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Economie numérique

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Un rapport parlementaire propose de mieux encadrer l'économie collaborative. Le député Pascal Terrasse propose de mieux encadrer l'économie collaborative en exigeant notamment plus de transparence fiscale pour des plateformes numériques telle que Airbnb ou Le Bon Coin, dans un rapport rendu public dimanche. Publié le Mis à jour le Le député Pascal Terrasse propose de mieux encadrer l'économie collaborative en exigeant notamment plus de transparence fiscale pour des plateformes numériques telle que Airbnb ou Le Bon Coin, dans un rapport rendu public dimanche.

«L'économie collaborative ce n'est pas l'ubérisation», affirme en préambule de son rapport M. Terrasse (PS/Ardèche), chargé en octobre par le Premier ministre Manuel Valls d'une mission sur les enjeux de ces plateformes, souvent perçues par les professionnels comme une forme de concurrence déloyale.

M. «L'économie collaborative n'est pas une zone de non droit», insiste le parlementaire, qui propose «d'assurer la contribution des plateformes aux charges publiques de la France». -«Clarification»- M. Mots-clés : Ce que cache le changement d'identité visuelle d'Uber. Il y a quatre ans, Uber changeait pour la première fois de logo… car son "U" rouge ressemblait un peu trop à celui de la chaîne de supermarchés française Super U ! Cette fois-ci, son nouveau changement de look est moins subi et doit refléter le changement de statut de l'entreprise.

Particularité : la refonte a été supervisée en interne, par le PDG Travis Kalanick lui-même, aux côtés de son responsable du design. La marque n'a pas consulté d'agences extérieures. Un Uber universel... et local Fini l'univers noir et argenté se rapprochant des codes du luxe. Uber ne veut plus mettre en avant son service de chauffeur privé, premium à ses débuts mais désormais de plus en plus démocratisé. Ses ambitions dépassent désormais le simple transport de personnes par des chauffeurs : il veut être un acteur global de la mobilité.

Cette volonté se traduit par un système graphique, combinaison d'un carré (le bit) et d'un rond (l'atome), déclinable à l'infini. Le kit Uber pour l'Inde... ... et pour l'Irlande. La Grande école du numérique distribue ses 171 premiers labels. Annoncée il y a exactement un an, puis lancée en septembre par le Président de la République, la Grande école du numérique est née réellement ce 3 février, porte de Clichy, dans l'amphithéâtre de la symbolique école 42. Les ministres Najat Vallaud-Belkacem, Myriam El Khomri et Patrick Kanner ont assisté, aux côtés de Xavier Niel, à la présentation des résultats chiffrés de l'appel à projets qui s'est clos le 19 octobre 2015. Dans le fond de la salle, un autre observateur attentif se réjouissait de l'annonce : Mounir Mahjoubi, le tout nouveau président du CNNum. 84 structures de formations concernées Pour postuler, il fallait proposer une formation courte et qualifiante aux métiers du numérique à destination plus particulièrement d'un public en difficulté, au chômage, sorti du système scolaire... 171 formations, associées à 130 lieux appelés pour l'occasion "fabriques du numérique", ont répondu aux critères.

Des structures nouvelles et des IUT 42, Simplon.co, Cisco... 587 emplois numériques supplémentaires pour la technopole Rennes Atalante. Rennes Atalante se porte bien. La technopole bretonne réalise tous les ans à la même époque un bilan chiffré des emplois nouveaux. Au cours des 12 derniers mois, 710 créations d'emplois nets ont été partagés entre les 337 entreprises évoluant dans les espaces d'Atalante. L'année précédente, 432 emplois nets avaient été créés.

Malgré les difficultés d'une dizaine d'entreprises et les fermetures des implantations de Renesas et d'Alcatel Lucent, Atalante poursuit donc sa croissance. Un ecosystème autour d'Orange et Technicolor A côté des groupes comme Orange et Technicolor, Rennes accueille des sociétés né ex-nihilo et qui ne cessent de progresser. 71% des entreprises ont leur siège social dans les espaces de Rennes Atalante, elles concentrent 36% des emplois. 26% des entreprises disposent à Rennes de filiales ou de bureaux et présentent des sièges sociaux extérieurs à la région.

