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Musique - articles à conserver

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Roland TB-303. The Roland TB-303 Bass Line is a bass synthesizer with built-in sequencer manufactured by the Roland Corporation from 1982 to 1984 that had a defining role in the development of contemporary electronic dance music. History[edit] Features[edit] The TB-303 has a single audio oscillator, which may be configured to produce either a sawtooth wave or a square wave. The square wave is derived from the sawtooth waveform using a simple, single-transistor waveshaping circuit.[1] This produces a sound that is subtly different from the square waveform created by the dedicated hardware found in most analog synthesizers.

It also includes a simple envelope generator, with a decay control only. The TB-303 sequencer has some unique features that contribute to its characteristic sound. The instrument also features a 'simple' step-time method for entering note data into the 16-step programmable sequencer. Usage[edit] Software[edit] Clones[edit] The original TB-303 became a staple for world traveling DJs. Le Monde.fr : Eclosion d'images au Printemps de Bourges. La guerre des Fuck Buttons. ELLIOTT SMITH : LA CICATRICE INTÉRIEURE. « J’avais vu ‘‘Will Hunting’’ et adoré la musique. Je n’oublierai jamais sa performance aux Oscars, que je regardais avec mon amie Ileen. Après qu’il eût chanté, j’ai demandé ‘‘ QUI est ce mec ? ’’. J’étais enchantée et vraiment heureuse que quelqu’un de si gentil et beau soit nominé pour un Oscar. On ne voit pas souvent ce genre de personne et de talent dans l’univers du mainstream ».

Jennifer Chiba, dernière compagne d’Elliott Smith. UN MILIEU AUQUEL IL NE PEUT PAS APPARTENIR23 mars 1998. 70e cérémonie des Oscars. QUELQUES STRAPONTINS D’APRÈS GRUNGE Rapide retour en arrière. DIEU, LA MORT, LE DÉSESPOIR« Portland est une petite ville, un million d’habitants avec la banlieue. Photo : Samuel Kirszenbaum LUI RÉPÉTER À QUEL POINT IL ÉTAIT BRILLANT La signature d’Elliott Smith avec Dreamworks coïncide avec une grave dépression, au cours de laquelle, il l’avoue lui-même lors d’une interview, il tentera de mettre fin à ses jours.

ELLIOTT ÉTAIT DÉJÀ INQUIET 1999. Nico Prat. Interview Obsession : Simon Reynolds, un critique rock. Depuis la sortie en 2011 de son livre Rétromania, dans lequel il décryptait la tendance contemporaine à s’influencer sans cesse du passé, Simon Reynolds est considéré comme l’un des penseurs les plus justes des années 2010. À l’occasion de la parution d’un nouveau livre reprenant ses principaux articles parus dans la presse depuis ses débuts, en 1985, il évoque ses obsessions pour la musique, Roland Barthes, la culture des clubs et l’invention du futur. Votre théorie sur la rétromania a connu un large écho public et critique dès sa sortie, il y a deux ans. Comment la percevez-vous désormais ? Je suis toujours d’accord avec ce que raconte le livre, même si j’aurais pu y mettre des choses plus précises, être plus clair.

Mais je crois que ce que j’y décris est à peu près correct. Dans le cinéma, la musique ou l’art, trop de « nouveautés » ont le parfum du passé. Cela dit, plusieurs signaux récents me rendent plus optimiste qu’au moment où j’ai écrit Rétromania. Je n’ai jamais aimé cela. Reportages - Amy Winehouse - Diva Avortée. Interviews - Sex, Drugs & Rock'n'Roll : Que Reste-t-il de la Subversion? Bong Magazine Dead Ghosts – Can’t Get No. Avec Can’t Get No, les Dead Ghosts nous enfument avec une énième pépite de garage rock psyché. À rock standardisé, chronique standardisée. À chaque semaine son album de garage rock californien. Dead Ghosts est un trio canadien ? À vrai dire, cela ne change pas grand-chose. Les groupes se succèdent et se ressemblent divinement. Qu’aurait bien pu écrire un journaliste ayant vraiment vu se succéder les singles des Mouse, Electric Prunes et autres Count Five ? « Dead Ghosts, jeune groupe issu de Vancouver, avait publié en 2010 un premier album éponyme alors joliment passé inaperçu.

