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Culture et savoirs

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Le musée-Légo. (Ceci est un essai de synthèse de réflexions sur les évolutions du musée envisagées sous l’angle des démarches/usages en “réseaux”. Je le partage ici (CC by-sa), en l’état actuel, pour critiques, modifications, évolutions…) Le Musée-Légo est un musée ouvert et accessible, de façon la plus disponible possible, adapté aux modes de vie de visiteurs. Un musée en réseau et multi-plateformes, présent là où les visiteurs et les communautés le sont (en ligne et hors ligne). C’est un musée ludique, où la relation aux oeuvres est décomplexée et créative.

Il n’est pas réservé à ceux qui “savent se tenir” sur le mode exclusif de la contemplation. Le musée-Légo est un musée que l’on peut faire sien, comme on peut facilement construire une “oeuvre” personnelle, complexe à partir de simples morceaux de Légo, conçus pour être faciles à assembler et libérer le potentiel créatif Texte (trop long pour ce blog) à retrouver ici (pdf) ou bien ici (html) Voici le plan : Un musée-Légo avec un fonctionnement-Légo.

Des musées numérisés. Certains musées s'emparent du numérique pour renouveler l'expérience de la médiation culturelle. La preuve en quinze exemples de dispositifs, conçus aussi bien pour de grosses structures que pour de plus modestes. Depuis les années 1980, la montée des technologies numériques, du multimédia et des technologies de l’information a suscité l’intérêt de nombreux musées. L’audioguide un peu désuet s’est transformé en guide multimédia, les écrans ont envahi les lieux d’expositions, de nouveaux modes d’accès à l’information sont apparus (e.g. via les smartphones). Ces dispositifs, toujours plus sophistiqués, créent ainsi de nouveaux rapports entre le musée et le visiteur. La visite se veut plus sensible, personnalisée, intelligente.

Les concepts peuvent être exposés au même titre que les objets. Des tables interactives aux systèmes de guidage à réalité augmentée, voici une sélection hétérogène de dispositifs technologiques originaux et innovants mis en place dans des musées. >> Références : Library to get a hackerspace. The Fayetteville Free Library is installing a hackerspace/fablab with 3D printers, CNC routers and other equipment, available free to the public as a community space for making. The project is led by librarian Lauren Smedley, who is basically MADE OF AWESOME. Earlier this year, MAKE Magazine’s Phillip Torrone wrote a provocative article asking “Is it time to rebuild and retool libraries and make ‘techshops’?” In other words, should libraries join some of the other new community centers that are being created (such as General Assembly which we covered yesterday) and become “hackerspaces” or “makerspaces”? “Yes!” , says librarian Lauren Smedley, who is in the process of creating what might just be the first maker-space within a U.S. public library.

The Fayetteville Free Library where Smedley works is building a Fab Lab — short for fabrication laboratory — that will provide free public access to machines and software for manufacturing and making things. Hackons Le musée ! Museomix ? Vous en avez beaucoup entendu parler, votre compte Twitter a explosé, mais vous n’avez pas tout compris ? Une de nos envoyées spéciales a testé pour vous. Le week-end dernier (11, 12 et 13 novembre 2011), le Musée des Arts Décoratifs a accueilli Museomix, expérience de re-création muséale qui rassemblait des designers, des bloggeurs, des médiateurs, des technophiles mais surtout des amateurs. Le résultat de ces projets marathons un peu fous montés en 72H dans les coulisses du musée a été présenté au public le dimanche après-midi.

Jour 1 : Un musée laboratoire, ouvert Vendredi 11 novembre au petit matin, rendez-vous dans la Salle des Boiseries où ont été installées d’énormes chambres à air, comme autant de sofas. . « J’ai toujours rêvé de faire l’amour au musée » Un micro circule dans la salle et je livre ici à la volée les premières intentions des museomixeurs. Julien Dorra annonce la couleur : « Avec Museomix, qu’est-ce qu’on va faire ? Un fablab au cœur du musée. Les œuvres sur le domaine public, prochaine exception au droit d’auteur ? - Actu PC INpact. Mise à jour 23/11/2011 : l'exception sur la liberté de panorama photographique a été repoussée.

La rapporteur a expliqué que les dispositions de l'article 122-5 du Code de la propriété intellectuelle permettait déjà dans certaines circonstances des prises de vue (nous y reviendrons). Frédéric Mitterrand repoussera l'amendement Tardy également, préférant se focaliser sur le coeur du texte. Partick Bloche : "on ne va pas inventer une nouvelle exception au droit d'auteur à 23h30" expliquera en substance le député PS pour qui le droit actuel est suffisant. Jean Dionis ne comprendra pas cette opposition générale et critiquera l'archaïsme des postures. Martine Billard regrettera pour sa part l'absence d'étude d'impact et soulignera la fragilité de la profession de photographe. Après scrutin public, l'amendement sera repoussé. Tardy estime le dispositif perfectible. Actuellement, le problème est simple, et les conséquences douloureuses. Graffyard. Un centre culturel dédié au cyclisme ouvre au Danemark demain.