La SNCF stoppe son opération avec Airbnb. Annoncé discrètement juste avant le week-end, le partenariat entre la SNCF (via sa filiale voyages-sncf.com) et AirBnB fait des vagues. Le site de vente en ligne de billets de train, qui compte 7 millions de visiteurs uniques par mois, devait proposer à ses clients de mettre en location leur logement pendant leur absence sur la plateforme AirBnB. Une façon pour eux de rentabiliser leurs déplacements... Cette offre, expérimentée pendant quelques mois avant un déploiement possible en 2016, fait hurler les syndicats des hôteliers, au premier rang desquels le Groupement national des Indépendants (GNI). Face à l’incompréhension créée par la promotion ponctuelle de Voyages-sncf.com avec AirBnB, Voyages-sncf.com a décidé d'arrêter l'opération en cours et de prendre le temps du dialogue avec l’ensemble des professionnels de l’hôtellerie afin d’analyser les conditions dans lesquelles les nouveaux modèles d’économie collaborative peuvent contribuer à la relance du tourisme en France.

Airbnb, Drivy : que change l’amendement sur l’information fiscale ? LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Sarah Belouezzane Louer son appartement à des touristes de passage pour financer un projet, monnayer l’usage de sa voiture pour arrondir ses fins de mois… Rien de plus facile avec les plates-formes de plus en plus populaires que sont Airbnb, Drivy ou feu UberPop. Avec la révolution numérique a, en effet, émergé toute une économie collaborative entre particuliers désireux de se passer d’intermédiaires et souhaitant améliorer leurs revenus. Seulement voilà, ces gains supplémentaires sont rarement déclarés et donc quasiment jamais imposés.

Une situation à laquelle le gouvernement souhaite remédier. Vendredi 11 décembre, l’Assemblée nationale a voté un amendement en ce sens au projet de loi de finances pour 2016. Décryptage de la mesure. Lire aussi : Économie collaborative : « La solution n’est pas dans un excès de réglementation » Que dit l’amendement ? Lire aussi : Airbnb : un bon « marchand de sommeil » Quel changement pour les plates-formes ? La future loi Lemaire inquiète les professionnels du numérique. Baptême du feu pour Axelle Lemaire. La secrétaire d’Etat chargée du numérique a présenté, mercredi 9 décembre, en conseil des ministres son projet de loi pour « Une République numérique ». Au cœur du texte, les données, l’or noir du numérique. « L’économie numérique tirera sa force de l’économie de la donnée. Il s’agit d’une ressource naturelle au même titre que l’eau ou le pétrole. A la différence près qu’il ne faut pas économiser les données, mais les ouvrir. Le texte sera discuté à l’Assemblée nationale le 19 janvier, avant d’arriver au Sénat au printemps, si, d’ici là, le calendrier n’est pas bouleversé.

Régulation des plates-formes Internet, récupération des données personnelles par les internautes, interdiction de scanner le contenu des mails, comme le pratique la messagerie Gmail financée par la publicité… A première vue, le projet de loi semble avoir été taillé pour contrecarrer la puissance des géants du Net (Google, Amazon, Facebook, etc.).

Le modèle Uber menacé jusque dans son fief californien. Le plan de Bercy pour que l'économie collaborative paie ses impôts. Europe 1<author id="964676" type="name">Noémi Marois</author> Bercy prépare actuellement une méthode pour normaliser la taxation des usagers des sites collaboratifs, selon des informations parues dans Les Echos mardi. Même si aujourd'hui, les particuliers sont censés déclarer ces revenus, rares sont ceux qui le font. D'où le souhait du gouvernement de renforcer la loi. Relevé annuel de revenus. Une franchise de 5.000 euros ? Un rapport attendu à la fin de l'année. Smart city: un projet pour l'île Maurice? Avec ses 1865 km2, l'île Maurice, située dans l'Océan Indien, affiche une densité démographique de 600 habitants par km2, soit 6 fois supérieure à la France.

Son taux d'urbanisation, qui frôle actuellement les 42% et se concentre sur la capitale Port Louis, ne va cesser d'augmenter d'ici 2050 pour atteindre probablement, les 50 à 60%. Pour faire front au problème, une véritable vision à court et moyen terme de l'aménagement du territoire. Le but? Faire en sorte que l'île conserve son bon vivre local tout en rayonnant à l'international par sa réputation de centre d'affaires innovant. Le concept de "smart cities" ou "villes intelligentes" fait écho au développement spectaculaire des NTIC.

Désormais, les infrastructures urbaines sont connectées en permanence pour faciliter les déplacements et optimiser les ressources naturelles et énergétiques. Vers une décentralisation maîtrisée de l'île Singapour : une inspiration pour Smart mauritius Un projet en connexion avec les attentes des Mauriciens.