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L'avenir du nucléaire

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Thèmes - L'énergie nucléaire - Questions sur le nucléaire - L'énergie nucléaire en France. Nucleaire. 2,4 mSv En 1 année, chaque Français est exposé en moyenne à une radioactivité naturelle de 2,4 mSv. Energies renouvelables. Pour produire une puissance équivalente au nucléaire, les énergies renouvelables consomment beaucoup plus d'espace. La surface nécessaire pour produire l'électricité que consomme la ville de Paris est de 0,2km2 pour une centrale nucléaire alors qu'il faudrait un champ de panneaux solaires de 91,125km2 ou d'éoliennes de 454km2. Kola. Déchets. 78 %Electricité. 7,2 %de déchets de faible activité à vie longue dans le volume total des déchets radioactifs produits en France, fin 2007. 68,8%, c'est la part des déchets faible & moyenne activité à vie courte dans le total des déchets radioactifs en France, contre 0,2% pour les déchets de haute activité, fin 2007 TWh : Terawattheure. 1 kilowattheure (kWh) = 1 000 Wh 1 Mégawattheure (MWh) = 1 000 kWh 1 Gigawattheure (GWh) = 1 000 MWh 1 TWh = 1 000 GWh.

Industrie nucléaire en France. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La production d'énergie électrique en France est dominée par le nucléaire depuis les années 1980 et une partie est actuellement exportée. Nucléaire hydroélectrique énergie fossile Autres et renouvelables L’industrie nucléaire en France est mise en place dans les années 1950 et 1960 avec la mise en service de neuf réacteurs à uranium naturel graphite gaz (Marcoule G1, G2, G3, Chinon A1, A2 et A3, Saint-Laurent A1 et A2 et Bugey 1), d'un réacteur à eau lourde (Brennilis) et d'un réacteur à eau légère (Chooz A). L'industrie nucléaire est progressivement devenue la principale source de production d'électricité en France. Le nucléaire couvre, en 2004, 79 % de la production française d'électricité[1], et 18,4 % de la consommation finale totale d'énergie en France[2].

Historique[modifier | modifier le code] L'aventure scientifique de l'atome (1895-1945)[modifier | modifier le code] L’objectif assigné est tenu. Sortir du nucléaire, oui, mais comment ? (Centrale nucléaire de Dampierre-en-Burly, juillet 2012 - GILE MICHEL/SIPA) L'objectif de réduire la part du nucléaire est un engagement fort de la présidence de François Hollande. Arnaud Montebourg et Manuel Valls ont affirmé que le nucléaire était une énergie peu chère mais sans remettre en cause l'objectif final choisi par François Hollande et le gouvernement, favorables à une réduction (et non à une disparition d'un coup de baguette magique) du parc nucléaire. Et puis d'ailleurs le nucléaire est-il si peu cher ?

Et, question à laquelle trop de montés au créneau ce jour n'ont pas répondu, en plus des économies d'énergie, en plus des smart grids, par quoi on remplace l'atome ? Et l'UMP a-t-elle encore un reste de programme sur ces questions, elle qui défendit les parcs nucléaires avec violence pendant toutes la présidientielle ? Polémique un peu politicienne L'énergie nucléaire, peu coûteuse ? Le nucléaire encore vital Du même auteur. Environnement : La sortie du nucléaire coûtera très cher en déchets. Si la France décidait d'arrêter ses réacteurs nucléaires sans les remplacer, le volume de déchets à vie longue à stocker serait multiplié par neuf. Pour la quatrième édition de son inventaire national des déchets radioactifs, l'Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs) a évalué l'impact d'une sortie progressive de la France du nucléaire. L'Agence a calculé le volume de déchets hautement radioactifs à vie longue supplémentaires qu'il faudrait stocker si l'État décidait de fermer progressivement ses réacteurs, au bout de quarante ans de service.

Un scénario qui correspond peu ou prou aux engagements de campagne de François Hollande de réduire la part du nucléaire à 50% du bouquet électrique en 2025 contre 75% aujourd'hui. Dans ce scénario, la France cesserait de recycler le combustible comme elle le fait aujourd'hui en le retraitant à l'usine Areva de La Hague puisqu'elle n'en aurait plus l'usage. Il faudrait donc stocker les combustibles usés sans les transformer. Brochure-sorties-web.

Malgré le développement massif du nucléaire en France ces 30 dernières années, aucune solution n’a été apportée au risque d’accident grave de réacteur, à la production de déchets radioactifs, ainsi qu’à la prolifération de la bombe atomique. Il est donc plus que jamais temps de sortir du nucléaire. Cette étude du Réseau « Sortir du nucléaire », réalisée en 2007, présente en détail la sortie du nucléaire en 5 ou en 10 ans de la France.