Délivre douze pépites ensoleillées dont le seul but semble être de faire fondre la neige canadienne.s’impose en nouveau messie du garage rock, ressuscitant à coup de larsens une vision embrumée des sixties.compose douze miniatures baignées dans une nostalgie au charme saturé de couleurs et d’électricité. Can’t Get No commence pied au plancher. Au milieu de tout ce bruit, la voix de Bryan Nicol : En bout de course, Petit playdoyer pour les artistes cramés. Tout est parti d’une discussion autour de Stephan Eicher et de son superbe dernier album, « L’envolée ».

Si ce disque n’avait pas été l’oeuvre de ce bonhomme, on vous met un billet de 200 qu’une jolie chronique aurait vu le jour sur Sourdoreille. Oui, mais voilà. Il y a de ça deux décennies, Eicher est entré dans la mémoire collective pour avoir composé Déjeuner en paix et Pas d’amis (comme toi). Avant et après, il y avait eu aussi quelques daubes et des pépites d’une finesse rare.

On le sait, certaines carrières sont conditionnées. De la Suisse à la France, il n’y a qu’un pas. Avril 1997, quatre garçons déboulent avec Je t’emmène au vent et inondent la bande FM. Car parlons-en du Gaëtan Roussel. Daniel Darc a un parcours similaire. Noir Désir, quant à eux, l’ont échappé belle. Et la suite, alors ?

Isn't anything / Loveless / EP's 1988-1991 - My Bloody Valentine - Rock. Seltaeb eht ,doar yebba / abbey road, the beatles. > Cliquez sur l'image pour un gros plan < Adjugé, vendu ! Soixante secondes, c'est le temps qu'il a fallu mardi dernier pour vendre aux enchères et à Londres cette photographie des Beatles traversant Abbey Road dans le sens inverse, de la droite vers la gauche. Soixante secondes, 16 000 livres, soit environ 19 800 euros. Retour en arrière : le vendredi 8 août 1969, le photographe Iain MacMillan est chargé de prendre le cliché qui figurera sur la pochette d'Abbey Road, tout dernier album enregistré par les Beatles (Let it Be, qui paraîtra en 1970, avait été enregistré avant).

Iain MacMillan ne dispose que d'un quart d'heure, la police ne peut bloquer la rue plus longtemps. Il prend six clichés, ce sera le cinquième qui sera retenu, celui nous montrant les Beatles qui traversent la rue de la gauche vers la droite, en s'éloignant des studios d'enregistrement. Le nom du groupe et le titre de l'album ne figurent pas en une, mais au dos de la pochette : Abbey Road est certainement, avec Sgt. Can- godfathers of indie. The current crop of independent rock groups with a particularly avant-garde inclination have been name dropping various seminal "difficult" rock groups as influences. With the music press hastily shuffling these groups into the ambiguous category "post-rock" for consumers' ease, people have been seeking out records by the influencing groups. Looking at articles from indie-world fanzines like Alternative press and the Wire from the last three years, one will discover a proliferation of Can references.

In one sense the publicizing of these groups reveals important music to a larger audience; however, too much zeal in genrefying can render the impact of these groups as no more than a short lived trendy-indie-world-item. Of course, fans of obscure progressive rock and psychedelic rock, as well as musicicans who create techno and its subsets, have been name dropping the seminal German band for years. La culture au futur antérieur. Comment construire le futur quand le passé se mêle en permanence au présent ? Cette interrogation n’est pas inédite, de même que la nostalgie de la culture des décennies passées a fait l’objet d’études plus ou moins savantes. Pourquoi alors nous reposons-nous la question ? Parce que Rétromania, qui vient de paraître, nous est apparu d’emblée comme un livre important, de ceux qui définissent une époque. Il est une habile traversée des années 2000, décennie où la culture a été transfigurée par Internet jusque dans ses moindres recoins.

