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Ville de partage

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Développement associatif. Les associations nantaises participent activement au bien-vivre des habitants. Elles sont aussi une composante essentielle de la démocratie et du développement local. La politique menée par la Ville de Nantes soutient les projets associatifs et les Nantais qui s'engagent à enrichir la vie de la cité, la vie de leur quartier. Entretenir des relations constructives et partenariales avec les associations est primordial, proposer des projets d'animation socioculturelle pour chaque quartier une nécessité. Et les usagers dans tout ceci ? Accompagner le développement associatif La démocratie, la liberté et la cohésion sociale sont des valeurs sur lesquelles la Ville s'appuie au quotidien. . (2009) souligne l'importance des consultations et du dialogue avec les associations et la société civile. L'activité des associations prend une importance économique avec, notamment, le développement de l'économie solidaire.

Les associations sont des forces de proposition incontournables. Contact. Espaces partagés, la nouvelle tendance pour acheter dans le neuf | Cogedim. Espaces partagés pour mieux vivre ensemble Le concept, inspiré d’Amérique du Nord, est mis en avant depuis quelques années par des promoteurs en quête d’offres novatrices dans les grandes villes. Cœur de cible de ces copropriétés d’un autre genre, les actifs accédant à la propriété. À l’heure du développement durable et de l’émergence du télétravail, le partage se veut dans l’ère du temps. Il favorise la convivialité à travers le tissage de (vrais) liens sociaux. C’est aussi un moyen pour les professionnels de valoriser des mètres carrés inutilisés en parties communes ou sur le toit, par exemple.

Espaces partagés : des coûts à répartir Le concept de partage vous tente ? En tout état de cause, le prix de vente au mètre carré doit rester proportionné par rapport à un programme neuf « classique » dans un quartier similaire. Espaces partagés : songez à la gestion et à l’utilisation Pensez à vous reporter au règlement de copropriété. L’immobilier neuf mise sur les espaces partagés pour séduire. Pourquoi il faut en finir avec l'open space. Remontez des cloisons ! Bruit, promiscuité, manque d'intimité : le travail en open space montre ses limites.

La preuve ? Toujours à l'avant-garde, la Silicon Valley commence à fragmenter l'espace de travail, après avoir été le fer de lance de l'open space. Les bureaux individuels à l'ancienne ne se multiplient pas pour autant. Tout est histoire de compromis : on crée des zones d'intimité au cœur des plateaux ouverts.

Le coût ? Certain. Dès 2013, Google n'a pas hésité à franchir le pas, notamment pour son siège de Tel-Aviv réalisé par le cabinet Camenzind Evolution : Chez Facebook aussi , les salariés peuvent se ménager un peu d'intimité pour se concentrer. L'idéal ? Choisir selon l'heure de la journée l'emplacement le plus adapté à ses besoins du moment, c'est la meilleure des configurations. Et la solution rêvée Evadez-vous un instant de votre open space bruyant pour visiter les bureaux de Google à Tel-Aviv : Au coeur du problème, la crise de l'intimité Et la réalité à ça : Louis Morice.

Un village à tous les étages. Viens chez moi, j'habite chez mes voisins. Habitat partagé : ils vont emménager, voici leur expérience. « Je t’ai apporté la recette du gâteau au chocolat dont on avait parlé. » « Qui va au Salon du bois ce week-end ? – C’est obligatoire pour ceux qui installeront un poêle ! » Un jeudi soir pluvieux de début de printemps, chacun commence à prendre place dans la salle communale de la maison des associations du quartier Saint-Joseph-de-Porterie, à Nantes. Marie-Louise, Ronan, Franck, Bruno et les autres se retrouvent une fois par semaine. Ils discutent charpente, tarif de rachat du photovoltaïque et serrurerie. Ils ne sont ni architecte ni promoteur mais se sont lancés, il y a cinq ans – pour certains – ou plusieurs mois – pour d’autres – dans le projet d’un habitat groupé.

Neuf familles (dont douze enfants) dont les membres sont âgés de quelques semaines, pour le petit dernier, à 70 ans. Toute la troupe doit emménager en janvier prochain. C’est en 2008 que l’idée de cet habitat a commencé à germer dans les esprits. . « Je ne connais même pas mes voisins » Eau de pluie et potager. Habitat participatif, la "copro" de demain ? Un nombre croissant de villes encouragent cette forme solidaire et engagée d’accès au logement. LE MONDE | • Mis à jour le | Laurence Boccara Une petite consécration. Encore embryonnaire en France, l’habitat participatif, souvent présenté comme la « troisième voie » du logement, va bientôt bénéficier de nouveaux cadres juridiques. Le projet de loi ALUR (accès au logement et un urbanisme rénové), en cours d’examen au Parlement, y consacre, en effet, un article (le numéro 22) qui l’officialise et lui donne les outils pour se développer. L’habitat participatif permet à des particuliers de réaliser ensemble une opération immobilière de cinq à vingt logements.

