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Aspartame

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Aspartame : pas de réévaluation des risques toxicologiques. Aspartame : l’Europe confirme l’avis français. L'aspartame dédouané par l'EFSA. Faut-il arrêter de consommer de l’aspartame ? « Il faut que j’arrête de boire du Coca Light ? » Telle est la question angoissée de mes collègues à laquelle il me faut répondre. Entre ces scientifiques qui vous ordonnent d’arrêter de consommer de l’aspartame et les autorités sanitaires qui continuent de le juger inoffensif, qui croire ? Le Réseau environnement santé (RES) organisait ce vendredi une conférence dans le but de « réévaluer les risques de l’aspartame » sur la base de « nouvelles données expérimentales et épidémiologiques. » Invité d’honneur, le docteur Morando Soffritti, directeur de l’Institut Ramazzini de Bologne (Italie) et dont les études sur les rats révolutionnent l’approche du risque imputé à l’aspartame. L’aspartame est l’édulcorant le plus utilisé au monde.

Il se retrouve dans des milliers de produits light tels que le faux sucre Canderel, le chewing-gum, les sodas... et compterait 200 millions de consommateurs réguliers. Quelle est la bonne dose ? Quelle nouveauté dans les études ? Peut-on remplacer l’aspartame ? Les boissons "light" et l'aspartame provoqueraient des naissances avant terme - Médecine & Santé - AGROALIMENTAIRE - ENVIRONNEMENT - SANTE - - Les Echos.fr. Les boissons "light" et l'aspartame pointés du doigt - Société.

Les boissons "light" et l'aspartame seraient dangereux pour les femmes enceintes. Les édulcorants chimiques, souvent épinglés, provoqueraient des naissances avant terme chez les femmes et des cancers chez les souris mâles, selon deux études récentes dont les scientifiques du Réseau environnement santé (RES) se font l'écho. L'aspartame, édulcorant le plus utilisé au monde (Canderel, Nutrasweet...), se retrouve dans plus de 6 000 produits, du chewing-gum aux boissons "light", dont plus de 500 produits pharmaceutiques. Selon le RES, 200 millions de personnes en consommeraient "régulièrement". Chez les enfants et les femmes en âge de procréer, l'absorption quotidienne est estimée à 2,5 à 5 mg par kg de poids corporel.

La dose journalière admissible établie par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) est de 40 mg/kg. L'étude, conduite par le Danois Thorhallur Halldorsson, sur près de 60 000 Danoises enceintes, est parue fin 2010 dans l'American Journal of Clinical Nutrition. "Ce ne sont pas des produits anodins. (...) L’aspartame une nouvelle fois accusé. L’aspartame, jugé non coupable (au bénéfice du doute)