Instantanéité des échanges, YouTube, téléchargement puis streaming audio et vidéo, remix permanent… Plus qu’un regret du «bon vieux temps», c’est davantage un sentiment de trop-plein, une omniprésence de l’archive imposée par Internet à la première décennie ultraconnectée, qu’analyse son auteur. Vous écrivez que la création est affectée car le passé envahit le présent par une archive exponentielle et omniprésente. Je n’en ai aucune idée ! DJ Bio Mad Libs. Trans Eurock Express. Kodwo Eshun: More Brilliant Than The Sun - Spike Magazine. Chris Mitchell Faster – James Gleick See all books by James Gleick at Amazon.co.uk | Amazon.com Technology is often seen as having a negative influence on music. Ever since the advent of sound generated by machines rather than traditional instruments, there have been dire predictions about the death of the Song.

More Brilliant Than The Sun takes the opposite attitude and celebrates these strange new technologically-based forms of music, examining what they signal for the future. However, Kodwo Eshun’s book is not a straightforward history of the synthesiser, the sampler and the art of scratching. Eshun argues that mainstream music journalism has simply ignored the future shock of technologically-based music because it doesn’t fit into our traditional ideas about music. For example, the palpable desire to become a machine evoked by Kraftwerk, or Sun Ra’s and Parliament’s claims to be from outer space indicate a movement towards trying to become post-human.

Related posts: Reportages - Profession : Manager. Profession : Manager Dimanche, 16 Octobre 2011 On l'imagine souvent cubain au bec et lunettes de soleil sur le nez en train de hurler sur tout le monde, tout en comptant ses liasses de dollars tel un mauvais impresario d'une mauvaise chanteuse yéyé.

Que nenni. Le manager évolue plus dans le concret et la paperasse que dans le fantasme qu'on se fait de lui, devant naviguer entre les affres de la création et la réalité d'un marché économique en mouvement permanent. Brain est parti à la rencontre de quatre managers français qui comptent. En plus de posséder des mocassins à palmiers d'une rare beauté et d'être tout à fait abordable (choses suffisamment rares pour être notées), Laurence Muller fait aussi, et surtout, partie de l'équipe de management de Phoenix, Yelle, Jamaica et Digitalism.

Etre manager : Une envie et une évolution de carrière naturelles. Faut-il encore présenter Seb Farran, le mythique et médiatique manager de NTM ? Le management ? Sarah Dahan // Illu: Naila Guiguet. Interviews - Grimes - Crazy Sexy Cool. Grimes - Crazy Sexy Cool Mardi, 06 Mars 2012 Avant, le Canada, c'était Céline Dion, et puis Avril Lavigne. Aujourd'hui, cette vaste étendue de terre, remplie de feuilles d'érables, de castors et de joueurs de hockey, est devenue le pays le plus cool du monde grâce à Drake, The Weeknd, Austra et maintenant Grimes. Cet elfe de 23 ans aux cheveux jaunes, roses et bleus, fan de r'n'b des années 90, vient de sortir son quatrième album, Visions, prouvant au passage qu'on peut être emo, sexy et cool. Elle aurait rêvé qu'Aphex Twin & Mariah Carey forment un groupe, et s'emploie avec brio à mélanger ses deux influences majeures dans sa musique. On la présente un peu partout comme la nouvelle "it girl' de la musique indé, de notre côté, on sait juste qu'elle est bizarre comme on aime et que le morceau Vanessa est l'un des meilleurs tubes de salon de l'année 2011.

Tu as joué au Baron hier soir, je t'aurais imaginé jouer dans un lieu plus crasseux, c'était bien ? Tu aimes la viande ? Tu aimes Drake ? Interviews - Summer Camp - Bienvenue dans l'Age Ingrat. Summer Camp - Bienvenue dans l'Age Ingrat Samedi, 19 Novembre 2011 Summer Camp, c'est Elizabeth Sankey, une jolie brune à frange, et Jeremy Warmsley, un geek à lunettes, deux Anglais qui rêvent d'Amérique, de teen movies et de ce bon vieux temps où la vie défilait en Super 8. Découvert sur MySpace (RIP) en 2009, ils sortent aujourd'hui Welcome to Condale, album concept qui fait revivre l'adolescence, ses boutons, ses coeurs brisés, sa fraicheur et son romantisme. Vous partiez souvent en Summer Camp (colonie de vacances en français) étant plus jeunes ?

