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Les théoriciens. Simplicité. Pour sauver la planète, sortez du capitalisme. L’édition de poche du livre est parue en collection Points, avec une préface originale et au prix de 7 €. Eléments récents de cette page : Le député lit le livre à l’Assemblée. C’était le 23 juillet 2013. Encore une de ces assommantes séances de questions au gouvernement. Source : Le Lab, Europe 1 En Algérie, recension par Maurice Tarik Maschinodans El Watan : "Lisez d’urgence L’oligarchie, ça suffit, vive la démocratie, le petit livre – accablant, effrayant – d’un journaliste essayiste, le 25 avril 2013. Sommes-nous en dictature ? En réalité, nous sommes entrés dans un régime oligarchique, cette forme politique conçue par les Grecs anciens et qu’ont oubliée les politologues : la domination d’une petite classe de puissants qui discutent entre pairs et imposent ensuite leurs décisions à l’ensemble des citoyens.

Car la crise écologique et la mondialisation rebattent les cartes de notre culture politique : l’Occident doit apprendre à partager le monde avec les autres habitants de la planète. Les Alternatifs. 26 - J.-J Boislaroussie. Le Tigre (la bête) « Nous vivons plus qu'une convergence de crises, l'effondrement est déjà là » - Capitalisme. Photo : Agnès Rousseaux / Basta ! Basta ! : La succession des crises – financière, sociale, écologique... – n’entraîne toujours pas de changements radicaux au sein du système capitaliste. Faut-il attendre son effondrement total pour que ce modèle soit remis en question ? L’effondrement est déjà là. Nous nous acharnons à repousser toute limite. Si on fait l’hypothèse que le capital technique peut se substituer indéfiniment au capital naturel, il n’existe effectivement aucune limite.

Les théories économiques oublient la nature. Ne risque-t-on pas de s’enfermer dans une gestion économique de la crise écologique, avec, par exemple, le « marché des droits à polluer » ou le principe pollueur-payeur ? Donner un prix à des pollutions traduit une prise de conscience. Quant au principe pollueur-payeur, je souhaite que BP paye pour tous les dégâts occasionnés aux États-Unis. Le temps du « monde fini » est aussi, selon vous, celui de la « perte d’un monde commun »... Recueilli par Agnès Rousseaux.