Elle est le fruit d’une coopération nourrie entre des experts indépendants de l’énergie et les militants du Réseau "Sortir du nucléaire". Basée sur les économies d’énergie et un recours important aux énergies renouvelables, sa mise en œuvre entraînerait la création de plusieurs centaines de milliers d’emplois et serait véritablement porteuse d’indépendance énergétique. Il est possible de sortir du nucléaire à court terme, à la condition de le vouloir. Feuilletez la brochure au format pdf Commandez la synthèse de l’étude dans notre boutique. Énergie nucléaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cet article concerne la physique de l'énergie nucléaire. Pour la production d'électricité d'origine nucléaire, voir Centrale nucléaire. Pour les applications militaires du nucléaire, voir Arme nucléaire. Selon le contexte d'usage, le terme d’énergie nucléaire recouvre deux sens différents : §Radioactivité[modifier | modifier le code] La radioactivité est un phénomène physique naturel au cours duquel des noyaux atomiques instables se transforment spontanément (« désintégration ») en des noyaux atomiques plus stables convertissant une partie de leur masse en énergie, selon la célèbre formule E=mc2 d'après Albert Einstein.

Un corps radioactif dégage naturellement cette énergie produisant un flux décroissant de chaleur. §Réaction nucléaire[modifier | modifier le code] L’énergie nucléaire est produite par les noyaux des atomes qui subissent des transformations, ce sont les réactions nucléaires. §Fission[modifier | modifier le code] Énergie de masse. La France nage-t-elle à contre-courant sur le nucléaire? Montebourg a-t-il décidé de faire sortir Hollande de ses ambigüités sur le nucléaire? Le ministre du Redressement productif savait bien qu'il lâchait une bombe en qualifiant dimanche sur BFMTV le nucléaire de "filière d'avenir pour la France". Les écologistes bien sûr n'ont pas attendu une seconde pour s'épancher en réactions furibondes, tandis que Manuel Valls a volé ce lundi matin au secours d'Arnaud Montebourg. Derrière ces querelles politiques -où se joue l'avenir du pacte PS-EELV qui prévoit de faire passer la part du nucléaire de 75% à 50% de la production électrique d'ici à 2025- c'est l'ensemble de la politique énergétique française, et le destin de sa puissante industrie nucléaire qui sont en question.

Les débats promettent d'être houleux. Avec cette interrogation en toile de fond: si la France continuait à promouvoir sa filière nucléaire, serait-elle "en décalage total avec la réalité", comme l'a affirmé dimanche Denis Baupin, vice président EELV de l'Assemblée nationale? Le risque nucléaire dans le monde. Le nucléaire dans le monde : fin de la « renaissance » Vingt ans après sa première édition, le World Nuclear Status Report 2012 dresse l'inventaire d'une industrie nucléaire en perte de vitesse dans le contexte actuel de crise financière, et encore frappée par les effets de Fukushima. Durant la seule année 2011, la situation mondiale du nucléaire a été bouleversée : 19 réacteurs nucléaires ont été définitivement déconnectés dans le monde, tandis que 7 étaient mis en service.

Quatre pays ont annoncé leur sortie du nucléaire : l'Allemagne, la Belgique, la Suisse et Taiwan. Cinq autres se sont retractés : l'Egypte, l'Italie, la Jordanie, le Koweit et la Thaïlande. L'Iran est le seul pays au monde à s'être engagé dans un programme électro-nucléaire commercial, depuis la Roumanie en 1996. Les chantiers sont arrêtés en Bulgarie et au Japon. Chantiers en déshérence et dérive des coûts Les renouvelables triomphent La Chine est un bon marqueur de l'évolution de l'industrie nucléaire. Conjoncture : La folle facture de la sortie du nucléaire en Allemagne. Le groupe industriel Siemens en estime le coût total entre 1400 et 1700 milliards d'euros d'ici à 2030. Le chiffre donne le vertige: 1700 milliards d'euros d'ici à 2030. C'est le haut de la fourchette - calculée par Siemens - des coûts pour l'Allemagne de sa sortie programmée du nucléaire. Le géant industriel, qui vient d'officialiser cette estimation, précise aussitôt que les investissements destinés à compenser l'abandon de l'atome seront à la charge «soit de la clientèle, soit du contribuable».

Le calcul de Siemens intervient presque un an après la catastrophe de Fukushima: cet accident est à l'origine de la décision, en mai, de la chancelière Angela Merkel d'un retrait progressif du nucléaire à l'horizon de 2022: 8 réacteurs sur 17 ont déjà été arrêtés. En septembre dernier, ­Siemens a en conséquence décidé de tourner la page du nucléaire, avec l'abandon de technologies spécifiques pour cette industrie. Démantèlement des sites Le débat chiffré est donc loin d'être clos. LE NUCLÉAIRE CIVIL EN 2012. Combien coûtera le démantèlement du nucléaire ? - Energie Nucléaire. Alors que le parc nucléaire français est vieillissant, la question de son démantèlement commence à poser problème, notamment sur le plan financier En 1999, le courrier de l’UNESCO estimait que, dans le monde, sur les 523 réacteurs existants, 94 étaient arrêtés, soit environ 20%.

Ce pourcentage devrait significativement augmenter dans la décennie à venir, avec le vieillissement du parc nucléaire mondial. Il est donc important d’établir un scénario de démantèlement précis pour chaque centrale, arrêtée ou toujours en cours d’exploitation. Aussi, le coût devra être évalué en fonction du type de réacteur à démanteler. Plusieurs paramètres peuvent ainsi être pris en compte : le nombre d’années après la mise à l’arrêt définitif (MAD) à partir duquel le démantèlement peut commencer, la stratégie de stockage des déchets, les méthodes de financements ou encore la puissance du réacteur.