Ecrit par Emeline le 10 novembre 2011 dans Ca bouge dans le monde Copenhagenize Consulting est à l’origine de la création et de l’ouverture de ce premier Centre Culturel consacré au vélo, qui sera inauguré demain, le vendredi 11 novembre à 11h11 précisément. L’objectif est bien de célébrer la culture vélo danoise mais aussi d’y envisager le développement, d’y organiser des temps d’échanges et de discussions, en bref de créer un lieu physique où acteurs et défenseurs du vélo pourraient se retrouver. Ce projet a été financé par la Direction Routière Danoise et son fonds consacré au développement du vélo. Le Centre ouvre ses portes demain au grand public et est fier de pouvoir partager toute sa culture vélo avec les habitants de Copenhague mais aussi avec les touristes souvent curieux de connaître la manière dont le vélo s’est imposé au Danemark comme un mode de déplacement à part entière.

L’espace est organisé de la manière suivante : De nombreux autres projets sont dans les tiroirs. Le numérique au musée : les expériences de Gonzague et Omer. Omer Pesquer est incontournable quand il s’agit de parler de numérique et de musées. Et pour cause, ces institutions, il les conseille et les oriente. De son côté, Gonzague Gauthier est community manager au Centre Pompidou et expérimente au quotidien l’entrée de nouveaux dispositifs. Autant dire que l’un comme l’autre possèdent des expériences très complémentaires. L’occasion de faire une rencontre croisée. Deux parcours, un même milieu L’informatique pour Omer, c’est une longue histoire. Il a ainsi participé au milieu des années 90 à l’installation de nombreuse bornes interactives à la Cité des sciences. « Les musées ont toujours été des laboratoires et se sont mis au numérique très vite…avec la contrainte qu’il s’agissait d’une chose très réelle : il fallait penser où et comment placer les nouveaux objets liée sans perturber l’exposition » raconte-t-il.

De son côté, Gonzague se lance dans des études culturelles après l’obtention d’un bac S. Coïncidence ? En priorité, les usages Notes. Street artists see the city as their canvas. Photo: Allison SamuelsOne night in June, a young artist in cutoff jeans and paint-spattered Nike high-tops was walking down Kent Avenue in Williamsburg, a neighborhood in Brooklyn. In his hand, he carried one of the main tools of his trade: a bucket brimming with wallpaper adhesive.

He planned to use the stuff to affix a giant copy of one of his linoleum-cut prints to a nearby building. Suddenly, up drives one of New York City’s finest, lights flashing and sirens blaring. “I told him I was going to my studio,” says the artist, who works under the pseudonym Gaia. In New York, graffiti has been a code word for vandalism since the 1970s, when city hall kicked off a campaign to scrub the place clean of “style writing.” Street artists don’t think of themselves as graffiti writers — and they don’t fit neatly under one umbrella. Photo: Gaia Eventually, Gaia’s encounters with the people who lived in these places, and his curiosity about urban history and planning, set him on another course. MUSEOMIX ou RIEN! Museomix au musée des Arts Décoratifs – 11, 12 & 13 novembre Ken invente le Tourisme de Manifs, en France! ( voir suite au bas du billet...) Comment mieux accueillir les visiteurs, aujourd’hui?

Cette question banale, qui obsède les opérateurs du tourisme comme les élus des villes culturelles, a enfin une première réponse pour la Culture, les Offices de Tourisme faisant par ailleurs le même type d’exercice à Pau, à La Rochelle ou Marseille. Notre messagerie déborde d’annonces de colloques officiels, institutionnels qui n’ont pas vraiment les changements à venir pour objectif, et n’invitent généralement pas les meilleurs experts (plutôt leurs meilleurs amis ) sur des sujets d’avenir. 1 – Présentation du projet par ses organisateurs : …Avec vous!

2 – Présentation des enjeux A l’heure du web et des réseaux sociaux, de nouveaux usages et de nouvelles attentes émergent chez les visiteurs, aussi bien en ligne que sur place. . - Tenir compte des réelles pratiques de visite des plus jeunes ; QUAND ? What Makes a Museum Exhibit Sociable? The vast majority of us visit museums with other people--but many museums are just beginning to consider that sociability within the exhibit development and design process. Maria Mingalone of the Berkshire Museum and I are presenting a session this week at the New England Museum Association conference where we hope to talk with participants about designing exhibits for social experiences. Is it the concept? The design? Do we think too much about just interactions for families and not enough for adult visitors? Are there exhibit elements that automatically make an exhibit sociable or unsociable? But for our session, we'd love to hear from you in advance of our presentation about what you think.

Sociable museum activities happen anywhere. Museum 2.0.