendications et nie radicalement l’autre, le pervers narcissique, lui, réussit à créer un élan positif envers lui.

Mimétisme. FAUTE N°3 | L'effet miroir du Pervers Narcissiques. L'objectif de ce travail est d'expliquer aux victimes de Manipulateurs pervers pourquoi et comment leur bourreau les affublent des défauts (ou tares) qu'ils ont eux même. Ces projections sont terriblement perturbantes pour les victimes qui sentent le malaise parfois physique mais n'ont plus de recul pour comprendre ce qu'il leur arrive. Empathie Les neurones miroirs seraient probablement à l'origine du malaise : le Pervers narcissique joue avec une qualité intrinsèque de l'être humain, sa capacité à se mettre à la place de l'autre et à projeter des émotions, des qualités , des défauts sur autrui.

Souvent pour mieux le comprendre, mais dans le cas présent, il s'agit pour le PN de blesser, retrousser, choquer, déstabiliser sa victime et surtout se déculpabiliser lui-même. En effet, il est connu que le pervers narcissique ne peut en aucun cas assumer un conflit intérieur, comme le remords ou les scrupules ! Il est donc vital pour lui de renvoyer à l'autre ce qui le dérange chez lui. Le tigre et l'araignée : Les deux visages de la violence. Auteur : Olivier Clerc Ces deux polarités sont étroitement liées : là où l'une est évidente, l'autre n'est jamais loin. Pour l'instant, toutefois, la société tend à stigmatiser les formes les plus évidentes de la violence (le Tigre), sans prendre en compte celles plus cachées (l'Araignée) dans lesquelles les premières prennent souvent racine.

L'auteur met en évidence ces deux polarités de la violence et leurs spécificités et montre leurs interactions au niveau individuel et collectif. Abordant enfin les attitudes à adopter face à la violence, il évoque un changement de paradigme relationnel, dans lequel la " lutte contre la violence " - symptomatique et inefficace à long terme - fait place à des stratégies permettant de désamorcer les deux polarités de la violence. Quatrième de couverture S’inspirant des travaux de Charles Rojzman, de Marie-France Hirigoyen et de Marshall B. Ces deux polarités sont étroitement liées : là où l’une est évidente, l’autre n’est jamais loin. Se situer face aux pervers narcissiques.