Le cas du Royaume-Uni est surprenant. L'Allemagne paiera le prix fort pour sortir du nucléaire. Les opérateurs de réseaux électriques allemands (Tennet, Amprion, 50Hertz et TransnetBW) sont sur la sellette. Alors que le pays bat record sur record en matière de production d'énergies renouvelables et a passé sans encombre son premier hiver avec 50 % de nucléaire en moins, ce sont en effet les réseaux qui pourraient entraver la fameuse "transition énergétique" ( Energie Wende dans le texte) décidée par Angela Merkel suite à l'accident de Fukushima. La nécessité de transporter l'énergie qui sera produite par les parcs éoliens offshore du Nord-ouest vers la région de plus forte consommation au sud, et la capacité à absorber les énergies renouvelables intermittentes justifient de lourds investissements.

Ceux-ci font l'objet de vifs débats entre Verts, industriels et gouvernement. Un développement au point mort Dans tous les cas, il faudrait changer rapidement de braquet. En effet, seuls 214 kilomètres ont été construits sur les 1.800 programmés en 2009. Energie nucléaire : Nucléaire du futur. Nuclear power. Nuclear power, or nuclear energy, is the use of exothermic nuclear processes,[1] to generate useful heat and electricity. The term includes nuclear fission, nuclear decay and nuclear fusion. Presently the nuclear fission of elements in the actinide series of the periodic table produce the vast majority of nuclear energy in the direct service of humankind, with nuclear decay processes, primarily in the form of geothermal energy, and radioisotope thermoelectric generators, in niche uses making up the rest. There is an ongoing debate about nuclear power.[10][11][12] Proponents, such as the World Nuclear Association, the IAEA and Environmentalists for Nuclear Energy contend that nuclear power is a safe, sustainable energy source that reduces carbon emissions.[13] Opponents, such as Greenpeace International and NIRS, contend that nuclear power poses many threats to people and the environment.[14][15][16] Use Nuclear power installed capacity and generation, 1980 to 2010 (EIA).

Use in space. In Depth | Chernobyl. Three Mile Island « nucleaire'11. Chernobyl, Ukraine (1986) INES listed the famous Chernobyl disaster as the worst nuclear disaster (of level 7: major accident) ever in the history of mankind to occur and it happened in 1986. Despite the fact that it should have followed all the necessary measures and adopted the appropriate safety culture, explosion followed by large discharge of radioactive contamination due to improper handling of the device coupled with design failures.

The Chernobyl power plant is located on the border area between Ukraine and Belarus and it is stated the explosion of the reactor released 100 times more radiation than the atom bombs dropped on Hiroshima and Nagasaki . Chernobyl disaster occurred during a low-power engineering test of the Unit 4 Reactor. Safety systems had been switched off and improper, unstable operation of the reactor allowed an uncontrollable power surge to occur. Chernobyl Nuclear Disaster Three Mile Island, United States (1979) 3 Mile Island Nuclear Disaster. Terrorisme nucléaire.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terrorisme nucléaire peut désigner l'une des attaques terroristes suivantes : utilisation d'une arme nucléaire contre une cible civileutilisation d'une bombe radiologique ou bombe sale contre une cible civileattaque d'une centrale nucléaire ou d'un site de stockage de déchets nucléaires.

Probabilité d'un usage terroriste[modifier | modifier le code] Certains experts en sécurité comme Jacques Baud pensent qu'une telle action est extrêmement improbable. [réf. souhaitée] La fabrication d'une bombe atomique demande des budgets très élevés, de l'ordre du milliard de dollars[réf. nécessaire], des spécialistes hautement qualifiés, et des installations parfaitement sécurisées pendant plusieurs années. Historique[modifier | modifier le code] Genèse du postulat[modifier | modifier le code] Depuis les attentats du 11 septembre[modifier | modifier le code] Le terrorisme nucléaire dans la fiction[modifier | modifier le code] Portail du nucléaire. Prolifération nucléaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rouge : les cinq grandes puissances nucléairesOrange foncé : les autres puissances nucléaires déclarés officiellementOrange clair : les États suspectés de posséder l'arme nucléairePourpre : les États suspectés de faire, ou ayant eu, des recherches sur l'arme nucléaire La prolifération nucléaire désigne la propagation de la possession d'armes nucléaires dans le monde.

On parle de prolifération horizontale pour l'augmentation démesurée des armes nucléaires et du nombre de pays détenteurs, et de prolifération verticale pour le perfectionnement de l’arme nucléaire. Traité de non-prolifération nucléaire[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Depuis l’obtention par les États-Unis de l’arme nucléaire, cette technologie est devenue une préoccupation considérable pour les États.

C’est un symbole de puissance et de maîtrise dans le domaine de la science. Contrôle et efficacité[modifier | modifier le code] Entreposage nucléaire. West Coast USA Danger IF Japan Nuclear Reactor Meltdown. Metals in Medicine and the Environment.