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Eliasait

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NoSQL : le choix difficile de la bonne base (et comment bien le faire) Les bases de données NoSQL ont été conçues pour résoudre les problèmes de traitements de données en volume, multi-sources et multi-formats, dans des environnements Big Data. Toutefois aucun distinguo n’est fait en matière de volume ou diversité des données lorsqu’on parle de technologies NoSQL, perdant ainsi les DSI et les responsables de la donnée au milieu de nombreuses alternatives, difficiles à évaluer. « Le marché est aujourd’hui rempli de bases de données NoSQL – je pense que nous sommes confrontés à deux ou trois d’entre elles tous les jours », ironise Michael Simone, en charge de l’ingénierie de la plateforme CitiData de Citigroup, lors d’une présentation réalisée à l’occasion de la conférence MongoDB World.

En réalité, Citi a circonscrit volontairement les usages de la base MongoDB, comme alternative NoSQL aux bases relationnelles, à un petit nombre d’applications, explique-t-il. Les bases de données orientées document : une structure mixe Les bases clé/valeur : la simplicité. Qu’est ce que le NoSQL ? Merci de votre visite. Vous semblez être nouveau ici, peut être seriez vous intéressé de souscrire à mon flux RSS. A première vue, le terme NoSQL semble définir un univers catégoriquement anti SQL. En réalité, NoSQL est un acronyme que l’on traduit de plus en plus par Not Only SQL , bien qu’initialement le terme semblait vouloir dire ‘pas de langage SQL pour manipuler les données’ . Il s’agit d’un concept qui émerge véritablement depuis 2009 et qui propose, non pas un remplacement, mais une alternative aux modèles de bases de données relationnelles classiques.

Historique C’est en 1988 que le terme à été inventé par Carlo Strozzi qui présentait ça comme un modèle de base de donnée plus léger et sans interface SQL. Pourquoi cette alternative ? Parmis les utilisateurs affichés de systèmes de bases de données type NoSQL citons: Google avec une implémentation nommée BigTable,Digg, Twitter utilisent CASSANDRA, un projet développé par Facebook,Amazon utilise SimpleDB,Linkln à développé Voldemort. 10 minutes pour comprendre...NoSQL - Blog de David MASCLET. Le partitionnement Le point de contention des applications est bien souvent la base de données qui lorsqu'elles sont transactionnelles, distribuées, ne permettent pas facilement le passage à l'échelle.

Que l'on fasse du lock optimiste, pessimiste ou transaction à deux phases, on couple toujours les données entre elles, ce qui empêche la sérialisation. En plus, pour la sécurité de fonctionnement, il faut que les données soient répliquées, se qui complique encore un peu plus les choses. Dans les architectures modernes, la validation du modèle se fait désormais dans les objets, au niveau de l'applicatif. Cela permet de soulager la base et de ne se concentrer que sur les requêtes. des mouvements comme le DDD ont remis au gout du jour les objets avec du code métier plutôt que des POJOs. Lorsque l'on veux scaler une base de données,une première solution peut être le partitionnement : Le théorème de CAP En voici les 3 principes : les sites ont fait leur choix !

Les 4 types de bases NoSQL conclusion. Une base NoSQL: Cassandra - Le NoSQL. Définition Le NoSQL (Not only SQL) désigne une catégorie de base de données apparue en 2009 qui se différencie du modèle relationnel que l'on trouve dans des bases de données connues comme MySQL ou PostgreSQL. Ceci permet d'offrir une alternative au langage SQL. Pourquoi le NoSQL ? Le NoSQL est apparu afin de contrer la dominance des bases de données relationnelles dans le domaine de l'internet. Les familles de NoSQL Le NoSQL regroupe 4 grandes familles de base de données qui permettent d'offrir une représentation différentes des données, chacune dispose d'avantages et d'inconvénients en fonction du contexte dans lequel on souhaite l'utiliser.

Parmi celle-ci on trouve les bases de données clé-valeur. La représentation en clé-valeur est la plus simple et est très adaptée aux caches ou aux accès rapides aux informations. Il existe ensuite les bases de données orientées colonnes. Il y a ensuite les bases de données orientées document. Pour finir il existe les bases de donées orientées graphe. Le NoSQL est-il l'avenir des bases de données ?

Pour comprendre la pertinence des solutions NoSQL la meilleure stratégie consiste à comprendre, dans un premier temps, ce qui assuré le succès et la pérennité des bases relationnelles. Quelles ont été les contraintes d'exploitations qui on changé la donne ? Cette chronique propose une brève classification de ces nouveaux outils et des cas d'usages typiques Bases relationnelles, les raisons d’une domination Voici bientôt un demi-siècle que les bases de données relationnelles règnent sans partage sur l’informatique de gestion, en contraste flagrant avec l’instabilité technologique qui caractérise en général ce secteur.