Ces personnes élaborent un projet composé d’espaces privés (les logements) et partagés (buanderie, salle de réunion ou des fêtes, chambre d’amis, etc.). Tous participent à la conception de l’immeuble et au choix des matériaux. . « On n’arrive pas sur ce type de projet par hasard. Bimby - Les «maisons iceberg» se multiplient à Londres - Creuser pour agrandir sa maison en l’étendant sous le jardin, et parfois même sous la rue. Apparue dès 1990, cette tendance s’est banalisée depuis la récession de 2008. Bienvenu sur l’un des nombreux chantiers d’agrandissement londoniens… par le bas.

Faute de pouvoir construire en hauteur, en raison des règles strictes imposées par les organes de conservation du patrimoine immobilier, de riches résidents optent pour creuser en sous-sols. Dans le quartier cossu de Westminster, des ouvriers s’activent, armés de pelleteuses, au fin fond de ce qui ressemble à une mine sous une luxueuse maison. Les machines finiront peut-être enterrées là, le coût de les remonter dépassant leur valeur – à en croire certains médias. Les entrailles de la capitale britannique font déjà office de cimetières pour un bon nombre d’entre elles.

Dommages structurels et nuisances sonores Droit de propriété contre droit à la tranquillité. Tri, chasse au gaspi, écoconception : Paris, laboratoire de l'économie circulaire - Les Echos. Politique Patrimoine : Dassault dans le collimateur de la justice + DOCUMENT - La Haute autorité pour la transparence de la vie politique a transmis à la justice son dossier sur le sénateur UMP qui aurait omis de déclarer...

High tech Orange lancera une nouvelle box internet en 2016 L’opérateur télécoms présente son plan stratégique à cinq ans, baptisé « Essentiels 2020 ». Asie - Pacifique Piratage : la Corée du Sud accuse le Nord d’avoir voulu... Séoul attribue à Pyongyang une cyberattaque contre l’opérateur de ses centrales nucléaires. A chacun sa stratégie face à l'auto-partage - Les Echos. Logements neufs : la mode des espaces partagés. Les promoteurs incluent désormais des salles des fêtes collectives, des terrasses communes, des espaces de « coworking »… Séduisant, à condition de définir en amont les règles de gestion et de bien en évaluer le coût.

LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Laurence Boccara Une terrasse commune sur le toit avec une cuisine extérieure, un studio à disposition dans l’immeuble pour loger ses proches, une buanderie collective et même une conciergerie. Bienvenue dans les nouveaux immeubles de logements neufs riches en espaces partagés. Livrées à partir de 2017, ces résidences d’un nouveau genre sont actuellement en cours de commercialisation. On les voit fleurir à Paris, Montreuil (Seine-Saint-Denis), Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Nantes, Marseille, Palaiseau (Essonne) ou encore sur l’Ile-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). « Il faut s’adapter à l’évolution des modes de vie. Partage des usages Coûts d’entretien principal écueil. L'innovation: une ville de partage ! - Le Blog Ouistock. Le collaboratif devient omniprésent en France. L’idée d’une ville intelligente, durable et innovante se dessine au fil des avancées technologiques. Plus qu’un simple concept, accompagner nos agglomérations vers le futur s’avère être un vrai défi nécessaire pour l’amélioration de la qualitéde vies des citoyens du monde que nous sommes tous.

La Sharing City devient progressivement une réalité. Mais à quoi ressemblera la ville de demain ? Monptitvoisinage La fin des déplacements Quiconque aurait du mal àimaginer une ville vide, dénuéde toute circulation, embouteillage ou autres sources de pollution sonore. Parallèlement, de nouvelles solutions de transports facilitent certaines de nos tâches quotidiennes. Des nouveaux lieux de relations sociales Les lieux de travail telles que nous connaissons aujourd’hui auront profondément étémodifiéd’ici quelques années.

Le retour du commerce local Les acteurs traditionnels en sont bousculés. Des résidences connectées. De la Wifi partout pour tous. Maxime Leroy presents Collaborative Cities.