Quels sont vos films préférés qui se déroulent dans un Summer Camp ? Votre clip pour Better Off Without You est rétro, avec un feeling 60's. Etes-vous un de ces groupes anglais qui rêvent des Etats-Unis ? Vous êtes plus Rolling Stones ou Beatles ? Chevy Chase ou Bill Murray ? Ike & Tina ou John & Yoko ? Une fille jolie + un nerd à lunettes: c'est ça qu'il faut de nos jours pour devenir un groupe à succès dans la pop? Qui sont vos héros ? Neuer Trend Indie R'n'B // Knietief im Hipsterschmalz. [La playliste des blogueurs] Un soupçon de magie avec Christophe Basterra. OK OK OK, tu as envie de frapper, lecteur! De me maudire pour la fin de ma vie chroniquante. Je me suis encore dédit, penses-tu.

Christophe Basterra n’est, pas plus que Ann Scott précédemment, connu pour son « personal branding » sur le net. Il n’est pas auteur du blog dont tout le monde parle, et ne s’amuse pas à prêcher le froid ou le chaud sur la taille de la frange ou sur la couleur de ton vernis via son site internet de mode. Ok OK.

Bonjour Christophe, peux-tu tu présenter pour Benzinemag.net Pigiste au siècle dernier à Rock and Folk sous les ordres d’une future star du petit écran, cofondateur du magazine Magic RPM, ancien directeur de la rédaction désormais en pré-retraite. Un titre pour plonger dans de doux rêves ? Un titre pour se réveiller de bonne humeur ? Un titre pour ne pas devenir fou dans le métro ou les embouteillages ? Un titre pour s’acquitter des tâches ménagères ou pour les virtuoses de la cuisine ?

Un titre qui vous envoie forcément sur la piste de danse ? Playlist premier tour: du son pour l'élection. Shoegazing. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme shoegazing ou shoegaze décrit un courant musical appartenant au rock alternatif, proche du courant dream pop. Il est apparu au sud de l'Angleterre à la fin des années 1980 et se caractérise par une approche à la fois bruitiste et mélodique de la musique[1]. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Groupes et artistes shoegazers[modifier | modifier le code] Renouveau[modifier | modifier le code] Depuis quelques années, une vague de nouveaux groupes plus jeunes s'inspire de l'esthétique shoegaze, en tête desquels The Radio Dept, The Pains of Being Pure at Heart, A Place to Bury Strangers, No Age, The Big Pink, Vivian Girls, Amusement Parks on Fire (en), The Go!

Références[modifier | modifier le code] Portail du rock. Bilan musical 2010 (sans classement et dans le plus grand désordre) « polychronique(s) D’un point de vue musical, 2010 ne sera pas une année à marquer d’une pierre blanche. Défions d’ailleurs quiconque de prouver qu’un marquage à la pierre blanche est le signe de quelque chose d’exceptionnel, dans le sens où, déjà, les appartements modernes sont peu outillés en pierres blanches, qu’il est mal vu de saloper ses murs à coup d’inscriptions faites à la pierre blanche, et que nulle part, je dis bien nulle part, je n’ai jamais gravé “1989” en corps 720 à la pierre blanche en souvenir de mon bac, de mon premier créneau réussi, de mon premier salaire exclusivement consacré à l’achat d’une batterie pourrie et de plein d’autres choses synonymes d’entrée dans l’âge adulte… Mais je digresse et m’égare, puisque les origines historiques de cette maxime n’ont rien à voir avec le sens fallacieux que je viens de lui donner dans l’unique but de faire de l’esprit de bas étage.

Donc, d’un point de vue musical, 2010 restera comme une année un peu molle du genou. BLONDE REDHEAD – Penny Sparkle. Reportages - Métaphys'Hits.