Paraphrasant L. Kronecker, un mathématicien du 19ème siècle qui forgea l’aphorisme célèbre « God made the integers, all else is the work of man », R. Rappelons brièvement ici ces atouts : Les zones d’ombres cependant ne manquent pas et viennent nuancer quelque peu le tableau précédent. Le dogme remis en question 1. 2. 3. 4. Pourquoi et quand choisir une solution NoSQL ? Base de données NOSQL : Que sont les bases de données NoSQL ? Principe des bases de données NoSQLL’émergence du Big Data et des bases NoSQL Les Bases de données NOSQL : Définition : les bases de données relationnelles se prêtent mal aux exigences des applications massivement parallèles exploitant de grandes quantités de données. Les bases de données NoSQL (Not Only SQL) marquent une rupture assez brutale avec la manière de concevoir les schémas de données que l'on pratique depuis (déjà !)

Quelques décennies. Pourquoi NoSQL ? Le langage SQL règne en maître sur les bases de données relationnelles depuis quelques décennies. Principes et structures de données Principes : NoSQL se base sur des expérimentations pratiques pour répondre à des besoins concrets. Les structures : de données Entre le relationnel et le NoSQL, il y a des conceptions fondamentalement différentes de la structure des données. La plupart des moteurs NoSQL manipulent des agrégats. Le langage SQL L’émergence du Big Data et des bases NoSQL. NoSQL : 5 minutes pour comprendre. NoSQL signifie “Not Only SQL”, littéralement “pas seulement SQL”. Ce terme désigne l’ensemble des bases de données qui s’opposent à la notion relationnelle des SGBDR.

La définition, “pas seulement SQL”, apporte un début de réponse à la question “Est ce que le NoSQL va tuer les bases relationnelles?”. En effet, NoSQL ne vient pas remplacer les BD relationnelles mais proposer une alternative ou compléter les fonctionnalités des SGBDR pour donner des solutions plus intéressantes dans certains contextes. Mais pourquoi le NoSQL ? Le premier besoin fondamental auquel répond NoSQL est la performance. En effet, ces dernières années, les géants du Web comme Google et Amazon ont vu leurs besoins en termes de charge et de volumétrie de données croître de façon exponentielle. Et c’est pour répondre à ces besoins que ses solutions ont vu le jour. Mais le théorème du CAP précise aussi que seulement deux de ces trois contraintes peuvent être respectées en même temps. Conclusion. NoSQL. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En informatique, NoSQL désigne une famille de systèmes de gestion de base de données (SGBD) qui s'écarte du paradigme classique des bases relationnelles.

L'explicitation du terme la plus populaire de l'acronyme est Not only SQL (« pas seulement SQL » en anglais) même si cette interprétation peut être discutée[1]. La définition exacte de la famille des SGBD NoSQL reste sujette à débat. Le terme se rattache autant à des caractéristiques techniques qu'à une génération historique de SGBD qui a émergé à la fin des années 2000/début des années 2010[2]. D'après Pramod J. L'architecture machine en clusters induit une structure logicielle distribuée fonctionnant avec des agrégats répartis sur différents serveurs permettant des accès et modifications concurrentes mais imposant également de remettre en cause de nombreux fondements de l'architecture SGBD relationnelle traditionnelle, notamment les propriétés ACID.

Théorie[modifier | modifier le code] Les types de données en NoSQL. Découverte des bases de données NoSQL-IT. En réaction au modèle dominant, les bases de données relationnelles et le langage SQL, un nouveau genre de systèmes de gestion de bases de données s'est développé : les moteurs NoSQL. Ce terme générique regroupe des moteurs rapides qui travaillent en mémoire et des moteurs destinés aux gros volumes qui distribuent leurs données à travers un cluster de serveurs. Ils offrent plus de souplesse et de performances, mais cela ne veut pas dire qu'il faut les utiliser pour tout, et qu'ils sont supérieurs aux moteurs relationnels traditionnels ! Il faut simplement savoir quelles sont leurs forces et leurs faiblesses pour apprendre à les choisir et à les utiliser quand cela a du sens.

C'est donc le but de cette formation de Rudi Bruchez ! Vous comparerez les choix techniques et les particularités des moteurs NoSQL avec la présentation de trois moteurs parmi les plus populaires et les plus représentatifs. Qu'est-ce que le NoSQL ? Les bases orientées documents Les bases distribuées en NoSQL. Le NoSQL. Focus sur MongoDB. Introduction aux bases de données NoSQL.