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Finances

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Démystifier la finance | Le blog de Georges Ugeux. Comprendre les mots de la finance. Subprimes, dark pools, titrisation, sous-jacent... La crise économique charrie chaque jour son lot de termes plus ou moins obscurs. Ce lexique a pour but d'éclairer les concepts les plus abscons du monde de la finance. Subprimes, dark pools, titrisation, sous-jacent... La crise économique charrie chaque jour son lot de termes plus ou moins obscurs. Ce lexique a pour but d'éclairer les concepts les plus abscons du monde de la finance.

IPO (initial public offering) : introduction en Bourse d'une entreprise.OPA (offre publique d'achat) : l'OPA est déclenchée lorsqu'une entreprise (ou une personne physique) annonce officiellement qu'elle se porte acheteuse d'actions d'une entreprise cotée en Bourse, dans le but de monter au capital et d'en prendre le contrôle.Marché primaire : lieu d'émission des nouveaux titres.Marché secondaire : lieu où un acheteur peut revendre ses titres, à un cours défini par la confrontation de l'offre et de la demande.

Delplabanques.pdf (Objet application/pdf) Qui devra payer pour les banques systémiques ? Les banques sont mortelles donc les grandes banques dites systémiques (too big to fail ») le sont aussi. Elles ne peuvent échapper à cette loi que parce que leur défaillance entraînerait la chute de beaucoup d’autres et perturberait gravement l’épargne mondiale et le financement des économies; le cas le Lehman Brothers ne l’a que trop illustré. Que ce soit pour de bonnes raisons ou simplement à la suite de rumeurs et/ou d'emballements de marchés, quand la confiance vis à vis d'une banque et surtout d'une très grande banque n’est plus là, ce n'est pas 1 ou 2,5 % de fonds propres de plus qui changeront la donne. Pas plus que les testaments qui leur seront demandés pour faciliter leur éventuel éclatement ni que la filialisation des activités de marché prônée récemment par la Commission Wickers au Royaume-Uni.

Dès lors, il faut reconsidérer les conditions du (nécessaire) sauvetage de la (des) banque(s) systémique(s) en perdition par le seul pays du siège social. Qui va payer les 360 milliards d'euros du plan de sauvetage des banques ? Revue de presse · 14 oct. 2008 à 19:10 La question est publiée à la Une de plusieurs quotidiens papiers et de sites d'information : qui va payer les 360 milliards d'euros du plan de sauvetage des banques ?

Si l'effet positif de ce plan s'est ressenti dès hier avec une hausse record de la bourse de Paris, reste à connaître maintenant le détail du financement. Selon la ministre de l'économie, Christine Lagarde, ce plan ne coûtera pas un centime aux contribuables. Ce n'est pas tout à fait faux, ni tout à fait vrai. Attention : Les explications qui suivent sont volontairement simplifiées, elles privilégient le raisonnement à la subtilité d'une argumentation prenant en compte tous les mécanismes complexes du système bancaire et financier. 320 milliards de garantie pour les banques La crise actuelle est liée à la méfiance des banques : comme les cours de la bourse varient très rapidement en ce moment, la crainte d'une faillite rapide hante tous les banquiers. Qui va payer la note ? Finance de l'ombre : "Les autorités ont fermé les yeux"

L'intégralité du débat avec Marc Roche, correspondant du "Monde" à Londres et auteur du livre "Le capitalisme hors la loi" (Ed. Albin Michel), mardi 27 septembre 2011 Raoul : Quelle est, selon vous, la place de la finance "souterraine" dans le système financier global ? Marc Roche : Bonjour, la place de ce que j'appelle le "capitalisme hors la loi", c'est-à-dire non réglementé, est désormais supérieure au poids de la sphère financière régulée et transparente. La crise des crédits à risque subprimes de 2008-2009 a accentué le poids de cette économie souterraine, puisque ses acteurs ont pu compenser leurs pertes et garder leurs profits grâce au recours à cette finance parallèle, légale, mais profondément immorale : conflits d'intérêts, évasion fiscale, risques systémiques, impunité et âpreté aux gains.

Léon : Quels mécanismes lient finance de l'ombre et crise ? Philippe J : Les autorités ferment-elles sciemment les yeux sur la pratique du shadow banking ? Non. Restons optimistes.